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Habib Souaïdia, auteur de la Sale Guerre, condamné à mort

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  • Habib Souaïdia, auteur de la Sale Guerre, condamné à mort

    Habib Souaïdia, l' auteur de la Sale Guerre a été condamné à la peine capitale par contumace, étant absent de son procès le 22 Janvier 2006.
    Le procureur général de la cour de Bouira a dit le 26 Janvier que le procès n’était pas politique .

    ===

    Après sa condamnation à la peine capitale par contumace en date du 22 janvier par le tribunal criminel de Bouira, Souïadia El-Habib a vite réagi à travers la TV qatarie Al Jazeera en qualifiant le procès de politique, orchestré par le régime dictatorial en place. Le procureur général de la cour de Bouira, M. Khebizi Sassi, a, dans un point de presse animé hier à la cour de Bouira, souligné que ce procès n’a rien de politique.

    Plusieurs personnes se sont plaintes auprès des services de sécurité et du parquet. Une enquête a été ouverte et après plusieurs recherches, et selon des renseignements faisant état de sa présence à Tébessa, sa ville natale, le juge d’instruction chargé du dossier a délivré une commission rogatoire à son collègue de Tébessa qui est restée infructueuse. Ainsi, un mandat d’arrêt a été lancé, en vain. Le dossier avait suivi son cours normal comme tous les autres dossiers de citoyens sans aucun préjugement.

    Dossier qui a été étudié par la chambre d’accusation avant d’être enrôlé devant le tribunal criminel conformément à la loi.
    Dans le cadre de la session criminelle, ce jugement peut être nul si l’intéressé se présente et fait opposition.

    L’enquête pourrait même reprendre, donc le jugement n’est pas définitif. Pour rappel, Souïadia avait publié le livre La Sale Guerre, pour enfoncer l’Armée algérienne. Mais l’adage dit que le criminel revient toujours sur ses traces. Cette publication lui a été fatale. Il a été vite reconnu par ses victimes. Selon le dossier traité pas le tribunal criminel de Bouira, lors de son audience tenue le 22 janvier dernier, il ressort que l’ex-lieutenant Souïadia El-Habib était poursuivi sous les chefs d’inculpation d’enlèvement et d’assassinat avec préméditation.

    Né le 16 avril 1969 à Tébessa, il s’est engagé dans les rangs de l’ANP où il se propulsa au rang de lieutenant. Il fut affecté à Lakhdaria à la base stationnée au radar. Il profita de la situation confuse et fera des descentes nocturnes au niveau des villages isolés. Selon B. Zohra, l’une des témoins clés, le 22 juillet 1994, Souïadia était à la tête d’un groupe de 20 personnes et effectua une descente à bord d’un camion et un véhicule militaire au niveau de Z’barbar (Lakhdaria) sans informer ses supérieurs. Il enleva plusieurs citoyens qu’il relâcha plus tard, mais garda M. Rachid, son fils Ahmed et son voisin A. Mohamed qui restent disparus à ce jour. La fourrière communale de Lakhdaria était son dada, selon les gardiens T. Ali, B. Mohamed et
    T. Allal. Chaque jour, il passait pour prendre de force des pièces détachées qu’il revendait en complicité avec une autre personne assassinée par les terroristes. Il effectuait de vrais-faux barrages sur la RN5 et volait des véhicules.

    Ce qui lui a été fatal lorsqu’il prit une Golf à un agent des services de sécurité originaire de Béjaïa et qui reconnaîtra plus tard son véhicule à l’intérieur de la caserne où il exerçait (Lakhdaria). Il fut mis sous surveillance par les services secrets puis arrêté en 1996 et condamné par le tribunal militaire de Blida à 4 ans de prison ferme avant d’être radié à vie des rangs de l’ANP. Lors de ce procès, les gardiens de la fourrière avaient apporté leurs témoignages.
    Après avoir publié La Sale Guerre, une équipe de TF1 séjournera à Lakhdaria en date du 7 mars 2001 pour recueillir les témoignages. Il fut vite reconnu par ses victimes sur la photo présentée par l’équipe. B. Zohra apporta son témoignage et se rappela de la journée du 22 juillet de 1994 et de Lahbib surnommé Ringo.

