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L'Algérie, un pays saigné au profit des clans, par Hocine Ait-Ahmed

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  • L'Algérie, un pays saigné au profit des clans, par Hocine Ait-Ahmed

    La non transparence en Algérie, est l’un des problèmes majeure pour l’évolution de ce pays. Le floue qui continue de régner n’est guerre encourageant. Pour combien de temps encore …

    ----------------------------


    LE MONDE | 13.03.06 | 14h05 • Mis à jour le 13.03.06 | 14h05

    La maladie du président Abdelaziz Bouteflika, évacué en urgence vers l'hôpital parisien du Val-de-Grâce le 26 novembre 2005 et rentré triomphalement à Alger le 31 décembre, a constitué un rude moment de vérité pour un régime jusque-là passé maître dans l'art de la dissimulation. Répondant dans une langue de bois du plus pur style stalinien aux interrogations légitimes sur la maladie du président, les officiels algériens ont "naturellement" opté pour la dénonciation des "ennemis", là où seule était en cause l'incompétence à communiquer sereinement et sincèrement.

    Mais cette opacité n'a rien à voir avec celle qui a pu être entretenue en France autour de la maladie de certains chefs d'Etat. Elle est le symptôme d'un système politique qui a de longue date sombré dans les méandres de l'informel, où les mensonges officiels ne se comptent plus, où culte de la personnalité, népotisme et coups de Jarnac sont les seuls guides de ceux qui exercent des fonctions institutionnelles. Plus personne en Algérie, du général le plus gradé au citoyen lambda, n'ignore qu'aucune information publique n'est fiable, et qu'elle peut tout juste être labélisée par tel ou tel décideur de l'ombre, tirant les ficelles des divers officiels, marionnettes chargées d'animer la façade démocratique. Dans ce théâtre d'ombres, le chef de l'Etat occupe le rôle de chef d'orchestre des apparences, et sa défaillance imprévue explique la soudaine sidération de l'Algérie officielle.

    Mis à mal par les choix désastreux opérés à la faveur d'une "sale guerre" qui, depuis 1992, a fait 200 000 morts et des milliers de disparus, piégés dans des alliances douteuses avec la lie de la société, englués dans d'inextricables affaires de corruption, ne sachant plus comment répondre aux problèmes du pays, les vrais responsables algériens ont confié en 1999 l'obligation de communiquer à un président capable de toutes les outrances verbales et n'ayant aucun scrupule à dire une chose et son contraire. Avant même que la maladie du président ne vienne dévoiler les dysfonctionnements du système, ce choix tactique d'attribuer le rôle de "diseur public" à un homme surtout soucieux de paraître allait se révéler un facteur aggravant de la crise.

    Quand les scandales et les révélations d'anciens officiers de l'armée sur la "sale guerre" ont commencé à éclabousser la hiérarchie militaire, les détenteurs du pouvoir réel ont mis en cause la "mauvaise communication". Ces hommes coupables à la fois de crimes contre l'humanité, de prédation à grande échelle et de gestion catastrophique d'un pays riche en ressources naturelles et humaines, ont alors redoublé d'efforts pour occulter ces vérités, en s'appuyant sur deux piliers. Le premier est le système de désinformation construit de longue date par les chefs des services secrets militaires, le DRS, coeur du pouvoir - un système qui a étendu des métastases profondes à l'extérieur du pays. Le second est la fonction tribunicienne confiée à M. Bouteflika, réputé pour ses capacités oratoires et ses relations internationales.

    Mais passés les premiers effets d'annonce, la crise s'est poursuivie, et le discours a montré ses limites. Dépourvu en pratique de tout pouvoir, le président adoubé à deux reprises (1999 et 2004) par les généraux n'a pu que gérer la paralysie, qu'il s'agisse des modalités de la "réconciliation" ou des dossiers lourds comme ceux des hydrocarbures, de la justice, de l'école, de la paupérisation ou des privatisations. Avec des affaires de plus en plus encombrantes de corruption, un front social en ébullition, des grèves à répétition et des émeutes dans tous les coins du pays, le système qui, des années durant, a assuré sa survie au prix d'un terrible coût humain, montre des signes évidents d'essoufflement.

