Annulant tous les jugements prononcés en leur faveur
L’état coupe l’herbe sous le pied des anciens colons
Le gouvernement vient en effet d’annuler toutes les décisions administratives et judiciaires prononcées en Algérie en faveur des anciens colons français qui avaient entamé des démarches pour la restitution de milliers de leurs biens immobiliers avant l’indépendance, et impose de lourdes peines de prisons et de fortes amendes à toute personne ou partie leur fournissant une couverture juridique,
et ce selon l’article 42 de la loi de finance complémentaire
L’état ne pouvant se constituer partie civile dans des affaires concernant des biens immobiliers qui ne lui appartiennent pas et les parties qui se sont vues octroyés le permis d’exploiter n’ayant pas d’actes de propriétés- a permis à certains colons ont d’ailleurs pu obtenir des jugements en leur faveur pour la restitution de biens immobiliers pour lesquels l’Etat avait accordé des permis d’exploitation, par de simple décisions administratives, à des institutions et administration publiques, des associations, des organismes et même des partis politiques, comme ça a été le cas pour de grands immeubles du centre ville à l’instar du siège de la direction général d’Air Algérie, de l’ancien siège de la commune de Sidi m’hamed, ainsi que des dizaines d’appartements et d’habitations.
El Khabar
L’état coupe l’herbe sous le pied des anciens colons
Le gouvernement vient en effet d’annuler toutes les décisions administratives et judiciaires prononcées en Algérie en faveur des anciens colons français qui avaient entamé des démarches pour la restitution de milliers de leurs biens immobiliers avant l’indépendance, et impose de lourdes peines de prisons et de fortes amendes à toute personne ou partie leur fournissant une couverture juridique,
et ce selon l’article 42 de la loi de finance complémentaire
L’état ne pouvant se constituer partie civile dans des affaires concernant des biens immobiliers qui ne lui appartiennent pas et les parties qui se sont vues octroyés le permis d’exploiter n’ayant pas d’actes de propriétés- a permis à certains colons ont d’ailleurs pu obtenir des jugements en leur faveur pour la restitution de biens immobiliers pour lesquels l’Etat avait accordé des permis d’exploitation, par de simple décisions administratives, à des institutions et administration publiques, des associations, des organismes et même des partis politiques, comme ça a été le cas pour de grands immeubles du centre ville à l’instar du siège de la direction général d’Air Algérie, de l’ancien siège de la commune de Sidi m’hamed, ainsi que des dizaines d’appartements et d’habitations.
El Khabar
Commentaire