    À la fourrière communale, les gardiens n’avaient aucune difficulté à le reconnaître sur la photo de son propre livre.

    Le 10 avril 2001, une information judiciaire a été ouverte. Les victimes n’ont pas tardé à défiler devant le juge d’instruction chargé du dossier.
    Des témoignages accablants ont été apportés sur les enlèvements perpétrés et autres dépassements sur les populations censées protéger. Le 9 juin 2004, un mandat d’arrêt a été signé par le parquet. Vu son absence, son procès s’est ouvert dimanche.

    Après la lecture du PV de la chambre d’accusation citant les principaux témoins et les griefs retenus contre lui, à savoir l’enlèvement et l’assassinat avec préméditation, le parquet a requis contre lui la peine capitale. Après délibération, le tribunal criminel le condamna par contumace à la peine capitale.

    Par Liberté (26-01-06)

  • #2
    ces des malades lol,dans se cas la on condamne tout le monde,ou on ne condamne personne!

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    • #3
      Je me deamnde bien s'il sera touché lpar a nouvelle loi de reconciliation nationale!

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      • #4
        C'est un scandale

        La peine de mort .
        C'est un scandale .

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        • #5
          En apprenant sa condamnation à mort, il a publié une lettre ouverte.

          Pourquoi les généraux algériens m’ont fait condamner à mort
          Grande est la calamité que m’inflige le pouvoir tyrannique algérien. Dans ces temps extraordinaires, tout comme au temps des massacres et du mensonge, le pouvoir revient à la charge pour mettre sur mes épaules le fardeau de victimes innocentes enlevées, torturées puis exécutées sur l’ordre de l’état-major.

          Le 23 janvier 2006, si j’en crois la presse algérienne (Le Soir d’Algérie, 23 janvier ; L’Expression, 25 janvier ; Liberté, 26 janvier), le tribunal criminel de Bouira m’a condamné à mort pour avoir été prétendument responsable, en juillet 1994, de l’enlèvement et de l’assassinat de trois habitants de Lakhdaria, MM. Medjahed Rachid, Allouache Ahmed et Allouache Mohamed.

          Les véritables assassins de Ahmed et Mohamed Allouache
          Voilà ce qu’a écrit par exemple L’Expression du 25 janvier 2006 : « Les faits de l’affaire jugée dimanche par la cour présidée par Mme Naït Kaci, la présidente de la cour, remontent au 22 juillet 1994 quand une patrouille militaire de l’unité spéciale stationnée au lieudit “Radar de Lakhdaria”, commandée par Souaïdia, a arrêté, au village Zbarboura, des membres des familles Medjahed et Allouache. Quelques heures après, certains membres seront relâchés alors que d’autres disparaîtront à jamais. Le 7 mars 2001, la chaîne française TF1, élabore un reportage sur les lieux et c’est là que la famille Medjahed reconnaîtra sur la photo du livre La Sale Guerre l’auteur du rapt, en l’occurrence Souaïdia Lahbib. Une enquête est demandée alors par le parquet suite à de nouveaux faits révélés par la chaîne. Les témoignages, lors de l’audience du 22 janvier, sont formels : Souaïdia, en sa qualité de chef de l’unité stationnée au Radar de Lakhdaria, a semé la terreur. L’épouse d’un disparu, Medjahed Omar, est catégorique, son fils et son mari ont été enlevés par Souaïdia. »

