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L'OLP accepte de reprendre les négociations aves les sionistes

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  • L'OLP accepte de reprendre les négociations aves les sionistes

    Obama invite Israéliens et Palestiniens à renouer le dialogue direct le 2 septembre. Mahmoud Abbas et l'Organisation de libération de la Palestine ont donné leur accord.

    Israéliens et Palestiniens ont rendez-vous le 2 septembre à Washington. Ce jour-là, Barack Obama, flanqué de Benyamin Nétanyahou et de Mahmoud Abbas, donnera officiellement le coup d'envoi de négociations directes, gelées depuis dix-neuf mois. Un succès diplomatique annoncé vendredi par Hillary Clinton, la secrétaire d'État américaine, et confirmé par l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) selon l'un de ses responsables. Mais l'embellie risque de tourner court. Les difficultés rencontrées pour convaincre le président palestinien et le premier ministre israélien de s'asseoir à la même table augurent mal de l'avenir.

    Un exemple : les deux parties vont répondre en fait à deux invitations. Mahmoud Abbas a accepté d'aller à Washington sur la base d'une déclaration publiée hier par le Quartette pour le Proche-Orient. Ce texte concocté laborieusement par les États-Unis, l'Union européenne, la Russie et l'ONU affirme qu'un accord de paix «peut être obtenu en un an» pour mettre fin à «l'occupation (israélienne) qui a débuté en 1967», sans toutefois exiger de façon explicite un gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie. Malgré ces précautions de langage, des proches de Benyamin Nétanyahou ont fait savoir hier qu'il n'irait à Washington qu'en réponse à l'invitation des États-Unis, formulée sans aucune condition préalable.

    L'écueil de l'ordre du jour

    Bref, le climat reste à la méfiance. Les Palestiniens, qui redoutaient de faire un cadeau à Israël en acceptant de négocier directement, ont traîné les pieds. Mais Mahmoud Abbas a été soumis à de telles pressions internationales qu'il a dû céder. Pour répondre aux critiques des islamistes du Hamas qui contrôlent la bande de Gaza et obtenir le feu vert de l'OLP, il ne manque pas d'expliquer que la déclaration du Quartette, malgré ses ambiguïtés, offre des garanties - en fixant l'objectif d'une date butoir pour ces négociations, en prônant implicitement un retrait israélien de Cisjordanie et de la partie arabe de Jérusalem, ainsi qu'un gel total de la colonisation israélienne.

    Benyamin Nétanyahou devrait lui aussi pouvoir calmer les «durs» de sa coalition. Sur le dossier hypersensible de la colonisation, il a refusé de prolonger le moratoire de dix mois de la construction de logements dans les colonies de Cisjordanie, qui arrive à expiration le 26 septembre. Tout au plus pourrait-il, selon plusieurs de ses proches, accepter de relancer les chantiers uniquement dans les blocs de grandes colonies qui doivent, selon lui, être annexés à Israël dans le cadre de tout accord de paix final. Les constructions dans les petites colonies isolées, qui pourraient être démantelées ou passer sous souveraineté palestinienne, continueraient en revanche à être gelées. Les commentateurs estiment qu'il ne peut pas aller plus loin, sauf à risquer l'implosion de sa coalition, formée notamment de partis ultranationalistes et religieux.

    Sur d'autres fronts, Benyamin Nétanyahou ne semble en revanche pas disposé à la moindre concession pouvant constituer une «menace» pour Israël. Il exige ainsi une présence permanente de l'armée israélienne dans la vallée du Jourdain, le long de la frontière avec la Jordanie, et n'accepte pas un partage de Jérusalem, considérée comme la capitale «éternelle et indivisible» d'Israël. Le premier ministre estime en outre que les questions de sécurité devront être discutées en priorité, contrairement aux Palestiniens qui veulent évoquer d'abord le tracé des frontières. Autant dire que fixer un ordre du jour ne s'annonce pas comme une partie de plaisir.