    Dans un tableau aussi peu reluisant, la maladie du président a fait l'effet d'une bombe. Non que quiconque se fasse des illusions sur ses capacités à apporter des réponses. Mais parce que la routine qui maintenait les fameux "équilibres internes" précaires dont il parlait a été profondément ébranlée. Le système algérien est tellement usé par le poids de la guerre, la fatigue des hommes et le rôle croissant des clans mafieux qu'il n'est plus à l'abri d'une brusque accélération du processus de délitement à l'oeuvre depuis plus d'une décennie. Trop occupés à déstabiliser la société, les institutions et les hommes pour assurer la pérennité du régime (et du contrôle de leurs sources d'enrichissement, les commissions occultes sur les échanges commerciaux), les responsables algériens n'ont pas vu venir la panne.

    En faisant de la présidence de la République et des institutions dites représentatives une simple façade, les "décideurs" ont vidé l'Etat de toute substance - s'inscrivant ainsi dans la droite ligne du "crime fondateur" commis contre le peuple algérien en juillet 1962 par les militaires, qui ont confisqué à leur profit la lutte du peuple algérien pour son indépendance. Ces "décideurs", pour discrets qu'ils soient, ne sont toutefois pas anonymes : aucun Algérien n'ignore l'identité du vrai patron de l'Algérie, le général-major Mohamed Mediène qui, depuis septembre 1990, dirige la police politique qui quadrille société et institutions avec la complicité de ses pairs généraux. Outre les "élites" chargées d'occuper la devanture politique et de "gérer" l'administration, sa principale "base sociale" est désormais constituée de seigneurs de guerre, de chefs de confréries religieuses, de barons du crime et de voyous notoires.

    Les généraux qui ont fait la "sale guerre" écartés ou observant une réserve prudente, le président d'abord soucieux des apparences du pouvoir et de quelques vieux comptes à régler, puis de sa maladie, le champ a été pleinement libéré pour ce pur produit du despotisme, de la guerre et de la prédation que sont les mafias.

    Le pays n'est plus au bord du gouffre, il y est bien enfoncé. Avec la complaisance de ses principaux partenaires étrangers, aussi aveugles au chaos actuel qu'aux souffrances du peuple algérien durant toute une décennie d'horreurs. Le traité d'amitié que les autorités françaises s'apprêtent à signer avec le pouvoir, elles le signeront avec la seule Algérie qu'elles soient capables d'envisager : celle des forbans.

    L'autre Algérie, celle du peuple, des résistants à l'oppression coloniale, de la lutte contre la dictature et de l'espoir démocratique en la liberté, la justice et la prospérité, étant ignorée.

    Elle constitue pourtant la seule garantie capable de donner sens, consistance et durabilité à un vrai traité d'amitié entre nos deux peuples.

    Le Monde
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

  • #2
    Paroles, paroles rien que des paroles...

    C'est une attaque au vitriol....les contrats avec la Russie, les contrats avec la Corée du Sud font jaser... Je sais une chose c'est que la France a de tous temps rater les plus grands rendez-vous avec l'Algérie....
    Quand le chat n'est pas là, les souris dansent

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    • #3
      Wouaw ....

      Je viens de finir le premier paragraphe en sursautant.
      J'entame le second , tout excité comme quelqu'un qui sent que quelque choses se passe entre les rédactions Francaises et les rédactions Algériennes .

      Non ! .........je remonte !
      Répondant dans une langue de bois du plus pur style stalinien
      C'est pas possible .

      .................................
      Dernière modification par safyo, 13 mars 2006, 14h16. Motif: Gross phaute d'Autografe .

      Commentaire


      • #4
        Je remonte encore

        ...................................

        Aïe .......

        un régime jusque-là passé maître dans l'art
        C'est pas possible .................

        Commentaire


        • #5
          la france vient de voir 7 MDS $ lui passez sous le nez et Ait Ahmed vient de se rendre compte qu'il a parier sur le mauvais cheval pour ne pas dire (ane).

          je pense que la france est entrain de perdre definitivement une parti du marché algérien et c'est normal que ça fait perdre la tete.

