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Ramadhan 2010 : Bouteflika auditionne ses ministres après chaque f’tour .

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  • Ramadhan 2010 : Bouteflika auditionne ses ministres après chaque f’tour .

    Ramadhan 2010 :

    Bouteflika auditionne ses ministres après chaque f’tour .

    L’évaluation des politiques publiques en question chaque soir ?
    Pourquoi ces Audiences ramadanesques des Ministres par le président de la République ?

    Quel est le coût de l’autoroute Est/Ouest ? ou la problématique d’un contrôle démocratique de la dépense publique ?

    Autant de questions légitimes que se pose certainement tout citoyen soucieux de son pays et surtout cette année ou des projets gigantesques sont attendus .

    Le cycle des auditions ramadanesques des ministres par le président de la République a repris.

    Pour la troisième année consécutive, le mois sacré du jeûne constitue pour Abdelaziz Bouteflika une opportunité pour soumettre ses ministres à des questionnaires portant sur la gestion des secteurs respectifs dont ils ont la charge.
    C’est certainement une idée originale et animée de bonne foi que celle du président consistant à ‘’auditionner’’ ses ministres par ces moites soirées aoûtiennes.

    Cette manière d’agir est d’autant plus souhaitable pour certains membres de l’équipe gouvernementale qu’ils sentaient depuis longtemps le besoin de s’expliquer directement devant le premier magistrat du pays sur des dossiers jugés lourds et qui dépasseraient les limites de leur secteur d’intervention.

    Toujours dans l’optique de savoir ou vont les deniers du peuple et l’état d’avancement des projets publics avec un autre point de vue et indépendant .

    L’initiative portant sur l’évaluation des différents départements ministériels est certainement louable à ceci près que la démarche et les modalités d’évaluation ne manquent pas de révéler une déficience de gestion et de communication sur un double plan.

    D’abord au niveau méthodologique : rien ne peut nous garantir que la dissection des grands dossiers jusqu’au menu détail soit la meilleure manière d’appréhender les problèmes du pays.


    Si les économistes ont établi des tableaux de bord , de cercles d’analyse et des forums de concertation et de proposition pour tout ce qui a trait à la vie de la Nation, c’est bien pour en faire un usage judicieux et permanent.

    La référence est ici clairement faite au moins pour deux institutions nationales majeures habilitées-et qui sont même dans l’obligation-
    à traiter de telles questions :


    l’APN

    et le Conseil économique et social (CNES).

    je vous propose une contribution de mon ami Abderrahmane Mebtoul Professeur des Universités en management stratégique- expert international publiée et mise en ligne récemment sur le net pour avoir une idée sur l’évaluation des politiques publiques en question de chaque soir ?

    Abderrahmane Mebtoul :

    « Sans avoir fait une évaluation objective du programme 2004/2009 et surtout son impact, le futur plan quinquennal 2010/2014 est estimé à 286 milliards de dollars, mais dont 130 sont des restes à réaliser 2004/2009 reflétant d’importantes réévaluations et 150 milliards de dollars pour les nouveaux projets.
    Prenons l’exemple de la route Est/ Ouest ! mais dont les anomalies touchent presque tous les secteurs.
    Nous avons ,en effet, un effet mitigé de la dépense publique et les raisons des réévaluations permanentes qui sans être exhaustif sont les suivantes sans parler de la corruption qui ronge bon nombre de secteurs :
    l’existence d’un décalage entre la planification budgétaire et les priorités sectorielles .

