Exclusif Mustapha Salma au Soir échos «Mon cas est une affaire de liberté d’expression»
«Je n’ai commis aucun délit qui appelle un quelconque procès ou condamnation».
«L’autonomie est une solution au même titre que l’indépendance ou l’intégration au Maroc, qui a besoin d’être expliquée aux habitants des camps de Tindouf».
A la question de savoir si son retour aux camps est une entreprise calculée ou une aventure aux issues incertaines, notre interlocuteur reconnaît qu’il demeure «très difficile de donner une réponse exacte à cette question tant l’arbitraire est la règle dans les camps. Tout ce que je peux vous dire c’est que je n’ai commis aucun délit qui appelle un quelconque procès ou une condamnation. Mon cas est une affaire de liberté d’expression. Je suis un homme de loi et je connais amplement les lois du Polisario».
Dans ses déclarations au Soir échos, l’inspecteur général de la sûreté au Polisario asure qu’il a l’intention de défendre le projet d’autonomie proposé par le royaume. «C’est une solution au même titre que l’indépendance ou l’intégration au Maroc, qui a besoin d’être expliquée aux habitants des camps de Tindouf», souligne-t-il
Le fil de la discussion avec Mustapha Salma nous conduit à évoquer les conditions de son voyage. L’inspecteur général de la sûreté au Polisario nous a confié que son retour dans les camps de Tindouf est prévu pour la semaine prochaine. Raison : «Nous sommes sur route en plein désert. On est contraint d’effectuer beaucoup d’arrêts. Il vaut mieux procéder lentement. L’essentiel, c’est d’arriver sain et sauf même si je suis impatient d’arriver aux camps de Tindouf». L’inspecteur général de la sûreté au Polisario nous confirme les informations relatées par des sources à Laâyoune faisant état de la naissance d’une petite fille au foyer de Mustapha Salma. «Je viens d’avoir une fille. Je lui ai choisi le prénom de Meryem en hommage à la princesse Lalla Meryem, souligne notre interlocuteur.
«Je n’ai commis aucun délit qui appelle un quelconque procès ou condamnation».
«L’autonomie est une solution au même titre que l’indépendance ou l’intégration au Maroc, qui a besoin d’être expliquée aux habitants des camps de Tindouf».
A la question de savoir si son retour aux camps est une entreprise calculée ou une aventure aux issues incertaines, notre interlocuteur reconnaît qu’il demeure «très difficile de donner une réponse exacte à cette question tant l’arbitraire est la règle dans les camps. Tout ce que je peux vous dire c’est que je n’ai commis aucun délit qui appelle un quelconque procès ou une condamnation. Mon cas est une affaire de liberté d’expression. Je suis un homme de loi et je connais amplement les lois du Polisario».
Dans ses déclarations au Soir échos, l’inspecteur général de la sûreté au Polisario asure qu’il a l’intention de défendre le projet d’autonomie proposé par le royaume. «C’est une solution au même titre que l’indépendance ou l’intégration au Maroc, qui a besoin d’être expliquée aux habitants des camps de Tindouf», souligne-t-il
Le fil de la discussion avec Mustapha Salma nous conduit à évoquer les conditions de son voyage. L’inspecteur général de la sûreté au Polisario nous a confié que son retour dans les camps de Tindouf est prévu pour la semaine prochaine. Raison : «Nous sommes sur route en plein désert. On est contraint d’effectuer beaucoup d’arrêts. Il vaut mieux procéder lentement. L’essentiel, c’est d’arriver sain et sauf même si je suis impatient d’arriver aux camps de Tindouf». L’inspecteur général de la sûreté au Polisario nous confirme les informations relatées par des sources à Laâyoune faisant état de la naissance d’une petite fille au foyer de Mustapha Salma. «Je viens d’avoir une fille. Je lui ai choisi le prénom de Meryem en hommage à la princesse Lalla Meryem, souligne notre interlocuteur.
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