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Zapatero, humilié par le Royaume Uni, le Chili et l'Algérie

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  • Zapatero, humilié par le Royaume Uni, le Chili et l'Algérie

    "Il n'y a pas de preuve plus concluante sur la capacité d'un homme de guider les autres que ce qu'il fait au jour le jour pour se guider lui même" (Thomas J. Watson)


    Vous allez être d'accord avec moi que la citation de Thomas J. Watson est aussi vraie comme démolisseuse. J'espère que, vu les événements des dernières années, vous serez aussi d'accord avec moi de que les actions quotidiennes de notre désorienté Président du Gouvernement sont la meilleure preuve à l'heure de montrer son incapacité claire à guider notre pays, et encore plus dans la conjoncture actuelle.


    Zapatero et ses acolytes "de prestige reconnu" nous offrent quotidiennement des épisodes, des rendez-vous, et des agissements dignes d'analyse. Dans le domaine de la Politique Extérieure, malheureusement pour notre malheureuse Espagne, les petits numéros de cirque de nos gouvernants sont aussi la preuve la plus absolue de son incompétence et son incapacité de leadership; spécialement parce que celui qui n'arrive pas à orienter sa propre direction dans une multitude de scénarios, peut difficilement aspirer à guider une Nation comme la nôtre, si désespérément en besoin aujourd'hui de leaders adroits avec la boussole.


    Nos glorieux gouvernants pseudo-progressistes n'hésitent pas à se noyer (et nous avec) jusqu'aux sourcils dans épisodes internationaux ridicules, inconcevables dans n'importe quelle nation respectable de notre contour. Ainsi, la semaine passée, pendant que Leire Pajín et Elena Valenciano se promenaient si heureuses dans les bureaux de la dictature castriste à La Havane sans le moindre gêne sur leurs visages, ni personne au sein du parti socialiste espagnol se demandait si le "progressisme" est compatible avec le soutien de l'une des pires dictatures planétaires, Zapatero et son ministre délustré Moratinos ne doutaient pas de réitérer publiquement qu'ils gardent encore l'espoir que l'UE change au plus tôt sa politique vers Cuba. Moratinos nous avait déjà annoncé il y a longtemps qu'à la dictature castriste il fallait pas lui demander des réformes d'aucun type, en faisant que sa gestion à la tête du Ministère d'Extérieurs atteigne des cotes de honte absolue et en laissant l'Espagne à la hauteur du bitume, même si cela n'avait pas, pour beaucoup de gens, grande importance. Encore une preuve du délire absolu inoculé par nos gouvernants à l'opinion publique espagnole.


    La semaine passée aussi, Zapatero a réussi à faire le plus grand exercice d'autrichisme politique des dernières décennies. Ainsi, face au blocage de Melilla par le Maroc et devant la recrudescence de la répression violente exercée par le régime alaouite contre les manifestants sahraouis et espagnols au Sahara Occidental occupé, le glorieux gouvernement de Zapatero a décidé de n'y voir rien de mauvais et de louer les relations "avantageuses" entre Rabat et Madrid. Il y a longtemps que nous savions que regarder d'un autre côté pendant que le Maroc fait des siennes est plus facile que défendre les intérêts de l'État, ceux des Espagnols et ceux des sahraouis, mais ce qui s'est passé la semaine dernière a atteint des proportions surréalistes quand, depuis le Ministère des Affaires Etrangères on recommandait aux manifestants espagnols frappés par la police marocaine (qui, au Sahara se promène en civil) qu'ils acceptent la réalité de l'occupation de notre ancienne colonie et qu'ils respectent la "loi en vigueur" : celle que Rabat continue d'imposer illégalement sur notre ancien territoire, en violation du Droit International et des résolutions de l'ONU. Comment notre gouvernement, peut-il soutenir une "légalité" pareille?


    Il convient de rappeler que pendant que les porte-paroles de Zapatero parlaient des magnifiques relations existantes entre Madrid et le régime féodal marocain, les nouvelles de la situation des prisonniers sahraouis dans dans les geôles marocaines et des activistes civils blessés après les dernières preuves de barbarie policière à El Aiún s'obstinaient à obscurcir la vision idyllique que le gouvernement espagnol essaie de vendre à l'opinion publique sur les relations avec notre voisin nord-africain. Les événements, bien que partiellement étouffés dans notre pays par les intérêts évidents de ceux qui soutiennent la politique de soumission à Rabat, les locataires de la Moncloa ne laissent déjà pas de place aux jeux dialectiques et Zapatero doit commencer à payer la facture de sa politique néfaste de faire des affaires à n'importe quel prix sous la couverture de cette "bonté pathologique" caractéristique de notre illustre gouverneur.