    l’absence d’interventions efficaces
    dues à un morcellement du budget résultant de la séparation entre le budget d’investissement et le budget de fonctionnement ;-des passifs éventuels potentiellement importants, des écarts considérables entre les budgets d’investissement approuvés et les budgets exécutés ;
    des longs retards et des surcoûts pendant l’exécution des projets, ce qui témoigne de la faiblesse de la capacité d’exécution des organismes d’exécution ;-performance particulièrement mauvaise à toutes les différentes étapes de la formulation, de l’exécution du budget, de l’établissement de rapports et de la passation des marchés ;
    augmentation des importations, plus particulièrement celles liées aux projets dans les secteurs du transport et des travaux publics plus rapidement que les exportations et expliquant les tensions sur certains produits comme le ciment et le rond à béton.
    Ni les ministères d’exécution, ni le ministère des Finances n’ont suffisamment de capacités techniques pour superviser la qualité de ces études, se bornant au contrôle financier, le suivi technique (ou physique) exercé par les entités d’exécution étant inconnu ou au mieux insuffisant ; les résultats des projets et programmes ne font pas l’objet d’un suivi régulier.
    Il existe une évaluation très partielle a posteriori, ce qui rend difficile la comparaison entre ce qui était prévu avec ce qui a été réalisé et encore moins de comparer le coût- avantage ou l’efficacité avec la situation réelle. Dès lors, nous aurons (04) impacts de l’inefficacité de la dépense publique :
    sur le volume des importations car le gonflement est du essentiellement à la dépense publique ;
    sur le processus inflationniste qui est à l’origine pour partie de l’inflation et très accessoirement les salaires qui représentent moins de 18% rapportés au produit intérieur brut en 2009 assistant à une baisse croissante par rapport aux années passées au profit des rentes et des indépendants ;
    sur la balance des paiements notamment à travers le poste services
    (10/11 milliards fin 2009 de dollars appel aux compétences étrangères avec paradoxalement fuite de cerveaux algériens )
    qui a plus que doublé entre 2007/2010 et comme finalité sur le faible taux de croissance réel.

    I- Le coût de l’autoroute Est/Ouest au 31/12/2009
    Le descriptif technique est le suivant :
    Linéaire : 1216 Km.
    – Profil en travers : 2×3 voies.
    – Vitesse de base : 100 à 120 Km/h. -
    Nombre d’échangeurs

    60 échangeurs environ (avec option de péage).
    Équipements :
    Aires de repos, Stations service, Relais routiers et Centres d’entretien et d’exploitation de l’autoroute.

    L’autoroute est-ouest ne modifiera pas le paysage routier national puisqu’elle va pour l’essentiel suivre le tracé des nationales 4 et 5, qui rallient Alger à Oran et Alger à Constantine.

    En revanche, elle risque de bouleverser la vie économique des 19 wilayas directement traversées et des 24 desservies.

    Dans un pays où 85% des échanges commerciaux s’effectuent par la route, l’impact risque de se faire sentir rapidement.
    Onze tunnels devaient être percés sur deux fois trois voies et 390 ouvrages d’art réalisés, dont 25 viaducs, pour joindre les frontières tunisienne, à l’est, et marocaine, à l’ouest, et réaliser l’autoroute trans-maghrébine.

    Deux groupements chinois et japonais ont remporté le marché de l’autoroute est-ouest algérienne, le plus grand chantier de l’histoire du pays sur 1216 Km de bitumes.

    Le groupement CITIC-CRCC chinois avait des contrats de 5,2 milliards de dollars signés au printemps 2006 pour la réalisation des tronçons ouest (399 km) et centre (169 km) . Mais a été exigée par la suite une rallonge de 650 millions de dollars.

    Le groupement chinois a en effet proposé en mars 2007 une autre solution pour la chaussée que celle prévue par le cahier des charges.

    Il s’agit du « bitume modifié », largement utilisé dans les pays développés.
    Alors que selon certains experts, dans les cas les plus limites « le recours à l’enrobé à module élevé provoque 10 à 15% de coûts supplémentaires ».

    Ainsi, le coût de réalisation de cet important projet autoroutier est estimé officiellement à plus de 11 milliards de dollars sans les annexes, établi suite à une analyse technique et financière réalisée par un bureau d’études canadien qui accompagne l’ANA, ayant été approuvé par la commission nationale des marchés publics.
    Le coût du kilomètre provisoire fin 2009 serait ainsi estimé à 9,95 millions d’euros le km », sous réserve que n’existent pas d’autres réévaluations.

