SVP sujet choquant, âmes sensibles s'abstenir. je devais parler et avertir les gens.
Aujourd'hui j'écris ici parce que j'ai envie de parler et que je ne peut pas, aujourd'hui mon ami a frolé la mort devant mes yeux, et probablement moi aussi.
Aujourd'hui j'ai décidé de démarrer une nouvelle vie de zero, je préparerais cette nouvelle vie tant que Dieu me laissera vivre encore.
Car j'ai appris aujourd'hui pendant une journée ce que j'ai voulu éviter de comprendre pendant 31 ans.
J'ai appris que notre pays est maudit.
Qu'il est plein de braves gens, qu'on ne trouve nul part ailleurs mais qu'un cancer le gangrène de partout.
Aujourd'hui j'ai connu un gars formidable issu d'un famille formidable qui m'ont aidé toute la journée comme personne en la fait auparavant.
Mais j'ai hélas connu une demie avant un homme cagoulé, qui portait un sabre, qui bloquait cette route sinueuse et abandonné qui à Santa Cruz - Oran, route bloquée avec des troncs d'arbres.
Aujourd'hui j'ai su que quoiquon pense bien conduire il est difficile de foncer en marche arrière, de défoncer ce cagoulé, de rouler dessus.
Aujourd'hui j'ai compris que dans notre pauvre pays il y a des gens assez drogués pour casser la vitre passager avec le sabre et se mettre à frapper de toute ses forces mon ami à coté.
Aujourd'hui il a frolé la mort.
Aujourd'hui j'ai vu un sabre foncer sur mon visage à toute vitesse et je m'en tire avec une plaie d'un centimetre, une égratinure quoi.
Aujourd'hui j'ai compris qu'on pouvait faire ça pour un téléphone portable que je lui ai jetté, sans qu'il arrête , puis les quelques 7000 ou 8 milles dinars que j'avais en poche.
J'ai su aussi qu'on pouvait continuer de frapper même aprés ça.
Et qu'il a fallu foncer dans les troncs d'arbres pour sauver sa peau.
Puis il fallait revenir, après avoir fait demi tour, mais il continuer à replacer le tronc d'arbre , dans lequel j'ai foncé, et qu'il essaye de frapper de nous lors de notre passage.
Aujourdhui je me suis arrété devant le premier barrage de police que j'ai trouvé en descendant pour qu'on nous montre l'hopital , mon ami saignait de partout, moi une égratinureau visage. Les policiers ne se sont même pas levés.
Périple pour arriver à l'hopital , avec toute la ligne d'échappement de la voiture sur la route, tout le chemin.
Je m'étonne encore comment ça n'a pas explosé.
à mi chemin j'ai connu ces braves gens auquels j'ai demandé de l'aide pour tenir le tuyau d'échapement, et qui ont pris mon ami et moi à l'hopital. qui m'ont assité toute la journée, déplacements, ftour, tout quoi.
Pour déposer plainte j'ai appris dans mon pays qu'il faut savoir où le faire, pas n'importe où
Ce soir je viens de rentrer chez moi , en vie , mon ami passe la nuit à l'hopital en surveillance, avec une plaie au ventre, superficielle disent les médecins, et deux autres de plusieurs centimètres au bras, et au dos.
Il a failli y laisser sa vie, je me demande ce que j'aurais dit à ses parents.
Je me demande aussi ce qui a empéché ma marche arrière de foncer dans le ravin , et nous tuer tous les deux.
Mes parents sont à coté de moi je n'ose pas leur racconter de peur qu'ils en tombent malades.
Mon ami plus courageux que moi , est à l'hopital , souriant même.
Devrais je être content que nous soyons vivants?
Ou malheureux d'avoir frolé la mort?
Ou malheureux de vivre dans un pays maudit?
Aujourd'hui j'écris ici parce que j'ai envie de parler et que je ne peut pas, aujourd'hui mon ami a frolé la mort devant mes yeux, et probablement moi aussi.
Aujourd'hui j'ai décidé de démarrer une nouvelle vie de zero, je préparerais cette nouvelle vie tant que Dieu me laissera vivre encore.
Car j'ai appris aujourd'hui pendant une journée ce que j'ai voulu éviter de comprendre pendant 31 ans.
J'ai appris que notre pays est maudit.
Qu'il est plein de braves gens, qu'on ne trouve nul part ailleurs mais qu'un cancer le gangrène de partout.
Aujourd'hui j'ai connu un gars formidable issu d'un famille formidable qui m'ont aidé toute la journée comme personne en la fait auparavant.
Mais j'ai hélas connu une demie avant un homme cagoulé, qui portait un sabre, qui bloquait cette route sinueuse et abandonné qui à Santa Cruz - Oran, route bloquée avec des troncs d'arbres.
Aujourd'hui j'ai su que quoiquon pense bien conduire il est difficile de foncer en marche arrière, de défoncer ce cagoulé, de rouler dessus.
Aujourd'hui j'ai compris que dans notre pauvre pays il y a des gens assez drogués pour casser la vitre passager avec le sabre et se mettre à frapper de toute ses forces mon ami à coté.
Aujourd'hui il a frolé la mort.
Aujourd'hui j'ai vu un sabre foncer sur mon visage à toute vitesse et je m'en tire avec une plaie d'un centimetre, une égratinure quoi.
Aujourd'hui j'ai compris qu'on pouvait faire ça pour un téléphone portable que je lui ai jetté, sans qu'il arrête , puis les quelques 7000 ou 8 milles dinars que j'avais en poche.
J'ai su aussi qu'on pouvait continuer de frapper même aprés ça.
Et qu'il a fallu foncer dans les troncs d'arbres pour sauver sa peau.
Puis il fallait revenir, après avoir fait demi tour, mais il continuer à replacer le tronc d'arbre , dans lequel j'ai foncé, et qu'il essaye de frapper de nous lors de notre passage.
Aujourdhui je me suis arrété devant le premier barrage de police que j'ai trouvé en descendant pour qu'on nous montre l'hopital , mon ami saignait de partout, moi une égratinureau visage. Les policiers ne se sont même pas levés.
Périple pour arriver à l'hopital , avec toute la ligne d'échappement de la voiture sur la route, tout le chemin.
Je m'étonne encore comment ça n'a pas explosé.
à mi chemin j'ai connu ces braves gens auquels j'ai demandé de l'aide pour tenir le tuyau d'échapement, et qui ont pris mon ami et moi à l'hopital. qui m'ont assité toute la journée, déplacements, ftour, tout quoi.
Pour déposer plainte j'ai appris dans mon pays qu'il faut savoir où le faire, pas n'importe où
Ce soir je viens de rentrer chez moi , en vie , mon ami passe la nuit à l'hopital en surveillance, avec une plaie au ventre, superficielle disent les médecins, et deux autres de plusieurs centimètres au bras, et au dos.
Il a failli y laisser sa vie, je me demande ce que j'aurais dit à ses parents.
Je me demande aussi ce qui a empéché ma marche arrière de foncer dans le ravin , et nous tuer tous les deux.
Mes parents sont à coté de moi je n'ose pas leur racconter de peur qu'ils en tombent malades.
Mon ami plus courageux que moi , est à l'hopital , souriant même.
Devrais je être content que nous soyons vivants?
Ou malheureux d'avoir frolé la mort?
Ou malheureux de vivre dans un pays maudit?
Commentaire