          La seule chose vraie dans ce tissu de mensonges, c’est que j’étais bien en poste, en 1994, à Lakhdaria en tant que sous-lieutenant d’un régiment des forces spéciales (mais j’étais basé à la « Villa Copawi », et non au « Radar », situé à quelques kilomètres sur la RN 5, qui était le siège du commandement du « Secteur opérationnel de Bouira », le SOB, commandé par le général Abdelaziz Medjahed, secondé par le colonel Saïd Chengriha, et dont nous dépendions).
          C’est là que j’ai assisté aux terribles exactions de certains de mes collègues des forces spéciales et surtout des officiers du DRS, la police politique. C’est parce que je me révoltais contre ces pratiques que j’ai été condamné, sous un faux prétexte, à quatre années de prison en 1995. Et après m’être rendu en 2000 en France (où j’ai obtenu le statut de réfugié politique), j’ai tenu à dénoncer dans mon livre La Sale Guerre (paru en février 2001 aux Éditions La Découverte) les crimes contre l’humanité commis par certaines unités de l’armée algérienne et par le DRS sur ordre de généraux .
          « éradicateurs ».
          (...)
          À propos de ma condamnation à mort, le procureur de Bouira, M. Khebizi Sassi, a affirmé que « ce procès n’a rien de politique » (Liberté, 26 janvier 2006). Dans ce cas, M. le procureur, si vous avez le courage de le faire, je vous demande de citer à comparaître tous ces responsables militaires. Et je vous fournirai des preuves tangibles qui les accusent d’avoir organisé des crimes contre l’humanité qui ont fait des dizaines de milliers de victimes. Je demande aussi à M. le procureur de nous expliquer où a été la justice depuis que les trois victimes que l’on m’accuse d’avoir tuées ont « disparu » en 1994. Je demande aussi à M. le procureur, si jamais je rentre en Algérie, est-ce qu’il peut me garantir un procès équitable ? Est-ce qu’il peut me protéger contre la torture ? Parce qu’en lisant vos propos, j’ai presque cru un moment que l’Algérie était devenue un pays démocratique, respectant la dignité humaine. Mais cette illusion s’est vite dissipée, et je ne doute pas que vous avez reçu vos instructions, comme la présidente du tribunal qui m’a condamné à mort.

          Des instructions qui ont été, de toute évidence, également données aux journalistes qui ont « objectivement » rendu compte de ce procès absurde, comme en témoigne par exemple le délire signé par un certain « Merzouk Abdenour » dans le quotidien L’Expression du 25 janvier 2006 : « Dans l’arrêt rendu par la cour de Bouira, il est clairement mentionné que l’intéressé doit être arrêté à sa première apparition. Avant l’exécution de cet ordre d’amener, les autorités nationales s’attèlent déjà à repérer le criminel qui a séjourné en France avant de prendre la clé des champs surtout que sa tentative de discréditer les forces de sécurité avait foiré. Bénéficiant de l’appui des groupes occultes, ennemis de l’Algérie dont il a essayé de ternir l’image, l’auteur de La sale guerre, aurait, selon une information, quitté la France.

          « L’Angleterre semble, selon notre information, être le pays d’accueil surtout qu’aucune convention relative aux extraditions n’existe entre l’Algérie et ce pays longtemps terre d’asile à la mouvance terroriste du monde. Les attentats de septembre et ceux de Londres et le revirement du gouvernement de Tony Blair, dans le traitement du dossier de lutte contre le terrorisme, laissent penser que le criminel finira par être arrêté et remis aux autorités algériennes. Une autre source pense que Souaïdia aurait regagné l’Irak, où il entraîne des kamikazes. »

          Ce n’est même plus de la désinformation, c’est de la simple bêtise – un signe de la déliquescence du DRS ? –, puisque, le 24 janvier 2006, j’ai donné depuis Paris, où je réside toujours, sans me cacher, une longue interview à la chaîne arabe Al-Jazira pour expliquer la manœuvre dont j’étais l’objet. Et le procureur de Bouira voudrait faire croire que « ce procès n’a rien de politique » !

          Il faut refuser de se taire


          Reste à expliquer pourquoi, aujourd’hui, le pouvoir algérien a jugé nécessaire cette absurde condamnation à mort. Je ne peux formuler des hypothèses qu’à partir de ma propre expérience. Je vois au moins deux raisons principales. La première est d’accréditer la nouvelle thèse du pouvoir, formulée par Me Farouk Ksentini, l’avocat du diable qui prétend être un « défenseur des droits de l’homme », selon laquelle « l’État est responsable mais pas coupable » des crimes commis par des militaires et des policiers durant la décennie noire. Méprisant la douleur et les larmes des parents de victimes, il veut effacer la réalité du terrorisme d’État, de la stratégie d’extermination, et faire croire qu’il n’y a eu que des « actes isolés », des bavures commises ici et là par quelques brebis égarées, comme si la torture, les massacres et les exécutions extrajudiciaires n’étaient qu’une chimère inventée par les « ennemis de l’Algérie ». Quoi de mieux pour cela que de me faire passer pour un assassin ayant agi « sans que personne parmi [mes] supérieurs soit au courant » (Le Soir d’Algérie, 23 janvier 2006) ?