    Car, selon certains experts, l’autoroute Est-ouest devrait coûter entre 13,5 milliards et 15 milliards de dollars avec toutes les annexes contre une prévision initiale d’environ 7 milliards de dollars.

    Et qu’en sera-t-il du nouveau programme alloué de l’ordre de 3100 milliards de dinars ( 41 milliards de dollars) au titre du plan sectoriel quinquennal 2010-2014 devant distinguer la part devises et la part dinars ? En effet, à ce montant il faudra ajouter les équipements annexes dont le programme d’équipement n’a reçu son budget qu’en 2010 .

    Et ce suite à de nombreux observateurs, en sus des automobilistes, qui s’étonnaient de voir un tel méga projet livré parcimonieusement et de surcroît dépourvu d’équipements annexes comme les aires de repos, les stations-service et les stations de péage.

    Le programme d’équipement, en cours d’exécution, consiste en la réalisation de 42 stations-service, 76 aires de repos (motels, aires de stationnement, aires de jeux…), 57 gares de péage, 70 échangeurs et 22 postes de garde de la gendarmerie autant de points de garde de la Protection civile. Dans un premier temps, un programme d’urgence, confié à Naftal, vise la réalisation de 14 stations-service sur les tronçons de l’autoroute livrés à la circulation.

    « Une bonne partie, soit 70% des équipements, serait réceptionnée avant fin 2010.



    à suivre !

  • #2
    suite !

    II-Combien coute le km construit dans d’autres pays : comparaisons internationales ?

    Il convient pour se faire une idée des surcoûts de donner quelques ratios internationaux.

    Sans compter qu’une route s’entretient quelle sera le coût du péage et que selon les responsables du Ministère des travaux publics il sera pris en compte, dans le calcul du prix du péage, la qualité du service, les investissements consentis, le pouvoir d’achat des citoyens et le trajet moyen de circulation et qu’environ 80% du péage seront assumés par les poids lourds, il est intéressant de livrer quelques comparaisons internationales.
    Encore que pour des comparaisons fiables, il faut éviter des comparaisons hasardeuses.


    En Algérie, tous les facteurs sont favorables.

    La main d’œuvre est au moins 10 fois moins chère qu’en Europe ; il n’y a relativement presque pas d’intempéries ; les matériaux utilisés en grande quantité, les agrégats

    (tuf, sables et graviers)

    ne coûtent pratiquement que leurs frais d’extraction et le concassage, le carburant est 5 à 7 fois moins cher, les loyers, l’électricité et le gaz aussi, les occupations temporaires de terrains qui coûtent des fortunes en Europe ne sont même pas payantes en Algérie lorsqu’il s’agit de terrains relevant du domaine public.

    Mais il y a des problèmes administratifs et des de procédures bureaucratiques sans compter les expropriations, démolitions qui sont sources de surcouts.

    Pour les comparaisons internationales, le rapport officiel de la documentation française pour 2006 sur une route à deux voies donne une moyenne de 5,4 million d’euros au km hors taxes.

    Cela n’étant qu’une moyenne car en affinant l’on constate selon les régions, une moyenne fluctuant entre 3,6 et 6 millions d’euros hors taxes dans un environnement non contraint et une moyenne fluctuant entre 4,9 et 7,6 dans un environnement contraignants.

    Pour l’Europe existe selon une intéressante l’étude de la direction des routes danoises (2006) d’importantes disparités en moyenne générale selon les contraints et non contraints.

    Ainsi, l’Espagne, le Portugal, le Danemark, la Suède le coût au kilomètre est de 2/3 millions d’euros construit, la France et l’Allemagne se situant dans une fourchette intermédiaire 4/6 millions d’euros pour le km (selon le contraint ou le nom contraint en fonction ou pas des ouvrages d’art).

