Les choses se compliquent de nouveau pour Axa en Algérie. L'installation du groupe français d'assurance est fortement compromise en raison d'un différend avec le gouvernement sur le projet. Les deux parties peinent à s'entendre sur le choix des actionnaires et la répartition du capital de la filiale algérienne d'Axa.
L'assureur français a accepté la règle dite des 51/49. Mais il souhaite accorder une bonne partie du capital restant à des partenaires privés algériens. Pour Axa, c’est sans doute la garantie d’une grande flexibilité dans la gestion de la future entreprise et dans la prise de décision. Mais le gouvernement s’oppose à cette répartition qui réserverait 25% à un partenaire privé. Il propose une participation renforcée du Fonds national d'investissement (FNI).
Le groupe Axa n'a pas encore renoncé totalement à s'implanter en Algérie, mais son projet initial semble désormais fortement compromis. Après avoir accepté de créer une filiale locale selon la loi dite du 51/49 qui oblige les intérêts algériens à prendre la majorité du capital (51%) dans tout projet d'investissement impliquant des étrangers, Axa est désormais confrontée à de nouvelles contraintes liées à la volonté du gouvernement de lui imposer des partenaires publics.
L'assureur français a accepté la règle dite des 51/49. Mais il souhaite accorder une bonne partie du capital restant à des partenaires privés algériens. Pour Axa, c’est sans doute la garantie d’une grande flexibilité dans la gestion de la future entreprise et dans la prise de décision. Mais le gouvernement s’oppose à cette répartition qui réserverait 25% à un partenaire privé. Il propose une participation renforcée du Fonds national d'investissement (FNI).
Le groupe Axa n'a pas encore renoncé totalement à s'implanter en Algérie, mais son projet initial semble désormais fortement compromis. Après avoir accepté de créer une filiale locale selon la loi dite du 51/49 qui oblige les intérêts algériens à prendre la majorité du capital (51%) dans tout projet d'investissement impliquant des étrangers, Axa est désormais confrontée à de nouvelles contraintes liées à la volonté du gouvernement de lui imposer des partenaires publics.