Certaines mésaventures nous font rigoler le reste à chaque fois qu’on se les rappelle…
Avant de lire les votres, voici une des miennes :
J’étais bidasse (service militaire). Un temps à ne pas mettre un chat dehors. Un froid de canard et une faim de loup. Rien dans le mess à part du gros pain. J’avais juste quelques dinars, je me souviens ; mais cette fortune pouvait m’acheter 4 œufs, la tête haute. Cependant, la ville était à 2 kms et le ciel d’hiver menaçant.
Pas de problème ! Rien n’arrête et n’entrave la volonté de Zac ! surtout sa... goinfrerie.
j’y vais au pas de course, je m’achète les 4 œufs et je reviens.
Je fais un crochet du coté du mess, je prends du pain, de l’huile et du sel et je reviens dans ma chambre. Je mets ma gamelle sur le feu (résistance) et j’invite le premier œuf à faire plouf ! il plonge… qu’il était beau, cet œuf ! le blanc, transparent au départ, devenait de plus en plus blanc et le jaune tournait à l’or et à mes yeux, il valait plus que du diamant, ce jaune d’œuf couleur d’or.
La toile d'araignée qui avait envahi ma panse commençait à déchanter.
J’invite le second œuf à rejoindre son semblable. Il obtempère sans rechigner et se métamorphose tout comme le premier. Quelle belle aquarelle ! J’invite le troisième, même docilité.
J'avais l'eau à la bouche, l'eau ? que dis-je, une rivière !
puis…
vint le tour du quatrième et du dernier œuf…
Ya m’haynék !
Je le casse, je l’ouvre et il inonde les 3 premiers…non pas d’un blanc et d’un jaune de sa même race, mais d’un liquide noirâtre, couleur d’égouts, infecte et tellement nauséabond que j’ai ouvert les fenêtres malgré le froid glacial pour ne pas mourir asphyxié…
Il aurait pu être le premier et il me serait resté 3 à manger, ou le second et il me serait resté 2 à boustifailler, au moins le troisième et je me serai contenté d’un seul !!
non la poisse a voulu qu’il soit le quatrième.
Avant de lire les votres, voici une des miennes :
J’étais bidasse (service militaire). Un temps à ne pas mettre un chat dehors. Un froid de canard et une faim de loup. Rien dans le mess à part du gros pain. J’avais juste quelques dinars, je me souviens ; mais cette fortune pouvait m’acheter 4 œufs, la tête haute. Cependant, la ville était à 2 kms et le ciel d’hiver menaçant.
Pas de problème ! Rien n’arrête et n’entrave la volonté de Zac ! surtout sa... goinfrerie.
j’y vais au pas de course, je m’achète les 4 œufs et je reviens.
Je fais un crochet du coté du mess, je prends du pain, de l’huile et du sel et je reviens dans ma chambre. Je mets ma gamelle sur le feu (résistance) et j’invite le premier œuf à faire plouf ! il plonge… qu’il était beau, cet œuf ! le blanc, transparent au départ, devenait de plus en plus blanc et le jaune tournait à l’or et à mes yeux, il valait plus que du diamant, ce jaune d’œuf couleur d’or.
La toile d'araignée qui avait envahi ma panse commençait à déchanter.
J’invite le second œuf à rejoindre son semblable. Il obtempère sans rechigner et se métamorphose tout comme le premier. Quelle belle aquarelle ! J’invite le troisième, même docilité.
J'avais l'eau à la bouche, l'eau ? que dis-je, une rivière !
puis…
vint le tour du quatrième et du dernier œuf…
Ya m’haynék !
Je le casse, je l’ouvre et il inonde les 3 premiers…non pas d’un blanc et d’un jaune de sa même race, mais d’un liquide noirâtre, couleur d’égouts, infecte et tellement nauséabond que j’ai ouvert les fenêtres malgré le froid glacial pour ne pas mourir asphyxié…
Il aurait pu être le premier et il me serait resté 3 à manger, ou le second et il me serait resté 2 à boustifailler, au moins le troisième et je me serai contenté d’un seul !!
non la poisse a voulu qu’il soit le quatrième.
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