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Silvio Berlusconi, surnommé "le Cavaliere", explose tous les records de modestie à l'approche des élections. Le samedi passé, il aurait juré qu'il était le Jésus-Christ de la politique après avoir affirmé que seul Napoléon a fait mieux que lui au regard de son bilan après cinq années à la tête du pays.
Le faux Jésus-Christ de la politique risque d'être viré du gouvernement et le vrai Jésus-Christ doit douter de sa foi à force d'entendre le fou Cavaliere!
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"Je suis le Jésus-Christ de la politique"
Silvio Berlusconi, le président du Conseil italien, lors d'un meeting électoral
"Sua Emittenza" a décidément la réplique facile. Le chef du gouvernement italien a ainsi inauguré samedi en meeting la campagne officielle des élections législatives par ce propos culte, où il se compare ni plus ni moins au Christ, en expliquant qu'il est "une victime patiente qui supporte tout, qui se sacrifie pour tous". La veille, Silvio Berlusconi s'était déjà illustré en lançant à la télévision que "seul Napoléon a fait mieux" que lui au regard de son bilan après cinq années à la tête du pays.
(c) LExpansion.com
Le faux Jésus-Christ de la politique risque d'être viré du gouvernement et le vrai Jésus-Christ doit douter de sa foi à force d'entendre le fou Cavaliere!
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"Je suis le Jésus-Christ de la politique"
Silvio Berlusconi, le président du Conseil italien, lors d'un meeting électoral
"Sua Emittenza" a décidément la réplique facile. Le chef du gouvernement italien a ainsi inauguré samedi en meeting la campagne officielle des élections législatives par ce propos culte, où il se compare ni plus ni moins au Christ, en expliquant qu'il est "une victime patiente qui supporte tout, qui se sacrifie pour tous". La veille, Silvio Berlusconi s'était déjà illustré en lançant à la télévision que "seul Napoléon a fait mieux" que lui au regard de son bilan après cinq années à la tête du pays.
(c) LExpansion.com
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