    La situation que la "réalité réelle" (pas celle que les leaders du parti socialiste espagnol habitent) nous montre est une très inquiétante situation dans laquelle la position de l'Espagne au nord de l'Afrique est chaque jour plus faible face à l'infatigable défi marocain à notre intégrité territoriale et face à la violation des droits du peuple sahraoui. La goutte qui devrait remplir le vase est la décision récente des partis politiques nationalistes au Maroc (y compris l'Istiqlal gouvernemental) pour se joindre à l'exigence de rupture des relations entre Rabat et (accrochez-vous) le PP espagnol. Ceux qui allèguent que "leurs revendications sacrées sur les îlesCanaries, Ceuta et Melilla sont incontestables" annoncent aux quatre vents que leur ennemi réel dans la réalisation de leur agenda n'est pas le Gouvernement du Royaume de l'Espagne, mais le PP. Zapatero aurait déjà du faire une sortie publique pour dénoncer que ce positionnement de Rabat est tout à fait inacceptable pour la démocratie espagnole, mais nous pouvons continuer d'attendre encore, vu ce qu'on vu jusqu'à maintenant.


    La situation (qui en soi est déjà bordélique) serait infiniment plus facile pour Zapatero si nous étions tous des volontaires aveugles et ne voudrions pas nous rendre compte de ce qu'il se passe. Nous devons reconnaître qu'il y a des millions d'Espagnols prêts à faire cette grande faveur à notre lamentable gouvernement, autrement on ne peut expliquer qu'on le laisse faire ce qu'il fait. Cependant, comme les trucages de prestidigitation de Zapatero ne sont pas infaillibles à l'étranger, le Royaume-Uni, le Chili et l'Algérie ont décidé dans les derniers jours d'exercer une politique de cohérence et de bon sens qui suppose une humiliation totale pour la honteuse politique extérieure de Zapatero.


    Et qu'est-ce qu'ils ont dit et fait les britanniques, les Chiliens et les algériens ? La majorité des médias espagnols ont préféré poursuivre avec la cécité volontaire pour ne pas avoir à informer l'opinion publique espagnole de ce que Londres (à travers son ambassadeur en Algérie) a dit le 3 septembre passé qu'elle soutient "une solution qui garantit l'autodétermination du peuple sahraoui à travers un référendum juste et transparent et sans aucune pression". Eh ben dis donc (!). Une politique de cohérence avec les résolutions de l'ONU qui suppose une gifle majuscule pour la politique Zapaterienne arborée par Moratinos d'abandon des responsabilités de l'Espagne dans l'affaire de la décolonisation du Sahara Occidental. On voit que le "bon parler" est une chose et défendre les droits des sahraouis abandonnés à leur sort par Madrid (malgré que beaucoup parmi eux conservent encore leur ancien DNI espagnol, en est une autre.


    Pour aider notre Président du Gouvernement à se couvrir de davantage de gloire, le Parlement chilien a formellement demandé le même jour au Président du Chili, Sebastián Piñera, "pour des raisons liées à l'histoire et les institutions de la nation chilienne, de reconnaître d'urgence la République Arabe Sahraouie Démocratique et d'établir des relations diplomatiques entre les deux pays". Pas besoin de commentaires, n'est-ce pas? Vous allez m'accorder qu'il faut ôter son chapeau devant nos frères chiliens, alors que nous devrions nous appliquer le conte et exiger de nos députés qu'ils assument leurs obligations internationales et historiques de manière décente.