    Autre exemples, le projet de la route Koudougou-Dédougou longue de 130 km (construction et bitumage) a été estimé à 32 milliards de francs CFA, (arrimage du franc CFA à l’euro depuis le 01 janvier 1999, 1 € = 655,957 F CFA) et l’autoroute Marrakech/ Agadir qui traverse le Haut Atlas dont la construction a été concédée à 2,7 million $ par km.

    III-Un contrôle efficient en fonction de l’avancée d’un contrôle démocratique

    C’est que le guide de management des grands projets d’infrastructures économiques et sociales élaboré par la Caisse nationale d’équipement pour le développement (CNED) et la soumission de toute réévaluation des projets au delà de 15%, à l’aval du Conseil des ministres, contribuera –il –affiner l’action des pouvoirs publics en matière d’efficience des dépenses publiques ?

    Mais qu’en sera-t-il sur le terrain car ces orientation et textes le sont en intentions, les pratiques contredisant souvent les textes juridiques si louables soient- ils.

    Un contrôle doit être global :
    il doit concerner en plus du contrôle routiniers des services de sécurité, l’ensemble de la société supposant un Etat de droit la réhabilitation du contrôle de la société civile, du parlement, de la cour des comptes, institution dépendante de la présidence de la République car l’inspection générale des finances dépendant du Ministre des Fiances ayant un impact limité car relevant de l’exécutif.

    Sans une gouvernance rénovée, une visibilité et cohérence de la politique socio-économique supposant l’intégration de la sphère informelle produit du dysfonctionnement des appareils de l’Etat, produisant la corruption, le contrôle budgétaire sera un vœu pieux avec un impact limité.

    Et comment ne pas rappeler le bilan fin juillet 2010 de l’ANDI, pour qui les déclarations d’investissement en Algérie, sont passées de 11.000 projets en 2007, à 17.000 en 2008 et 20.000 en 2009 mais avec 1% seulement d’IDE.

    Ces données sont en termes d’intentions de projets et non en termes de projets réalisés qui arrivent à maturation qui tourneraient à moins de 30%.avec la dominance des transports (60%) et du BTPH (18 %) du total.

    Le problème essentiel stratégique posant la problématique de la sécurité nationale, sachant il y aura épuisement des réserves des hydrocarbures entre 15/20 ans en termes de rentabilité financière, cette dépense publique sans précédent depuis l’indépendance politique prépare –t- elle véritablement l’après hydrocarbures face aux nouvelles mutations mondiales ?

    Arrêtons de faire des bilans euphoriques et analysons la réalité n disant la vérité rien que la vérité.


    Pour preuve, prenant en compte des performances de l’éducation, de la santé, de la qualité de vie , le dynamisme économique et l’environnement politique, le grand hebdomadaire financier américain Newsweek

    très influent dans les milieux d’affaires avec l’appui d’éminents experts internationaux

    dont le prix Nobel et professeur à Columbia University Joseph E. Stiglitz, McKinsey & Co,

    le directeur du Bureau Byron Auguste,
    le directeur fondateur de l’Institut de l’Université McGill pour la santé et la politique sociale

    et le professeur à l’université Geng Xiao, directeur de la Colombie-Global Centre Asie de l’Est, dans une enquête fouillée , vient de classer le 15 aout 2010 ,

    l’Algérie à la 85ème position sur un échantillon de 100 pays.
    A l’échelle internationale, la Finlande est classée à la première place,
    suivie de la Suisse, de la Suède et du Canada.

    Les Etats-Unis d’Amérique sont classés à la 11e, alors que la France est à la 16e place.
    La Tunisie est classée, à titre d’exemple, 65e, le Maroc (67e), l’Egypte (74e), la Syrie (83e) et le Yémen (92e).


