Le parcours de la Corée du Nord dans le Mondial sud-africain n'a pas plu aux dirigeants du pays. Kim Jong-hun, le sélectionneur, fait les frais des trois défaites en trois matches de son équipe et vient d'être condamné à des travaux forcés sur un chantier... Héros national avant la compétition, Kim a été exclu du parti communiste et accusé de "trahison de la confiance de Kim Jong-Il".
Kim a été condamné à des travaux forcés.
Il n'y a pas qu'en France que la Coupe du monde de football laisse des traces douloureuses. Aux antipodes des atermoiements de la FFF quant à un licenciement de Raymond Domenech, les dirigeants nord-coréens n'ont pas fait dans la demi-mesure à l'heure du bilan. Kim Jong-hun vient d'être condamné à des travaux forcés pour une élimination au premier tour du Mondial sud-africain avec trois défaites en trois matches. L'entraîneur, en poste depuis 2007, a dû assumer la défaite publiquement face au pouvoir, ses joueurs au nom du peuple nord-coréen.
Accusé de "trahison" et humilié publiquement
Selon une source rapportée par Radio Free Asia, le 2 juillet dernier, celui qui était un héros de la nation avant la compétition, se retrouve debout sur une scène dans le bien-nommé Palais de la Culture du Peuple de Pyongyang où ont lieu les procès publics. L'ancien défenseur international doit alors subir les critiques publiques des officiels avant d'entendre ses ex-joueurs l'accabler à leur tour. Accusé de "trahison de la confiance de Kim Jong-Il", il a été exclu du parti communiste et condamné à travailler sur un chantier pendant 12 à 14 heures par jour pendant une période non précisée.
Trois défaites en trois matches auront donc suffi pour sceller le sort du coach de 57 ans qui avait qualifié la "Chollima" pour sa première compétition internationale depuis 1966. Après une défaite honorable face au Brésil (2-1), les troupes de Kim ont vécu une véritable désillusion face au Portugal (7-0). Un échec d'autant plus cuisant que le régime communiste avait décidé de diffuser le match en direct et d'interrompre la retransmission avant la fin du match avec la consigne donnée aux médias de ne pas souffler mot du résultat final.
Source : sport.fr
:22: ça ne rigole pas là bas....
Kim a été condamné à des travaux forcés.
Il n'y a pas qu'en France que la Coupe du monde de football laisse des traces douloureuses. Aux antipodes des atermoiements de la FFF quant à un licenciement de Raymond Domenech, les dirigeants nord-coréens n'ont pas fait dans la demi-mesure à l'heure du bilan. Kim Jong-hun vient d'être condamné à des travaux forcés pour une élimination au premier tour du Mondial sud-africain avec trois défaites en trois matches. L'entraîneur, en poste depuis 2007, a dû assumer la défaite publiquement face au pouvoir, ses joueurs au nom du peuple nord-coréen.
Accusé de "trahison" et humilié publiquement
Selon une source rapportée par Radio Free Asia, le 2 juillet dernier, celui qui était un héros de la nation avant la compétition, se retrouve debout sur une scène dans le bien-nommé Palais de la Culture du Peuple de Pyongyang où ont lieu les procès publics. L'ancien défenseur international doit alors subir les critiques publiques des officiels avant d'entendre ses ex-joueurs l'accabler à leur tour. Accusé de "trahison de la confiance de Kim Jong-Il", il a été exclu du parti communiste et condamné à travailler sur un chantier pendant 12 à 14 heures par jour pendant une période non précisée.
Trois défaites en trois matches auront donc suffi pour sceller le sort du coach de 57 ans qui avait qualifié la "Chollima" pour sa première compétition internationale depuis 1966. Après une défaite honorable face au Brésil (2-1), les troupes de Kim ont vécu une véritable désillusion face au Portugal (7-0). Un échec d'autant plus cuisant que le régime communiste avait décidé de diffuser le match en direct et d'interrompre la retransmission avant la fin du match avec la consigne donnée aux médias de ne pas souffler mot du résultat final.
Source : sport.fr
:22: ça ne rigole pas là bas....
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