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          • #6
            Aïe je suis KO

            Art de dissimuler quand je lis :

            Mais cette opacité n'a rien à voir avec celle qui a pu être entretenue en France autour de la maladie de certains chefs d'Etat
            Je vait dire que si mensonge d'Etat il y a ......je ne crois pas .
            Tchernobyl représentait l'art de dissimuler de l'Empire .

            Et puis celle là :

            où les mensonges officiels ne se comptent plus
            Aïn Temouchent est un mensonge , Bab el Oued est un mensonge , Boumerdès est un mensonge , la crise de l'Eau
            est un mensonge .
            Le PNDA est un mensonge ,L'Ansej , La croissance est un mensonge , La diplomatie est un mensonge .
            ...................................etc etc .. pour finalement me dire que
            La Paix est un mensonge .
            La Paix est un mensonge .
            La paix est un mensonge .

            Je suis KO .......
            Dernière modification par safyo, 13 mars 2006, 14h35.

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            • #7
              :22: AIT AHMED et le coche de l europe, il a ete l initiateur de qui tu qui, il est le parrain et meneur d idees nefstes pour faire tomber l algerie, voir ces enciens declarations dans les annees 9O, Il demande un embargo general sur l algerie.
              La france a plus d interet au maroc qu en algerie, et elle pesede toput son poids pour la reussite du maroc afin de contrecarrer l avancement de l algerie.
              La france se croit toujours la mere nourrice de l algerie, et elle veut imposerses idees comme elle les imposes aux voisins des deux cotes.
              La france ne peut armer l algerie, si non elle serait dans un conflit d interet vis a vis du maroc.
              La france a echouer dans tous les domaines pour miner l avancement de l algerie, mais elle cherche toujours a se montrer concilliante apres l arrivee des americains sur le continent africain.
              La france a bien compris , mais en retard que ces interets sont plus en algerie qu ailleurs, d ailleurs le maroc a un peu bousculer la france avec son o8verture de libre echange avecl amerique.
              La fierte de la france lui ont porter prejudice dans tous les domaines en algerie, maintenant elle veut combler le vide dans un marche dejas engloutis par d autres pays euro et asiatique.

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              • #8
                SAYFO, tout est mensonge en algerie, il y a que les myopes qui voit pas plus pres que leurs nez.
                Que doit faire l algerie actuellement pour plaire a certains nevroses, que l algerie des annees 9o est bien fini, et l actel algerie avance avecou sans vous messieurs les demagogues de toput bord.
                Les chantiers sont une preuve, les barrages une realite, les grands infrastructures (aeroprt-autorpoute ) sont une verite absolue, le reste une poigner d illumines cherchent toujours a nous ramener sur le passer et les sujets morts et enterrer pour les algeriens, nous sommes decides a aller a l avant pour mieu assoire notre ideal.
                Il y a des carences certes, mais elles seront colmates avecle temps, il y a des erreurs certes, elles seront ou fairont l objet d une correction.

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                • #9
                  L'Algérie, un pays saigné au profit des clans, par Hocine Ait-Ahmed

                  Point de vue de Ait-Ahmed.

                  La maladie du président Abdelaziz Bouteflika, évacué en urgence vers l'hôpital parisien du Val-de-Grâce le 26 novembre 2005 et rentré triomphalement à Alger le 31 décembre, a constitué un rude moment de vérité pour un régime jusque-là passé maître dans l'art de la dissimulation. Répondant dans une langue de bois du plus pur style stalinien aux interrogations légitimes sur la maladie du président, les officiels algériens ont "naturellement" opté pour la dénonciation des "ennemis", là où seule était en cause l'incompétence à communiquer sereinement et sincèrement.