    Pourquoi donc le coût de la route Est/ouest dépassera 9 millions d’euros (plus de 10 millions de dollars) le km, alors que la norme internationale d’une autoroute fluctue entre 5 et 7 millions d’euros tenant compte des ouvrages d’art et même moins pour des pays voisins au niveau du Maghreb et pour certains pays d’Afrique variant entre 3 et 5 millions d’euros ?


    Le problème est posé et ces surcouts exorbitants ne concernent pas seulement l’autoroute Est –Ouest, mais la majorité, avec de rares exceptions, des projets sectoriels (habitat, transport, industrie, énergie – prestations de services… ect.).


    Cela pose la problématique d’un véritable contrôle démocratique loin du juridisme et des contrôles techniques, l’aspect technique/administratif avec le retour à l’économie dirigée qui en Algérie produit du fait de la gouvernance l’effet inverse, le pouvoir bureaucratique inéfficient. »
    saha siam koum !

    et j’espère que l’avis de cet éminent professeur et ami oranais de longue date (consultant ET EXPERT en économie internationale ) vous servira à comprendre pourquoi les nuits du président ne sont pas de tout repos comme nous .

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    • #3
      Cette manière d’agir est d’autant plus souhaitable pour certains membres de l’équipe gouvernementale qu’ils sentaient depuis longtemps le besoin de s’expliquer directement devant le premier magistrat du pays sur des dossiers jugés lourds et qui dépasseraient les limites de leur secteur d’intervention.
      Un mois par an de travail et d'audition. Heureusement que Ramadan existe!

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      • #4
        ben toi ton roi passe ses soirée a la mosquée avec ses sbires au lieu d etre avec sa population !

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        • #5
          Boutef se prend pour Haroun Errachid ! héhéhé

          Le mieux qu'il puisse faire, c'est sacrer son camp quelque part en retraite et se faire oublier...

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          • #6
            Boutef se prend pour Haroun Errachid ! héhéhé
            Plutot pour Amire El Mouminine , Version DZ

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            • #7
              Boutef se prend pour Haroun Errachid ! héhéhé

              Le mieux qu'il puisse faire, c'est sacrer son camp quelque part en retraite et se faire oublier..
              bonsoir bachi saha shorek
              je ne pense qu'il le fera puisque imbu de sa personne il ve s'immortaliser par un minaret hors norme .

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              • #8
                Plus pompeux que ça, tu fais Tam-Alger à pieds !

                C'est pour faire des soirée ramadanèsques !

                Gualek ki yechba`a el-karech arass igheni


                Envoyé par kabalo
                Plutot pour Amire El Mouminine , Version DZ
                Non non plutôt "Ali baba et les 40 voleurs"



                ../..
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                • #9
                  Bouteflika auditionne ses ministres après chaque f’tour .
                  C'est bien! Et après le Ramadan?

                  L'hibernation totale en compagnie de ces Messieurs les ministres bras cassés...
                  Dernière modification par jamoman, 29 août 2010, 08h51.
                  "Je déteste les victimes quand elles respectent les bourreaux". Jean-Paul Sartre

                  Commentaire


                  • #10
                    Déjà, qu'ils bossent sereinement le jour, pendant les horaire administrative.

                    Moi, je dirai ils sont là pour se régaler jusqu'au matin, dans la maison depeuple confisqué par le roi Boutesrika IIII

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                    • #11
                      Une belle excuse pour ne pas aller au travail le lendemain ou en retard be chwiya, genre "Pourquoi vous venez pas le matin au travail Mr le ministre!!" Réponse "Ahh, J'avais une réunion pendant toute la nuit aprés le ftour avec Mr Le président, On parlait boulou (domino, chama, et la zik), et il faut que vous vous habituez a mon absence pendant le reste de ramadan, parceque inchalah ca va être comme ca tous les jours aprés chaque ftour il y aura que des reunions et du travail,:22: se sont les ordres de Président "

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                      • #12
                        le roi Boutesrika IIII
                        III OU IV MAIS jamais IIII

                        IL TIRE SA RÉVÉRENCE BESSIF ALA AZRINAH

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