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L'espérance de vie à 100 ans d'ici 2030

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  • L'espérance de vie à 100 ans d'ici 2030

    Vivre jusqu'à 100 ans est considéré comme un exploit de nos jours, mais cela pourrait bien devenir la norme au cours des prochaines années.

    Selon un chercheur de l'université Stanford, en Californie, l'espérance de vie des gens qui vivent dans la majorité des pays industrialisés pourrait atteindre 100 ans au cours des 25 prochaines années. Il estime que, d'ici 2030, les avancées dans le traitement des maladies telles que le cancer ainsi que les percées technologiques pour contrer le vieillissement vont permettre aux gens de vivre en moyenne une centaine d'années.

    Actuellement, l'espérance de vie dans les pays industrialisés se situe à moins de 80 ans.

    - RadioCanada

  • #2
    t'es sur thirga,

    meme si on arrive a traiter le cancer et le sida,y aura surement des nouvautes,sans oublier biensur la maladie de la vache folle,la grippe aviere et peut etre plus tard les poissons auront la rougeole.ajoutons a tout ca le tsunami et les autres catastrophes naturelles,les accidents de travail,les crashs d'avions...etc...etc.

    a mon avis l'esperence de vie a l'horizon 2030 sera de 25 ans.

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    • #3
      Bonsoir,
      je partage ton avis orand sur le fait que meme si on arrive a trouver un remède au sida et au cancer, il y aurait certainement d'autre maladies qui vont apparaitre.

      Cependant, je n'irai pas jusqu'a dire que l'espèrance de vie serai de 25ans

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      • #4
        Salut
        Thirga a tout à fait raison ...

        Une figure vaut mieux que mille mot (faites vous meme l'extrapolation dans 20 ans):

        L'espérance de vie a incroyablement progressé


        Dans la plupart des pays, l'espérance de vie des femmes est plus importante que celle des hommes.

        Les guerres la font diminuer, alors que les progrès de la médecine et du niveau de vie (hygiène, vaccins, alimentation ...) tendent à l'allonger.

        De 1900 à 2000 l'espérance de vie en France est passée de 40 à 78 ans. Cette avancée extraordinaire a été le résultat de nombreux progrès en majorité collectifs :

        * progrès de la médecine : prise en charge de la grossesse et des nourrissons, asepsie, antibiotiques, vaccinations, chirurgie…
        * politique de santé publique : lutte contre les risques alimentaires, politique de sécurité des transports, normes de sécurité dans les entreprises et les bâtiments, campagnes contre le tabac et l'alcool…
        * progrès techniques : conservation des aliments par le froid, baisse du prix du chauffage et de l'énergie, matériels de sécurité incendie ou autre
        * hausse du niveau de vie, réduction de l'extrême pauvreté et des carences alimentaires graves associées à cette situation, accessibilité à la majorité d'un confort autrefois réservé à une élite (eau courante, électricité, chauffage, accès au logement …)

        Les causes individuelles ont également joué un rôle dans l'augmentation de la durée de vie. La prise de conscience de l'importance de la prévention a modelé les comportements : diminution de la consommation d'alcool, hygiène, asepsie, prise de conscience de l'importance de l'activité physique et de l'équilibre alimentaire pour la santé…

        Pour prendre conscience de l'énormité des progrès accomplis depuis trois siècles, rien ne vaut un dessin.

        Voici la courbe d'évolution de l'espérance de vie des hommes et des femmes depuis que cette statistique est disponible en France. Elle tient compte de la très forte mortalité infantile d'autrefois, et donne l'impression fausse que les hommes en 1750 mouraient à trente ans. En réalité, l'étude des ossements dans les cimetières à diverses époques (depuis l'antiquité) montrent que la mortalité était extrêmement forte avant cinq ans, puis ensuite à partir de cinquante ans.

        Les hommes qui n'étaient pas emportés par les maladies infantiles vivaient donc en général jusqu'à cinquante ans, sauf pendant les périodes de famine.
        Les choix individuelles sont de plus en plus importants

        Aujourd'hui 80 % des décès sont dus aux cancers, aux maladies cardio-vasculaires, aux accidents et aux suicides. Ces décès dépendent tout autant de notre comportement individuel que de causes collectives. L'état peut augmenter les taxes sur le tabac, mais nous pouvons décider de ne pas fumer.

        Jusqu'au vingtième siècle, l'individu mourait soit très jeune (avant 5 ans) ou dans la soixantaine. Il n'y pouvait pas grand chose, car l'ignorance était telle que le libre arbitre pouvait difficilement s'exercer.

        Alors qu'en 1700 personne ne savait comment vivre plus longtemps, on vit aujourd'hui en moyenne dix ans de plus ou de moins selon ses choix individuels. Si vous fumez, buvez trop, mangez peu équilibré et ne faites pas d'exercice, vous pouvez perdre vingt ans d'espérance de vie par rapport à une vie plus saine.

        source: http://www.retourvital.com/Maitriser...ranceDeVie.htm

        Donc Orandbx, 25 !!! soyons serieux mon ami.
        Sans doute, comme l'a dit Orchidee, l'apparition de maladies nouvelles est une constante de la nature, aspect de l'évolution de tout les organisms vivants. Mais la science a son mot à dire dans tout cela ... et elle evolue à une vitesse vertiginante.

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        • #5

          wikipedia

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          • #6
            et peut etre plus tard les poissons auront la rougeole
            J'aimerai bien voir un poisson moucheté

            J'ai une tante qui à 97 ans et elle se porte comme un charme, elle a une mémoire plus fraîche que la mienne.

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            • #7
              @ vague,

              ce que je craints le pluss est que ca arrive aux poissons rouges.on pourra pas voir la difference.

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