                  Mais cette opacité n'a rien à voir avec celle qui a pu être entretenue en France autour de la maladie de certains chefs d'Etat. Elle est le symptôme d'un système politique qui a de longue date sombré dans les méandres de l'informel, où les mensonges officiels ne se comptent plus, où culte de la personnalité, népotisme et coups de Jarnac sont les seuls guides de ceux qui exercent des fonctions institutionnelles. Plus personne en Algérie, du général le plus gradé au citoyen lambda, n'ignore qu'aucune information publique n'est fiable, et qu'elle peut tout juste être labélisée par tel ou tel décideur de l'ombre, tirant les ficelles des divers officiels, marionnettes chargées d'animer la façade démocratique. Dans ce théâtre d'ombres, le chef de l'Etat occupe le rôle de chef d'orchestre des apparences, et sa défaillance imprévue explique la soudaine sidération de l'Algérie officielle.

                  Mis à mal par les choix désastreux opérés à la faveur d'une "sale guerre" qui, depuis 1992, a fait 200 000 morts et des milliers de disparus, piégés dans des alliances douteuses avec la lie de la société, englués dans d'inextricables affaires de corruption, ne sachant plus comment répondre aux problèmes du pays, les vrais responsables algériens ont confié en 1999 l'obligation de communiquer à un président capable de toutes les outrances verbales et n'ayant aucun scrupule à dire une chose et son contraire. Avant même que la maladie du président ne vienne dévoiler les dysfonctionnements du système, ce choix tactique d'attribuer le rôle de "diseur public" à un homme surtout soucieux de paraître allait se révéler un facteur aggravant de la crise.

                  Quand les scandales et les révélations d'anciens officiers de l'armée sur la "sale guerre" ont commencé à éclabousser la hiérarchie militaire, les détenteurs du pouvoir réel ont mis en cause la "mauvaise communication". Ces hommes coupables à la fois de crimes contre l'humanité, de prédation à grande échelle et de gestion catastrophique d'un pays riche en ressources naturelles et humaines, ont alors redoublé d'efforts pour occulter ces vérités, en s'appuyant sur deux piliers. Le premier est le système de désinformation construit de longue date par les chefs des services secrets militaires, le DRS, coeur du pouvoir - un système qui a étendu des métastases profondes à l'extérieur du pays. Le second est la fonction tribunicienne confiée à M. Bouteflika, réputé pour ses capacités oratoires et ses relations internationales.

                  Mais passés les premiers effets d'annonce, la crise s'est poursuivie, et le discours a montré ses limites. Dépourvu en pratique de tout pouvoir, le président adoubé à deux reprises (1999 et 2004) par les généraux n'a pu que gérer la paralysie, qu'il s'agisse des modalités de la "réconciliation" ou des dossiers lourds comme ceux des hydrocarbures, de la justice, de l'école, de la paupérisation ou des privatisations. Avec des affaires de plus en plus encombrantes de corruption, un front social en ébullition, des grèves à répétition et des émeutes dans tous les coins du pays, le système qui, des années durant, a assuré sa survie au prix d'un terrible coût humain, montre des signes évidents d'essoufflement.

                  Dans un tableau aussi peu reluisant, la maladie du président a fait l'effet d'une bombe. Non que quiconque se fasse des illusions sur ses capacités à apporter des réponses. Mais parce que la routine qui maintenait les fameux "équilibres internes" précaires dont il parlait a été profondément ébranlée. Le système algérien est tellement usé par le poids de la guerre, la fatigue des hommes et le rôle croissant des clans mafieux qu'il n'est plus à l'abri d'une brusque accélération du processus de délitement à l'oeuvre depuis plus d'une décennie. Trop occupés à déstabiliser la société, les institutions et les hommes pour assurer la pérennité du régime (et du contrôle de leurs sources d'enrichissement, les commissions occultes sur les échanges commerciaux), les responsables algériens n'ont pas vu venir la panne.

                  En faisant de la présidence de la République et des institutions dites représentatives une simple façade, les "décideurs" ont vidé l'Etat de toute substance - s'inscrivant ainsi dans la droite ligne du "crime fondateur" commis contre le peuple algérien en juillet 1962 par les militaires, qui ont confisqué à leur profit la lutte du peuple algérien pour son indépendance. Ces "décideurs", pour discrets qu'ils soient, ne sont toutefois pas anonymes : aucun Algérien n'ignore l'identité du vrai patron de l'Algérie, le général-major Mohamed Mediène qui, depuis septembre 1990, dirige la police politique qui quadrille société et institutions avec la complicité de ses pairs généraux. Outre les "élites" chargées d'occuper la devanture politique et de "gérer" l'administration, sa principale "base sociale" est désormais constituée de seigneurs de guerre, de chefs de confréries religieuses, de barons du crime et de voyous notoires.