          La seconde raison est d’envoyer un avertissement clair à tous les policiers et militaires algériens qui seraient tentés de dénoncer, comme je l’ai fait, les horreurs dont ils ont été témoins. Je sais qu’ils sont nombreux, en exil comme en Algérie même, les hommes et les femmes honnêtes qui voudraient le faire. Mais aujourd’hui, à la veille de l’amnistie générale des généraux assassins, ceux-ci leur disent solennellement, à travers ma condamnation à mort : taisez-vous, ou sinon on montera un « scénario judiciaire » pour faire de vous des criminels, ou encore c’est votre famille qui sera victime de représailles.

          Pendant mes cinq années d’exil en France, avec d’autres, j’ai témoigné et couru partout pour dénoncer les crimes contre l’humanité perpétrés par la secte au pouvoir et ses complices. Mais jusqu’ici, il faut bien reconnaître que nos efforts n’ont guère été fructueux. Les calomnies écœurantes d’une certaine presse vénale algérienne, aux ordres des bourreaux, ont insufflé aux Occidentaux tant de mensonges contre les Algériens qui s’obstinent à défendre l’honneur de leur patrie contre ceux qui l’assassinent, qu’ils sont ignorés et déconsidérés. Et, depuis le 11 septembre 2001, la « communauté internationale » ne veut plus rien savoir des violations des droits de l’homme commis par des régimes usurpatoires, aussi l’interdit s’est-il installé et la conscience a-t-elle démissionné.

          Malgré cela, il ne faut pas se décourager dans le combat pour la vérité et la justice. La mobilisation courageuse des mères et femmes de « disparus » nous donne l’exemple : il est du devoir de tous les Algériens de connaître et faire connaître la réalité sur le pouvoir militaire. Pour ma part, ma condamnation à mort ne me fera pas taire, car j’estime qu’il est de mon devoir, en tant qu’ex-militaire algérien, de tout faire pour dénoncer la responsabilité des généraux et de leurs alliés dans la sale guerre qui a endeuillé mon pays.

          Pour lire dans son intégralité son texte Pourquoi les généraux algériens m’ont fait condamner à mort

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          • #6
            :22: Mais une peine de mort parcontumance n est que de la poudre aux yeux, car meme s il est arreter son proces reprendr a a zero, nous avons vu cela avec les elements du fis et des assassins arreter apres leurs candamnations, ils ont vite ecoper 2o ans.
            Alors sounia doit faire appel a ceux qui l ont manipuler a l etranger pour ecrire des faussetes sur les militairees algeriens, l histoire de qui tu qui.

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            • #7
              Ils viennent de lui donner le meilleur argument pour beneficier de l'asile politique qqlq part en Europe.
              Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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              • #8
                A mon avis ce type reconnait quelque part qu'il a tué quand il dit par exemple "Quoi de mieux pour cela que de me faire passer pour un assassin ayant agi « sans que personne parmi [mes] supérieurs soit au courant »
                Ce qui le dérange peut être c'est que ses supérieurs bénéficient de tout les pouvoirs qui risquent de ne jamais être condamnés si un procés pour des crimes contre l'humanité sera ouvert un jour .........tout comme l'affaire anti-corruption lancée vers 98 ou des comptables des entreprises publiques un peu partout en Algérie avaient été arrétés ,et leurs supérieurs arrétés mais on avait entendu aucun nom d'un général , ministre ...etc L'affaire Khalifa aussi va dans ce sens...ils n'ont pas osé toucher plus haut , et je doute pas qu'ils retourneraient contre d'autres miltaires comme Souaidia exercants encore au sein de l'armée ....et bien sûr ils ne toucheraient pas les "propiétaires" de ce pays....
                Ils pourraient même retourner un jour contre des gens ayant écrit ce genre de propos sur le net , ce qu'ils veulent c'est des gens comme LE CHACAL une véritable BROSSE A RELIURE au régime en place ...
                Souaidia sera rattrappé par le temps pour dire toutes les vérités devant le peuple algérien sur ses supérieurs un par un ....en Algérie ou ailleurs et pas à travers un chiffon ou un livre .....
                En attendant ce jour , on sait pas ou le MOSSAD (champion à repérer tout individu sur cette planête) finira par le repérer et on nous annoncera qu'il a été fauché par une voiture ou quelque chose comme ca ...
                On a faire à l'un des plus dangereux régimes de la planète !

