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Conditions d'acquisition des unités de l'Enad La justice s'intéresse à Henkel Algérie
Henkel Algérie est dans le collimateur de la justice. Cette filiale du groupe allemand Henkel est visée par une enquête judiciaire. Selon les informations rapportées par le quotidien électronique " Tout sur l'Algérie ", des enquêtes ont été lancées par les parquets des circonscriptions judiciaires où est implanté le patrimoine de la société. Les soupçons, qui pèsent sur cette filiale, concerne l'acquisition, dans des conditions douteuses des unités de l'Enad (Entreprise nationale des détergents). "Les parquets de Bouira et de Sétif ont lancé des enquêtes pour le non-respect par Henkel Algérie des dispositions du cahier des charges portant acquisition des trois unités de l'Enad. Ces unités sont situées à Chelghoum Laïd dans la wilaya de Mila, Sour El Ghozlane dans la wilaya de Bouira et Réghaia dans la wilaya d'Alger.", révèle la même source, ajoutant que "la justice veut également connaître les conditions ayant présidé en 2001 à la cession de ces trois unités de l'Enad à Henkel. Cette dernière est spécialisée dans la production et la commercialisation des produits de nettoyage, d'entretien, colles bâtiment, etc ". Selon toujours la même source, les soupçons de la justice se sont éveillés lorsque Henkel Algérie a procédé à la vente d'un terrain à Réghaia dans des conditions qualifiées de douteuses. Cette opération a été précédée par une mise en vente par la même entreprise d'un autre terrain à Chelghoum Laid.
Mais l'opération de vente de ce terrain n'a pas abouti après l'opposition des autorités locales qui ont jugé cette opération non-conforme aux dispositions du cahier des charges de cession de l'Enad. Rappelons que le contrat de partenariat entre les deux groupes, algérien et allemand, a été établi en mai 2000. Henkel détenait une part de 60% du capital du complexe de Chelghoum Laïd, de l'unité de Réghaïa ainsi que celle de Aïn Témouchent, avant de racheter les 40 % restant des actions appartenant à l'Enad, en 2005. Ainsi, la cession totale des trois filiales de l'Entreprise nationale des détergents au profit de l'allemand Henkel signe le passage de ce dernier vers le statut de seul propriétaire. Désormais, les trois filiales sont contrôlées à 100% par Henkel. A noter que l'enquête qui vise actuellement Henkel, concerne cette période ainsi que celle l'ayant précédée, soit depuis 2001 à ce jour. Aussi les conditions douteuses qui entourent la cession de ces unités concernent les violations présumées des cahiers des charges à l'image de la clause du contrat qui prévoit que Henkel peut acheter, après trois années de partenariat, une partie du capital restant à l'Enad ou la totalité des parts de cette dernière. Pour rappel, Henkel, est actuellement leader dans la fabrication de détergents et produits d'entretien en Algérie notamment la fameuse marque Isis. En revanche , l'Enad est aussi spécialisée dans la fabrication de détergents, principalement l'eau de javel.
Henkel Algérie est dans le collimateur de la justice. Cette filiale du groupe allemand Henkel est visée par une enquête judiciaire. Selon les informations rapportées par le quotidien électronique " Tout sur l'Algérie ", des enquêtes ont été lancées par les parquets des circonscriptions judiciaires où est implanté le patrimoine de la société. Les soupçons, qui pèsent sur cette filiale, concerne l'acquisition, dans des conditions douteuses des unités de l'Enad (Entreprise nationale des détergents). "Les parquets de Bouira et de Sétif ont lancé des enquêtes pour le non-respect par Henkel Algérie des dispositions du cahier des charges portant acquisition des trois unités de l'Enad. Ces unités sont situées à Chelghoum Laïd dans la wilaya de Mila, Sour El Ghozlane dans la wilaya de Bouira et Réghaia dans la wilaya d'Alger.", révèle la même source, ajoutant que "la justice veut également connaître les conditions ayant présidé en 2001 à la cession de ces trois unités de l'Enad à Henkel. Cette dernière est spécialisée dans la production et la commercialisation des produits de nettoyage, d'entretien, colles bâtiment, etc ". Selon toujours la même source, les soupçons de la justice se sont éveillés lorsque Henkel Algérie a procédé à la vente d'un terrain à Réghaia dans des conditions qualifiées de douteuses. Cette opération a été précédée par une mise en vente par la même entreprise d'un autre terrain à Chelghoum Laid.
Mais l'opération de vente de ce terrain n'a pas abouti après l'opposition des autorités locales qui ont jugé cette opération non-conforme aux dispositions du cahier des charges de cession de l'Enad. Rappelons que le contrat de partenariat entre les deux groupes, algérien et allemand, a été établi en mai 2000. Henkel détenait une part de 60% du capital du complexe de Chelghoum Laïd, de l'unité de Réghaïa ainsi que celle de Aïn Témouchent, avant de racheter les 40 % restant des actions appartenant à l'Enad, en 2005. Ainsi, la cession totale des trois filiales de l'Entreprise nationale des détergents au profit de l'allemand Henkel signe le passage de ce dernier vers le statut de seul propriétaire. Désormais, les trois filiales sont contrôlées à 100% par Henkel. A noter que l'enquête qui vise actuellement Henkel, concerne cette période ainsi que celle l'ayant précédée, soit depuis 2001 à ce jour. Aussi les conditions douteuses qui entourent la cession de ces unités concernent les violations présumées des cahiers des charges à l'image de la clause du contrat qui prévoit que Henkel peut acheter, après trois années de partenariat, une partie du capital restant à l'Enad ou la totalité des parts de cette dernière. Pour rappel, Henkel, est actuellement leader dans la fabrication de détergents et produits d'entretien en Algérie notamment la fameuse marque Isis. En revanche , l'Enad est aussi spécialisée dans la fabrication de détergents, principalement l'eau de javel.
cette justice d'igniares n'a qu'a s'interessé aux milliars dilapidés par les circuits import import.
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