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L’appel de détresse de Sawiris à Ouyahia

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  • L’appel de détresse de Sawiris à Ouyahia

    [B]C’est un vrai cri de détresse que lance le big boss d’Orascom, l’Egyptien Naguib Sawiris. Dans cette lettre, Naguib Sawiris exprime ses craintes quant au sort de sa filiale algérienne, Djezzy, suite aux multiples difficultés que connaît actuellement OTA pour opérer en Algérie : « Tout retard dans la conclusion de la vente de Djezzy, dans les conditions d’exploitation actuelles, pourrait avoir des conséquences très préjudiciables pour OTH et ses investisseurs. » Depuis le 15 avril dernier, la Banque centrale d’Algérie a bloqué toutes les transactions internationales de l’entreprise, l’empêchant ainsi de payer ses fournisseurs ou de rapatrier ses dividendes. « Depuis avril 2010, Djezzy n’a pu remplir ses obligations de paiement aux fournisseurs pour un montant de plus de 1,524 milliard de dinars (…). Les fournisseurs de Djezzy (…) ont menacé de suspendre leurs services et même d’intenter des actions en justice pour non-paiement », écrit le PDG d’Orascom.

    « Cela expose Djezzy à des ruptures de stock et pénurie de pièces de rechange, ajoute Sawiris. Djezzy va de plus en plus subir des pannes d’équipement irréparables, qui auront un impact sévère sur la qualité de son réseau. » Le PDG d’Orascom demande au Premier ministre, Ahmed Ouyahia, de débloquer la situation, notamment en entamant les négociations annoncées depuis avril dernier et toujours au point mort. « Djezzy, OTH et leurs investisseurs espèrent très sincèrement (…) que vous engagerez des actions rapides afin soit de conduire le gouvernement algérien à entamer des négociations avec nous, menant à la conclusion de la cession de nos actifs en Algérie (…), soit de nous permettre de poursuivre notre exploitation en Algérie sans faire face aux difficultés extrêmes actuellement rencontrées. » Mais, comme le souligne TSA, « le gouvernement semble pour l’instant jouer la carte de la montre dans ce dossier en faisant durer l’évaluation financière d’OTA ». Le 22 juillet dernier, le ministre de la Poste et des TIC, Moussa Benhammadi, et le ministre des Finances, Karim Djoudi, avaient laconiquement déclaré que les négociations commenceraient « bientôt ».

    Par Adlène Meddi
    Dernière modification par hben, 06 août 2010, 19h50.
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

  • #2
    Espérons que c'est le début de la fin de ce charognard égyptien.
    si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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    • #3
      « le gouvernement semble pour l’instant jouer la carte de la montre dans ce dossier en faisant durer l’évaluation financière d’OTA »

      faut pas trop en abuser

      cela envoi des signaux pas trés rassurants pour les investisseurs étrangers et même nationaux
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        Du n'importe quoi.

        Deux types d'achat affectent Djezzy.

        - les cartes SIM
        - les équipements réseau pour la maintenance puisqu'il n'investit presque plus, comme tous les opérateurs mobile rentiers en afrique.

        Pour les cartes SIM, il a trouvé une solution il se forunit auprés de HB Technologies en algérie.

        Pour les équipements, il est au même régime que le reste des entreprises y compris algériennes. Le CREDOC.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          « Cela expose Djezzy à des ruptures de stock et pénurie de pièces de rechange, ajoute Sawiris. Djezzy va de plus en plus subir des pannes d’équipement irréparables, qui auront un impact sévère sur la qualité de son réseau. »
          - problème avec le fisc ; les douanes ,les banques ....ect .
          c'est le quotidien de toutes les sociétés en Algérie ce qui était exceptionnelle c'est la protection qu'avait djezzy avant le fameux match.
          - sawiris doit quitter le bled en essayant de sauver ce qu'il peut ; ses ex- protecteurs sont impitoyables il n'as qu"as prendre en exemple moumen khalifa hommes d'affaires internationale qui termine son parcours en simple escroc recherché par interpole.
          "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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