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Deux gynécos en viennent aux mains

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  • Deux gynécos en viennent aux mains

    Une bagarre a éclaté entre deux gynécologues dans une clinique alors qu'une femme était en train d'accoucher. La mère et son bébé sont dans un état grave.
    Une bagarre a éclaté entre deux gynécologues dans une clinique de Messine alors qu'une femme était en train d'accoucher: la mère et son bébé sont dans un état grave et les deux médecins ont été suspendus, a rapporté samedi l'agence Ansa. La femme, victime d'une hémorragie après l'accouchement, a dû être opérée et a subi une ablation de l'utérus. L'enfant a pour sa part eu deux arrêts cardiaques qui ont entraîné des dommages cérébraux et il est en thérapie intensive. Le pronostic est réservé pour tous les deux, même si l'état de la jeune femme semble s'améliorer.
    Le différend serait intervenu jeudi dans la salle d'accouchement de la Polyclinique de Messine, selon le récit qu'a fait le mari aux carabiniers. Les deux médecins auraient commencé à se quereller, par jalousie professionnelle, pendant que la jeune femme était sur le point d'accoucher.
    Après un échange tendu, l'un d'eux aurait saisi son confrère au cou et l'aurait projeté contre un mur. L'autre aurait réagi en donnant un coup de poing dans une fenêtre qui s'est brisée, le blessant à la main. La parturiente aurait eu des complications pendant l'altercation.
    Les deux médecins ont été suspendus et ne pourront revenir travailler que «lorsque la direction (de l'hôpital) le jugera opportun», a indiqué le Pr Domenico Granese, directeur de l'unité obstétrique et gynécologie de l'établissement, jugeant les faits «graves».
    Il exclut toutefois tout rapport entre la rixe et les complications qu'a eu la parturiente lors de l'intervention. Selon lui, les complications lors de l'accouchement ne résultent pas «de la dispute ou d'un éventuel retard dans l'intervention médicale» et l'action des médecins «au vu des complications de la patiente était opportune».
    (ats)

  • #2
    La femme, victime d'une hémorragie après l'accouchement, a dû être opérée et a subi une ablation de l'utérus. L'enfant a pour sa part eu deux arrêts cardiaques qui ont entraîné des dommages cérébraux et il est en thérapie intensive
    Pour ça, moi je les vire sur le champ avec dépot de plainte.
    Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

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    • #3
      je suis particulièrement sensible envers cette négligence envers les femmes enceintes.

      la femme a vu son utérus retranché, son bébé presque mourant, et ils ont le culot de se bagarrer devant un cas pareil, c'est triste

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      • #4
        et c'est ou cette messine? Le centre du monde?

        C'est quoi cette information? Ils se prennent pour le centre de l'univers? Dites nous ou se trouve cette fichu messine? Italie?


        P.S: Je suis sous l'effet ramadan

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        • #5
          Les 2 imbeciles doivent subir l'ablation de leurs#$@%^&

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          • #6
            Il exclut toutefois tout rapport entre la rixe et les complications qu'a eu la parturiente lors de l'intervention. Selon lui, les complications lors de l'accouchement ne résultent pas «de la dispute ou d'un éventuel retard dans l'intervention médicale» et l'action des médecins «au vu des complications de la patiente était opportune».
            J'espère bien pour eux mais ca reste une faute professionnel !
            Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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