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"Ikram elmayit dafnouh" cette expression, ce droit du defunt n’est plus possible a Djelfa!!!!
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«En dépit des cris de détresse qui proviennent de la population affolée par l’idée sombre et soudaine de ne plus trouver dans les mois à venir un espace où enterrer ses morts, rien n’y fait, l’angoisse des autres n’étreint aucunement le cœur de nos responsables ! Personne, parmi ceux censés au regard de la loi garantir la condition minimum aux citoyens de disposer d’un lieu d’inhumation, ne semble avoir aujourd’hui conscience qu’un jour ou l’autre, il sera deux pieds sous terre dans un carré qu’on ne lui trouvera pas, si d’ores et déjà, on ne s’y emploie pas. Ceci n’est pas une boutade, car les deux cimetières de Djelfa afficheront bientôt complets ! Pour se convaincre de l’acuité avec laquelle se pose le problème, il suffit d’assister à une cérémonie d’enterrement. Actuellement, les morts se « bousculent » au portillon mais dans l’autre sens ! Rencontré lors d’un enterrement, le wali montra à ce sujet beaucoup de sensibilité et fit part à El Watan de son injonction faite, il y a longtemps à l’APC, de procéder au choix de terrains pour deux cimetières, le premier à l’ouest et le second à l’est du chef-lieu de wilaya : « Je suis surpris d’ailleurs qu’une pareille initiative n’ait pas été prise de facto ! », devait conclure le wali non sans montrer son désappointement ! Il est vrai que la ville se trouve ceinturée de toutes parts, par des terres à vocation agricole à l’est, une zone industrielle au sud, des cantonnements militaires et d’autres terres agricoles à l’ouest et enfin, un relief excavé naturellement au nord ! Tout cela par la faute d’anciens élus, aux antipodes de la gestion de la chose publique, autrement dit, on n’a jamais songé à monter un sommier de consistance des réserves foncières communales, qui aurait vite fait de résoudre ce cas et beaucoup d’autres. Il n’empêche qu’une solution immédiate existe, à savoir étendre le cimetière qui longe l’évitement vers Laghouat, avant de se fixer sur d’autres plateformes, notamment au nord-est de la ville. Entre temps, prions tous pour ne pas avoir l’hécatombe sur les routes comme ce fut le cas, la semaine dernière, dans la wilaya de M’sila, 7 morts originaires de la région, dans un taxi !
- El Watan
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«En dépit des cris de détresse qui proviennent de la population affolée par l’idée sombre et soudaine de ne plus trouver dans les mois à venir un espace où enterrer ses morts, rien n’y fait, l’angoisse des autres n’étreint aucunement le cœur de nos responsables ! Personne, parmi ceux censés au regard de la loi garantir la condition minimum aux citoyens de disposer d’un lieu d’inhumation, ne semble avoir aujourd’hui conscience qu’un jour ou l’autre, il sera deux pieds sous terre dans un carré qu’on ne lui trouvera pas, si d’ores et déjà, on ne s’y emploie pas. Ceci n’est pas une boutade, car les deux cimetières de Djelfa afficheront bientôt complets ! Pour se convaincre de l’acuité avec laquelle se pose le problème, il suffit d’assister à une cérémonie d’enterrement. Actuellement, les morts se « bousculent » au portillon mais dans l’autre sens ! Rencontré lors d’un enterrement, le wali montra à ce sujet beaucoup de sensibilité et fit part à El Watan de son injonction faite, il y a longtemps à l’APC, de procéder au choix de terrains pour deux cimetières, le premier à l’ouest et le second à l’est du chef-lieu de wilaya : « Je suis surpris d’ailleurs qu’une pareille initiative n’ait pas été prise de facto ! », devait conclure le wali non sans montrer son désappointement ! Il est vrai que la ville se trouve ceinturée de toutes parts, par des terres à vocation agricole à l’est, une zone industrielle au sud, des cantonnements militaires et d’autres terres agricoles à l’ouest et enfin, un relief excavé naturellement au nord ! Tout cela par la faute d’anciens élus, aux antipodes de la gestion de la chose publique, autrement dit, on n’a jamais songé à monter un sommier de consistance des réserves foncières communales, qui aurait vite fait de résoudre ce cas et beaucoup d’autres. Il n’empêche qu’une solution immédiate existe, à savoir étendre le cimetière qui longe l’évitement vers Laghouat, avant de se fixer sur d’autres plateformes, notamment au nord-est de la ville. Entre temps, prions tous pour ne pas avoir l’hécatombe sur les routes comme ce fut le cas, la semaine dernière, dans la wilaya de M’sila, 7 morts originaires de la région, dans un taxi !
- El Watan