Annonce

Réduire
Aucune annonce.

1ère Nouba en CD par une femme

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • 1ère Nouba en CD par une femme

    Hier, RFI a cloturé son journal en interwievant une chanteuse algérienne de musique andalouse. Elle a produit le premier CD en solo d'une femme chantant toute une nouba. Son nom: Bahja ou quelque chose d'approchant. Elle a un timbre de voix particulier. Je préfère Nassima. Qui connais? Où trouver ce CD?

  • #2
    Zoubir, c'est bahdja rahal .................. et sa voix est plus que particulière , elle est rapeuse en voix de tête.....

    Commentaire


    • #3
      Aya

      Oui, c'est ça Bahdja Rahal;
      Sa voix est particulière.
      Qu'entendez vous par "rapeuse"?
      Dernière modification par Zoubir8, 15 mars 2006, 12h34.

      Commentaire


      • #4
        Bonjour,

        ya pas un avant-gout a ecouter maintenant ?

        La voix feminine a toujours une beauté singuliere dans l'Andalousi !! elle est d'ou en Algerie ?

        Commentaire


        • #5
          Je la trouve trop rapeuse, disons gressillante.............sur certains morceaux cela est assez désagréable.....
          et je suis un peu énervée de voir que lorsque l'on parle de nouba et d'andalou , elle prenne derechef une position d'autorité..., alors qu'elle n'est pas la seule, loin de là ...........il ya aussi nassima, et toutes les autres plus cachées et moin médiatisées.........

          mais je concède qu'elle a réussi à taire un certain machisme au vue de sa production de cd des différentes noubas...

          Commentaire


          • #6
            Alya

            ok, je comprends mieux.
            Vous faites allusion à Nassima. Moi, j'adore. J'ai perdu son CD lors du Méchoui de "Coup de Soleil". Je vais le racheter.

            C'est vrai qu'il faudrait que toutes les potentialités existantes soient valorisées.
            J'ai personnellement entendu en privé des sons de voix qui ont du potentiel. Je ne doute pas un instant que ces voix auront un jour la place qu'elles méritent.

            Commentaire


            • #7
              Zoubir ce milieu est malhereusement miné et dangereux pour les gens honnetes et serieux... donc certaines voix se retrouvent sous la douche pendant la pause du masque spécial cheveux secs....
              J'ai découvert des voix ( hommes et femmes) mais que veux -tu , c'ets la loi de la jungle de dallas des musiciens..........

              Commentaire


              • #8
                Merci les amis pour l'interessante répense

                Commentaire


                • #9
                  Tizinissa

                  Je ne sais pas d'où elle es en Algérie.
                  Je chercherais.

                  Commentaire


                  • #10
                    Merci Zoubir

                    Commentaire


                    • #11
                      Tizinissa

                      Et Tizinissa, ya khô, voila ce que j'ai trouvé:

                      Rouge Carmen andalouse, faites la Nouba... Raml
                      S’il y a une artiste qui procure à chaque fois du bonheur aux amateurs de bonne musique arabo-andalouse, à l’issue de la sortie de ses albums, c’est bien Bahdja Rahal. Enfant de la balle de bohème et d’El Bahdja, Alger, Bahdja Rahal, est tellement follement amoureuse de la musique classique andalouse qu’elle lui voue une véritable passion dévastatrice pour ne pas dire une marotte.

                      Depuis 7 ans, Bahdja, fait la «nouba», musicalement parlant. Sept ans, sept noubas sur douze classiques. Une performance! Les noubas Zidane, Mezmoum, Rasd, Dil, Ghrib, El Maya et celle qui vient tout juste de sortir sur le marché, Ram’l. Il s’agit d’un laborieux travail de conservation et de préservation des noubas. Une louable initiative dispensant des master classes didactiques et pédagogiques, vulgarisant la nouba proprement dite. Du coup, les noubas enregistrées en CD par Bahdja Rahal se vendent comme des petits pains. A chaque sortie d’un album, c’est un carton ! La preuve patente de ce succès, l’avant-dernière nouba, Ghrib, a été classée, selon un sondage, 4e meilleure vente de disque en Algérie, derrière cheba Djenet, Bilal et un autre chanteur de raï, toutes musiques confondues. Commentant ce sondage, Bahdja se réjouira : «Etre classée juste après le raï, c’est qu’on a gagné quelque part.»