    Il faut aussi se prosterner devant le bon sens de nos voisins algériens, qui viennent de proposer formellement à l'assemblée Générale des Nations Unies de voter cette semaine une résolution contre le paiement de rançons aux groupes terroristes pour libérer les otages, avec une claire allusion aux démarches honteuses du Gouvernement de Zapatero pour payer des millions d'Euros à Al-Qaeda en échange de la libération des deux Espagnols séquestrés au Mali. Il se trouve que les victimes principales lorsqu'on paie une rançon aux terroristes ce sont les gouvernements des pays de la dite région qui verront leur lutte contre le terrorisme djihadiste sérieusement compliquée vis-à-vis de l'avenir. " Pecata minuta" pour le tandem Zapatero-Moratinos, discrédit pour l'Espagne internationalement, et grand succès pour Al-Qaeda. Il ne manque plus que l'arrivée d'Osama Bin Laden pour accorder une médaille à Zapatero et déclarer qu'il rompt les relations avec le PP espagnol. Il est possible que dans le siège du parti socialiste espagnol il y ait même quelqu'un qui le prendrait comme quelque chose de positif. Je le vois arriver : "Regarde, nous sommes tellement gentils que même les séparatistes de l'ETA, les nationalistes marocains et les terroristes d'Al-Qaida nous font un clin d'oeil". Tous ceux qui veulent la paix. C'est sûr que nous allons faire un ravage aux élections de 2012".


    suite
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Ce qui est triste c'est que non seulement nous le faisons complètement mal à l'égard de nos territoires menacés par le Maroc, l'affaire du Sahara Occidental et de faire des terroristes d'Al-Qaeda des hommes riches (auxquels nous avons déjà aidé à financer, avec la rançon, plusieurs attentats, en commençant par celui du 25 août en Mauritanie contre un quartier de l'armée de ce pays dans la ville de Nema, même si après nous disons combattre, du côté de l'OTAN, contre la même Al-Qaeda en Afghanistan), mais nous noyons aussi notre réputation internationale à l'égard de notre autre ex-colonie en Afrique. Oui, mesdames et messieurs, quand la dictature qui Teodoro Obiang dirige en Guinée Équatoriale a exécuté le 21 août passé un civil et trois ex-militaires condamnés à la peine capitale (une demi-heure après que sa sentence a été dictée, sans attendre appel, sans pouvoir dire au-revoir à ses parents), le glorieux gouvernement de Zapatero a décidé de regarder d'un autre côté et de garder le silence.


    Pourquoi déranger celui des embrassades avec Moratinos sur les photos ? Pourquoi protester diplomatiquement devant une telle violation des Droits de l'homme dans notre ex-colonie ? Silence radio à Madrid pendant toute une semaine. Comme nous le rappelait Luis Ayllón le 29 août dernier dans son blog "Terminal zéro" (du journal ABC), le silence officiel à Madrid quand les exécutions se sont produites a été "surprenant, non seulement à cause des liens avec l'ancienne colonie, mais parce que le chef de l'Exécutif, José Luis Rodríguez Zapatero, s'est présenté comme le grand porte-drapeau pour obtenir jusqu'à 2015 un moratoire dans l'application de la peine de mort par les pays qui l'ont reprise dans leur législation".


    Vous voyez bien, tout pose et contradictions. Quel légat et quel leadership, celui de Zapatero. Vous vous rappelez encore de la citation de Thomas J. Watson?


    Álvaro Ballesteros, expert en Sécurité Internationale et Politique Extérieure

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    • #3
      version originale
      ________
      Reino Unido, Chile y Argelia humillan a Zapatero