    Les Américains devront sans doute, une fois de plus, s'impliquer lourdement dans ces négociations «directes» s'ils ne veulent pas voir des mois de tractations diplomatiques aboutir rapidement à un nouveau fiasco. George Mitchell n'a pas exclu hier qu'en cas de blocage les États-Unis proposent des «compromis». Hillary Clinton s'est montrée d'un optimisme très mesuré : «Il y a eu des difficultés dans le passé, il y en aura devant nous. Je demande aux parties de persévérer.»

  • #2
    Négociation sans pré condition, donc.
    Israel aura gagné, l'OLP et Obama ont reculé finalement sur la condition de l'arret de la colonisation...

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    • #3
      Négociation sans pré condition, donc.
      Israel aura gagné, l'OLP et Obama ont reculé finalement sur la condition de l'arret de la colonisation...
      je ne sais pas pour Obama , mais est ce que les palestiniens ont réellement le choix ?? s'ils n'acceptent pas de négocier , ils continueront à en prendre plein la tronche , s'ils négocient , y a des grandes chances qu'ils en prennent plein la tronche , donc oui , effectivement Israël a gagnée , et continuera de gagner tant que les arabes , palestiniens , inclus , ne se décident à adopter un politique sur le long terme , plutôt que de se morfondre dans un posture de déni total par rapport à une situation ou ils n'ont clairement pas la main .

      parfois je ne peut m'empêcher de me demander : à quoi ressemblerait le Moyen orient aujourd'hui si les arabes avaient acceptés le plan de partage en 1948 ................. les pro palestiniens diront que de toute facon, israel aurait déclenché les hostilités , mais franchement , j'y crois pas .....
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        Je ne causais que des préconditions qu'Obama et l'OLP ont dû abandonner.
        Pour la négociation directe comme telle, je suis de ton avis, les Palestiniens ont besoin d'arriver à un accord définitif.

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        • #5
          Je ne causais que des préconditions qu'Obama et l'OLP ont dû abandonner.
          Pour la négociation directe comme telle, je suis de ton avis, les Palestiniens ont besoin d'arriver à un accord définitif.
          je doute franchement qu'un accord soit possible avec ce criminel de Nétanyahu , autant éspére la sortie de sharon du COMA
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #6
            Les Palestiniens ne sont pas d'accord entre et ils s’entre tuent même entre eux !
            Leurs fréres arabes les ont abandonné à leur sort ..et se fichent royalement de la Palestine !
            Dés lors , quelle alternative s’offre à l'OLP en dehors …de prendre les armes ?

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            • #7
              ça ne va rien donner, c'est de la perte de temps que Obama va essayer de faire passer comme une victoire diplomatique pour les USA.

              Aucun des deux camps n'est prêt à accepter des compromis de taille à arrêter le conflit une fois pour toute. Et même s'ils le voulaient, ils ne sont pas assez forts pour le faire, les plus radicaux dans leurs camps vont tout rejeter.

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              • #8
                -Obama profitera politiquement de ces pseudos négociations, il n'en a cure du sort des palestiniens.
                -Le chef sioniste se fera une virginité perdu par une succession d'échecs diplomatiques, il n'en a cure du sort de l'état palestinien qui ne verra pas le jour sous son mandat.
                -Mahmoud abbas confirmera son statut de toujours : didon de la farce, je le soupçonne même de pouvoir vendre son pays pour une bouchée de pain surtout qu'il lui ont collé dérrière un pion de taille Fayad un vendu comme pas possible.

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                • #9
                  echec prevu dès la semaine du 20 septembre

                  y aura peut être même pas démarrage de ces negociations........

                  Y a déjà tout un debat sur un blocage des negociations si au 27 septembre le moiratoire de la colonisation en Cis- jordanie n'est pas reconduit.

                  les causes d' une panne au démarrage sont déjà activées .

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                  • #10
                    les condition sionistes :

                    1) présence permanente de l'armée israélienne dans la vallée du Jourdain, le long de la frontière avec la Jordanie
                    2) un partage de Jérusalem impossible
                    3) L'atat juif lui permet de chasser ce qui reste de palestiniens
                    4) pas de retour pour les palestiniens

                    Bref on se demande bien sur quoi vont discuter les moineaux de l'OLP.

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                    • #11
                      L'OLP accepte de reprendre les négociations aves les sionistes
                      tell me something new...

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