                  Les généraux qui ont fait la "sale guerre" écartés ou observant une réserve prudente, le président d'abord soucieux des apparences du pouvoir et de quelques vieux comptes à régler, puis de sa maladie, le champ a été pleinement libéré pour ce pur produit du despotisme, de la guerre et de la prédation que sont les mafias.

                  Le pays n'est plus au bord du gouffre, il y est bien enfoncé. Avec la complaisance de ses principaux partenaires étrangers, aussi aveugles au chaos actuel qu'aux souffrances du peuple algérien durant toute une décennie d'horreurs. Le traité d'amitié que les autorités françaises s'apprêtent à signer avec le pouvoir, elles le signeront avec la seule Algérie qu'elles soient capables d'envisager : celle des forbans.

                  L'autre Algérie, celle du peuple, des résistants à l'oppression coloniale, de la lutte contre la dictature et de l'espoir démocratique en la liberté, la justice et la prospérité, étant ignorée.

                  Elle constitue pourtant la seule garantie capable de donner sens, consistance et durabilité à un vrai traité d'amitié entre nos deux peuples.
                  source Le Monde
                  Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                  • #10
                    AIT AHMED ne parle que pour lui meme, il ne represente rien a part sa vie dans les salons feutrer de la suisse, un homme qui veut diriger et inculquer sa pensee de l exerieur.
                    Ait ahmed a pris le malin plaisir de dicter sa politique du haut sommet suisse, celui qui n a meme pas partager la douleur des algeriens dans les evenements noirs d algerie, celui qui a demander a la communaute international d affamer les algeriens pour faire tomber les soit disant dictateurs, oui ce messieurs et tres en retard sur la realite de l algerie.

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                    • #11
                      J'ai Envie De Reagir

                      Mon dieu ! Comme j'ai envie de réagir, ça me gratouille de toutes part!! Et pourtant je ne peut pas car il parait que sous ptrêtexte que je suis un kabyle, je n'ai pas le droit de dire ce que je pense, au risque d'etre voué aux gémonies par les gardiens du temple! Alors comme je suis bien élevé je leur demande la permission de m'exprimer sur ce sujet.
                      Ils se reconnaitront !

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                      • #12
                        Aït Ahmed est un homme aigrie du fait que l'Algérie ne lui a pas donner le role historique kil aurait dù avoir. Aït Ahmed depuis 62, si ce n'est depuis 56, n'est plus un acteur de l'Histoire. Il a raté tous les RDV de l'Histoire: il n'était pas présent au congrès de la Soumame où il se fait doubler par Abane Ramdane et Krime Belkacem, il ratte le RDV de 62 et de l'indépendance, et enfin il ratte son retour apres 88. ça carrière politique est un fiasco sur toute la ligne. C'est un homme qui a été trop souvent dépassé par les évènements. Le jugement de l'Histoire est terrible, au crépuscule de sa vie il devra se rappeler certaine parole du grand moujahide Mohand Ould Hadj ki a été tres sévère envers lui.

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                        • #13
                          je partage ton point de vue
                          il a echoue sur toute la ligne apres 62
                          mais comme il fait partie des historiques nous lui devons du respect
                          il est temps pour lui de rentrer au pays pour denoncer le systeme de l interieur et non par fax interpose

                          Commentaire


                          • #14
                            il est temps pour lui de rentrer au pays pour denoncer le systeme de l interieur et non par fax interpose
                            Tout à fait Marin, dans les forums internationaux celà ne paie plus aussi.
                            Quand le chat n'est pas là, les souris dansent

                            Commentaire


                            • #15
                              il devrai prendre ça retraite politique le vieu, le jeunesse attend son tour.

                              Commentaire

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