                      Beihdja, pile Wonder :

                      De front, les concerts que donna Bahdja affiche toujours complet. Donc, un authentique public, averti jurant avec celui du raï, du charqi ou encore de l’electro, qui existe, et massivement. Aussi, Bahdja, est-elle revenue avec une galette, toute chaude et croustillante. Une nouvelle nouba, Ram’l. Un pur bonheur de 64 mn. Un disque exclusivement acoustique, car conçu avec des instruments pas du tout assistés par «le courant alternatif» et rehaussé par la voix caressante, entraînante et délicate de Bahdja. Une voix de cristal couvrant cette nouba Ram’l s’articulant en Inkilab Zidane Ya badiaâ el hosn, M’sader ram’l Ya raqbat el bellar, btaïhi ram’l Harq edhana mohdjati, 12 minutes d’une plage rhapsodique, ardente, festive et polyphonique. Istikhbar Zidane, une introduction instrumentale d’excellente facture à l’amplitude acoustique «haute fidélité» de trois insiraf Ram’l et les khlass Ram’l Ya mouqabil et Ya nass djaretli gharaïb. A propos de cette nouba Ram’l, Bahdja précise : «A titre d’exemple, le btaïhi Ram’l, est une version plutôt mélodique, plus longue, plus ample et authentique.

                      Cette nouba Ram’l reste différente, car plus haute avec une interprétation féminine.» Pour ce faire l’enregistrement s’est effectué au studio d’El Biar (Alger) et ce, durant trois semaines et en mettant à contribution sept musiciens et deux choristes. Nadji Hamma au luth, Tarik Hamouche à la kouitra et la harpe, Youcef Nouar, à la mandoline et le luth, Sid Ahmed Khazradji, violon alto, Abdelhalim Guerni, flûte, Belkacem Sisaber, tambourin, Mourad Taleb, à la derbouka et Amina Belouni et Meriem Boulahchiche.

                      Expliquant sa démarche mélomane de la musique arabo-andalouse dont elle se sent l’âme d’une «templière», Bahdja dira : «Je ne suis pas maître, mais simple interprète. Mon but, c’est de donner une certaine qualité à cette musique. C’est un travail pour corriger et donner la vraie version authentique des chouyoukh. Après 25 ans d’apprentissage, c’est maintenant que je me sens armée. Et j’espère être encore forgée.» En réponse à ceux qui se demandent ce qu’elle ferait après l’enregistrement des douze noubas (entendre la retraite), Bahdja rétorque: «Vous savez, il y a 90 M’sader. On peut faire de nombreuses noubas avec plusieurs M’sader avec une touche personnelle. Je vais les décevoir... J’ai devant moi encore 30 ans de travail soit 450 morceaux inchallah !» Qu’à cela ne tienne ! Bahdja sortira deux nouvelles noubas, H’ssine et Ram’l el maya d’ici à la fin de l’année. Nouba Ram’l de Bahdja est une évasion sentimentale, mélodique, nostalgique, antipoison et antidépresseur, ce n’est pas du prozac non plus, un CD à écouter absolument !

                      K.S.
                      "EL WATAN" dimanche 18 août 2002

                      Commentaire


                      • #12
                        merci Zoubir,

                        Bravo Bahja Rahal, ca fait toujours plaisir d'entendre que la music andalouse enregistre des succes pareil. C'est esentiellemnt dû au travail des jeunes artistes.

                        Vraiment bravo pour le succes et pour avoir pu attirer ce grand nombre de melomanes.

                        Ca veut dire aussi qu'on a encore des gens qui vibrent aux rythmes de la bonne et noble musique authentique.
                        Et qu'il faut tout simplement bien les servir.

                        Commentaire


                        • #13
                          c'est vrai que bahdja rahal est relativement surmediatuisée ..par rapport aux autres grands..il faut comme meme lui rendre hommage dans son essai de sauvgarde de l'andalous autehntique...
                          pour la voie il faut ecouter el hadj mohammed el tahar el fergani en executant ennoubat.........itaki allah ya mou3adiba kalbi ..la tazidni 3ala nouhouli nouhoulan..

                          j'ai toujours preferé les voix solistes dans l'execution des noubates
                          « Puis-je rendre ma vie
                          Semblable à une flûte de roseau
                          Simple et droite
                          Et toute remplie de musique »

                          Commentaire


                          • #14
                            Fergani, ahhh

                            Tu me replonges dans mon enfance batnéenne.
                            Fergani poussé à fond et mes tantes et cousines dansant avec des oulards dans les mains.

                            Commentaire


                            • #15
                              Ah oui j'ai ecouté ressement a Bruxelle des passages de Ferghani !! un grand maitre sans conteste.

                              PS: Le poeme aussi a l'air d'etre matkoun, vivement plus

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X