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Avant quelques semaines de son approbation
Les nouvelles mesures prévues par la LFC 2010 inquiètent les opérateurs économiques
De nombreux opérateurs économiques étrangers activant en Algérie ou ceux qui souhaitent venir s’installer en Algérie disent être inquiets par rapport aux nouvelles mesures prévues par la loi de finances 2010, dont l’approbation aura lieu dans les quelques semaines à venir.
Les investisseurs étrangers craignent que de nouvelles mesures de a loi de finance commentaire 2010 ne viennent encore compliquer leurs activités dans le pays, en particulier, le maintien des mesures contenue dans la LFC 2009, portant sur le partage du capital des entreprises à raison de 51% pour la partie algérienne et 49 pour la partie étrangère.
Ainsi, les investisseurs étrangers ont exprimé leur mécontentement du contenu d’un article qui sera probablement inclus dans la LFC 2010, et qui oblige les sociétés étrangères à communiquer aux autorités algériennes une liste comportant tous les noms des actionnaires.
Le deuxième point qui a suscité l’inquiétude des opérateurs économiques est la décision du gouvernement de réviser le prix de la cession de n’importe quelle entreprise publique, dans un délai ne pas dépassant une année, s’il constate que le prix initial convenu ne représente pas la valeur réelle de l’entreprise.
El Khabar
Les nouvelles mesures prévues par la LFC 2010 inquiètent les opérateurs économiques
De nombreux opérateurs économiques étrangers activant en Algérie ou ceux qui souhaitent venir s’installer en Algérie disent être inquiets par rapport aux nouvelles mesures prévues par la loi de finances 2010, dont l’approbation aura lieu dans les quelques semaines à venir.
Les investisseurs étrangers craignent que de nouvelles mesures de a loi de finance commentaire 2010 ne viennent encore compliquer leurs activités dans le pays, en particulier, le maintien des mesures contenue dans la LFC 2009, portant sur le partage du capital des entreprises à raison de 51% pour la partie algérienne et 49 pour la partie étrangère.
Ainsi, les investisseurs étrangers ont exprimé leur mécontentement du contenu d’un article qui sera probablement inclus dans la LFC 2010, et qui oblige les sociétés étrangères à communiquer aux autorités algériennes une liste comportant tous les noms des actionnaires.
Le deuxième point qui a suscité l’inquiétude des opérateurs économiques est la décision du gouvernement de réviser le prix de la cession de n’importe quelle entreprise publique, dans un délai ne pas dépassant une année, s’il constate que le prix initial convenu ne représente pas la valeur réelle de l’entreprise.
El Khabar