"prostituée" qui mérite "la peine de mort" : depuis plusieurs jours, le journal iranien Kayhan se déchaîne contre la Première dame Carla Bruni-Sarkozy après sa prise de position contre la lapidation d'une femme coupable d'adultère en Iran.
Les propos insultants rapportés par ce journal hyper-conservateur n'ont pas manqué de faire réagir : à Paris tout d'abord, un porte parole du ministre des Affaires Etrangères a déclaré que les propos de cet article étaient "inqualifiables et inacceptables".
L'affaire a même pris une tournure européenne : mardi soir, Rome a exprimé son "horreur" par la voix de son ministre des Affaires Etrangères, Franco Frattini.
Devant cette levée de boucliers, Téhéran s'est donc finalement désolidarisé du journal Kayhan : "La République islamique n'approuve pas l'insulte contre les responsables des autres pays" a expliqué un porte-parole des ministère des Affaires Etrangères, ajoutant : "On peut critiquer [...] exprimer notre protestation, mais il ne faut pas utiliser des mots insultants. Cela n'est pas correct."
Le magazine Kayhan revenait, à la base, sur l'intervention de Carla Bruni qui a dénoncé le sort réservé à Sakineh, une iranienne condamnée à mort par lapidation pour adultère.
Une autre histoire émeut depuis la communauté internationale, celle d'un iranien de 18 ans, lui-aussi condamné à mort, cette fois par pendaison et pour homosexualité
Lepost
Les propos insultants rapportés par ce journal hyper-conservateur n'ont pas manqué de faire réagir : à Paris tout d'abord, un porte parole du ministre des Affaires Etrangères a déclaré que les propos de cet article étaient "inqualifiables et inacceptables".
L'affaire a même pris une tournure européenne : mardi soir, Rome a exprimé son "horreur" par la voix de son ministre des Affaires Etrangères, Franco Frattini.
Devant cette levée de boucliers, Téhéran s'est donc finalement désolidarisé du journal Kayhan : "La République islamique n'approuve pas l'insulte contre les responsables des autres pays" a expliqué un porte-parole des ministère des Affaires Etrangères, ajoutant : "On peut critiquer [...] exprimer notre protestation, mais il ne faut pas utiliser des mots insultants. Cela n'est pas correct."
Le magazine Kayhan revenait, à la base, sur l'intervention de Carla Bruni qui a dénoncé le sort réservé à Sakineh, une iranienne condamnée à mort par lapidation pour adultère.
Une autre histoire émeut depuis la communauté internationale, celle d'un iranien de 18 ans, lui-aussi condamné à mort, cette fois par pendaison et pour homosexualité
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