[IMG]http://www.***********.com/images/articles/Khelil.jpg[/IMG] C’est une bataille d’importance que vient de remporter Sonatrach dans son bras de fer avec l’Espagne sur les prix du gaz naturel exporté vers ce pays. Après trois ans de bataille judiciaire, la société nationale des hydrocarbures a eu gain de cause face au groupe espagnol Gas Natural, principal client de Sonatrach. Le tribunal d’arbitrage a statué que Sonatrach a le droit d’augmenter le prix du gaz fourni au groupe espagnol via le gazoduc Maghreb-Europe. Les volumes transitant par ce gazoduc représentant 25% des importations espagnoles de gaz depuis 2005.
Gas Natural a pris acte de la décision du tribunal d’arbitrage. Mais il semble vouloir la contester en appel. « La société étudie cette décision avec laquelle elle n'est pas d'accord afin de faire une évaluation plus détaillée et déterminer les mesures qu'elle peut prendre pour défendre ses droits », a expliqué Gas Natural dans un communiqué publié lundi après la clôture de la Bourse.
Le conflit entre les deux parties a éclaté en 2007. L’Algérie avait demandé une hausse de 20% des prix de son gaz vendu à l’Espagne via Gas Natural. L’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, avait estimé à 600 millions de dollars par an les pertes engendrées à Sonatrach par le maintien du tarif actuel de son gaz vendu à l’Espagne. La décision du tribunal d’arbitrage intervient dans un contexte marqué par une baisse des prix du gaz sur les marchés internationaux. En 2007, au moment de la demande algérienne, les prix du gaz étaient au plus haut après la flambée de ceux du pétrole.
TSA
Gas Natural a pris acte de la décision du tribunal d’arbitrage. Mais il semble vouloir la contester en appel. « La société étudie cette décision avec laquelle elle n'est pas d'accord afin de faire une évaluation plus détaillée et déterminer les mesures qu'elle peut prendre pour défendre ses droits », a expliqué Gas Natural dans un communiqué publié lundi après la clôture de la Bourse.
Le conflit entre les deux parties a éclaté en 2007. L’Algérie avait demandé une hausse de 20% des prix de son gaz vendu à l’Espagne via Gas Natural. L’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, avait estimé à 600 millions de dollars par an les pertes engendrées à Sonatrach par le maintien du tarif actuel de son gaz vendu à l’Espagne. La décision du tribunal d’arbitrage intervient dans un contexte marqué par une baisse des prix du gaz sur les marchés internationaux. En 2007, au moment de la demande algérienne, les prix du gaz étaient au plus haut après la flambée de ceux du pétrole.
TSA
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