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                • #9
                  MATOUB 1.Il ne suffit pas de critiquerpour etre dans la verite, le coup de brosse dans tu fais mention ne blesse nullement, autre chose je n ai aucun parent de prs ou de loin responssable dans les institutions de l etat, et encore moin de parent industriels ou autres.
                  Mais le temps ne rattrape que les menteurs et les faiseurs d histoire, khalifa n a aucun general avec lui, ces histoires des generaux est devenus comme une monnaie courante chez les charlatants de tout bord.
                  alors laissant l histoire s ecrire et cessez d insulter les personnes de brosseurs oyu de quoi que ce soi.
                  Matoub 1, ton speudo veut tout dire, tu veux a tout prix abattre le pouvoir en place et ton message se distilise suivants tes ecrits, la n est pas le mal, c est ton droit mais essaye d etre un peu respecteux envers les autres.

                  Commentaire


                  • #10
                    Quoi de mieux pour cela que de me faire passer pour un assassin ayant agi « sans que personne parmi [mes] supérieurs soit au courant »



                    On l'a fait passer pour un assassin et c'est ce que le pouvoir avait de mieux à faire en les circonstances...
                    C'est ce qu'il a écrit...
                    Matoub1 comprend de travers...

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                    • #11
                      :22: lES TUEURS sont defois imprevisibles et cote comme etant des personnes serieuse, les meurtres des ghandis et de nehru, de abraham lincoln, de kennedy, du premier ministre d oslo, des rois tel henmri IV, celui d autriche et autres crimes non resolus.
                      C estdans une telle confusion et un manque d idee plausible, que la rumeur s alimente chez certains personnes par manque d analyse et autres phenomene de la manipulation.
                      Car ceux qui tues politiquement ne laissent jamais derriere eux l assassin, voir l affaire kennedy, alors un tueur peut agir defois selon sa foi et sa consciente croyant bien faire, ou revant d etre un heros.

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                      • #12
                        Bachi
                        « sans que personne parmi [mes] supérieurs soit au courant »

                        A mon avis il veut dire tout simplement que ses supérieurs savaient ce qu'il faisait , qu'il tuait quoi ....

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                        • #13
                          Simple remarque

                          Insister a condanner cette personne alors qu'on pardonne a tt le monde c'a me parait un peut bizard!!!!


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                          • #14
                            Diabolo-menteur

                            Hier Mr SOUAIDIA avait vendu son honneur et celui de sa corporation pour une poignées d' ex francs français dévalués. Son pseudo livre a été rédigé par les services secrets francais qui l'ont récompensé en lui octroyant l'asile politique, alors qu'ils l'avaient refusé à des gens en véritable danger de mort.
                            Il a de ce fait vendu son ame à belzebuth.
                            Aujourd'hui il veut nous apparaitre comme une pauvre victime du systeme qui l'a nourit.
                            alors qu'il a lui même signe un pacte avec satan.
                            Si il est comdmné à 2mois de prison, à perpetuité , à la peine capitale ou à l'indignité, on s'en tape , on a envie de l'oublier pour toujours.
                            Qu'il aille au diable !!!!!!!

                            Commentaire


                            • #15
                              l'algerie n'applique plus la peine de mort depuis belle lurette.par contre en irak saddam hussein va être éxécuté certainement et cela avant d'aborder les épisodes gênants pour ses anciens alliés occidentaux.
                              rappelez moi ,les usa étaient intervenus pour rétablir la démocratie ? je ne me trompe pas ?

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