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Des procureurs américains ont intensifié depuis la fin du Tour de France, le mois dernier, leur enquête criminelle au sujet du cycliste Lance Armstrong, soupçonné de dopage. Des coéquipiers et adversaires auraient dénoncé celui-ci dans le cadre de ce processus.
D’après le New York Times, un ancien partenaire d’Armstrong a parlé au téléphone, mercredi, avec les enquêteurs. Il a raconté en détail son histoire au sein de la formation United States Postal Service. Selon lui, le célèbre cycliste incitait ses coéquipiers à prendre des produits améliorant la performance et à mentir. La source en aurait elle-même utilisés, même si elle n’a jamais été prise en défaut.
Des membres de United States Postal Service, incluant Armstrong, se seraient dopés, selon ce cycliste et deux autres individus ayant requis l’anonymat.
De plus, le champion des États-Unis de cyclisme sur route, George Hincapie, a notamment été contacté par Jeff Novitzky, un agent spécial de la Food and Drug Administration qui est en charge du dossier. Cet enquêteur doit déterminer si le septuple vainqueur du Tour de France, ses entraîneurs et d’autres cyclistes ont comploté pour tromper leurs commanditaires en trichant, dans le but de gagner plus d’argent et de prix.
«Ils ne veulent qu’incriminer Lance Armstrong et c’est mon problème», a indiqué au New York Times Bryan Daly, un avocat représentant les intérêts de l’athlète. Il a ajouté que les cyclistes affirmant que son client a consommé des substances interdites ne disent pas la vérité.
En mai dernier, le cycliste et champion déchu du Tour de France, Floyd Landis, qui avait avoué sa consommation de produits dopants, avait pointé du doigt publiquement son compatriote Armstrong en mentionnant qu’il avait consommé des stéroïdes anabolisants et qu'il avait encouragé autrui à s'en servir.
source : Agence QMI
D’après le New York Times, un ancien partenaire d’Armstrong a parlé au téléphone, mercredi, avec les enquêteurs. Il a raconté en détail son histoire au sein de la formation United States Postal Service. Selon lui, le célèbre cycliste incitait ses coéquipiers à prendre des produits améliorant la performance et à mentir. La source en aurait elle-même utilisés, même si elle n’a jamais été prise en défaut.
Des membres de United States Postal Service, incluant Armstrong, se seraient dopés, selon ce cycliste et deux autres individus ayant requis l’anonymat.
De plus, le champion des États-Unis de cyclisme sur route, George Hincapie, a notamment été contacté par Jeff Novitzky, un agent spécial de la Food and Drug Administration qui est en charge du dossier. Cet enquêteur doit déterminer si le septuple vainqueur du Tour de France, ses entraîneurs et d’autres cyclistes ont comploté pour tromper leurs commanditaires en trichant, dans le but de gagner plus d’argent et de prix.
«Ils ne veulent qu’incriminer Lance Armstrong et c’est mon problème», a indiqué au New York Times Bryan Daly, un avocat représentant les intérêts de l’athlète. Il a ajouté que les cyclistes affirmant que son client a consommé des substances interdites ne disent pas la vérité.
En mai dernier, le cycliste et champion déchu du Tour de France, Floyd Landis, qui avait avoué sa consommation de produits dopants, avait pointé du doigt publiquement son compatriote Armstrong en mentionnant qu’il avait consommé des stéroïdes anabolisants et qu'il avait encouragé autrui à s'en servir.
source : Agence QMI
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