L’Association algérienne de lutte contre la corruption a critiqué la décision prise par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, relative à l’ordonnance portant création d’un Office central de répression de la corruption, qualifiant cette décision « d’un autre pas qui dénote de l’insouciance des autorités quant il s’agit de la lutte contre la corruption qui ronge l’économie du pays ».
Dans ce sens, le président de l’association algérienne de lutte contre la corruption a indiqué qu’en ordonnant la création de cet office dans les plus proches délais, le président de la République « désoriente l’opinion publique, sachant qu’il est la seule personne habilitée à désigner ses membres et de promulguer le décret exécutif définissant les prérogatives de cette nouvelle instance ».
Contacté par nos soins, M. Hadjadj a souligné qu’il « craint que la nouvelle instance de répression de la corruption aurait le même sort que l’ordonnance relative à la création de l’Observatoire national de lutte contre la corruption, promulguée en 2006, signalant qu’après quatre ans, il n’a pas encore été créé, et ce malgré l’annonce du Premier ministre que cette instance devait être crée avant mars 2010 ».
« La nouvelle instance que compte créer le président de la République pourrait être en conséquence des pressions étrangères exercées par les Etats-Unis, par des pays européens et d’autres institutions internationales, à l’exemple de l’Union européenne et la Banque mondiale qui ne cessent de mentionner l’tendu de la corruption en Algérie », a-t-il conclu.
28-08-2010
lkhabar
Dans ce sens, le président de l’association algérienne de lutte contre la corruption a indiqué qu’en ordonnant la création de cet office dans les plus proches délais, le président de la République « désoriente l’opinion publique, sachant qu’il est la seule personne habilitée à désigner ses membres et de promulguer le décret exécutif définissant les prérogatives de cette nouvelle instance ».
Contacté par nos soins, M. Hadjadj a souligné qu’il « craint que la nouvelle instance de répression de la corruption aurait le même sort que l’ordonnance relative à la création de l’Observatoire national de lutte contre la corruption, promulguée en 2006, signalant qu’après quatre ans, il n’a pas encore été créé, et ce malgré l’annonce du Premier ministre que cette instance devait être crée avant mars 2010 ».
« La nouvelle instance que compte créer le président de la République pourrait être en conséquence des pressions étrangères exercées par les Etats-Unis, par des pays européens et d’autres institutions internationales, à l’exemple de l’Union européenne et la Banque mondiale qui ne cessent de mentionner l’tendu de la corruption en Algérie », a-t-il conclu.
28-08-2010
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