      “No hay prueba más concluyente sobre la capacidad de un hombre para guiar a otros que aquello que hace día a día para guiarse a sí mismo”.
      Thomas J. Watson
      Convendrán conmigo en que la cita de Thomas J. Watson es tan acertada como demoledora. Espero que, en vista de los acontecimientos de los últimos años, convendrán también conmigo en que las acciones diarias de nuestro desnortado Presidente del Gobierno son la mejor prueba a la hora de mostrar su clara incapacidad para guiar a nuestro país, y más aun en la coyuntura actual.
      Zapatero y sus acólitos “de reconocido prestigio” nos regalan a diario episodios, citas, y actuaciones dignas de análisis. En el campo de la Política Exterior, por desgracia para nuestra maltratada España, los numeritos circenses de nuestros gobernantes son asimismo la más absoluta muestra de su incompetencia e incapacidad de liderazgo; especialmente porque quien no alcanza a orientar su propio rumbo en multitud de escenarios, difícilmente puede aspirar a guiar a una Nación como la nuestra, tan desesperadamente necesitada hoy de líderes diestros con la brújula.
      Nuestros gloriosos gobernantes pseudo-progresistas no dudan en hundirse (y hundirnos) hasta las cejas en esperpénticos ridículos internacionales, inconcebibles en cualquier nación respetable de nuestro entorno. Así, la semana pasada, mientras Leire Pajín y Elena Valenciano se paseaban tan felices por los despachos de la dictadura castrista en La Habana sin que se les cayese la cara de vergüenza ni nadie en el PSOE se preguntase si el “progresismo” es compatible con el apoyo a una de las peores dictaduras planetarias, Zapatero y su deslustrado ministro Moratinos no dudaban en reiterar públicamente que aun mantienen la esperanza de que la UE cambie pronto su política hacia Cuba. Moratinos ya nos había anunciado hace tiempo que a la dictadura castrista no había por qué pedirle reformas de ningún tipo, haciendo que su gestión al frente del Ministerio de Exteriores alcanzara cotas de absoluta vergüenza y dejando a España a la altura del betún, aunque para muchos esto no tuviese mayor importancia. Una prueba más del absoluto desvarío inoculado por nuestros gobernantes a la opinión pública española.
      Igualmente la semana pasada, Zapatero consiguió hacer el mayor ejercicio de avestrucismo político de los últimos decenios. Así, frente al bloqueo de Melilla por parte de Marruecos y ante el recrudecimiento de la violenta represión ejercida por el régimen Alauita contra los manifestantes saharauis y españoles en el ocupado Sáhara Occidental, el glorioso gobierno Zapatero decidió no ver nada malo y alabar las “beneficiosas” relaciones entre Rabat y Madrid. Hace tiempo que sabíamos que lo de mirar para otro lado mientras Marruecos hace de las suyas es más fácil que defender los intereses del Estado, los de los españoles y los de los saharauis, pero lo de la semana pasada alcanzó tintes surrealistas cuando desde el Ministerio de Exteriores se recomendaba a los manifestantes españoles apaleados por la policía marroquí (que en el Sáhara va de paisano) que aceptasen la realidad de la ocupación de nuestra antigua colonia y que respetasen la “legalidad vigente”: esa que Rabat sigue imponiendo ilegalmente sobre nuestro antiguo territorio, en violación del Derecho Internacional y de las resoluciones de la ONU. ¿Cómo puede nuestro gobierno respaldar semejante “legalidad”?
      Conviene recordar que mientras los voceros de Zapatero hablaban de las magnificas relaciones existentes entre Madrid y el régimen feudal marroquí, las noticias sobre la situación de los presos políticos saharauis en cárceles marroquíes y de los activistas civiles heridos tras las últimas muestras de barbarie policial en El Aiún se empecinaban en oscurecer la idílica visión que el gobierno español intenta vender a la opinión pública sobre las relaciones con nuestro vecino norteafricano. Los acontecimientos, aunque parcialmente silenciados en nuestro país por los intereses obvios de los que apoyan la política de sumisión a Rabat, no dejan ya lugar para los juegos dialécticos monclovitas y Zapatero debe empezar a pagar la factura de su nefasta política de hacer negocios a cualquier precio bajo la cobertura de ese “buenismo patológico” característico de nuestro ínclito gobernante.
      La situación que la “realidad real” (no la que habitan los líderes del PSOE) nos muestra es una muy preocupante en la que la posición de España en el norte de África es cada día más débil frente al incansable desafío marroquí a nuestra integridad territorial y frente a la violación de los derechos del pueblo saharaui. La gota que debería colmar el vaso es la reciente decisión de los partidos políticos nacionalistas en Marruecos (incluido el gubernamental Istiqlal) para unirse en la exigencia de ruptura de los lazos entre Rabat y (agárrense) el PP español. Los que alegan que “sus sagradas reivindicaciones sobre Canarias, Ceuta y Melilla son incontestables” anuncian a los cuatro vientos que su enemigo real en la consecución de su agenda no es el Gobierno del Reino de España, sino el PP. Zapatero ya debería haber salido públicamente a denunciar que este posicionamiento de Rabat es del todo inaceptable para la democracia española, pero ya podemos seguir esperando, visto lo visto hasta ahora.
      La situación (que ya de por sí es chunga) sería infinitamente más fácil para Zapatero si todos fuésemos ciegos voluntarios y no quisiésemos darnos cuenta de lo que está pasando. Hemos de reconocer que hay millones de españoles dispuestos a hacerle este gran favor a nuestro pésimo gobierno, si no no se explica que se le deje hacer lo que hace. Sin embargo, como los trucos de prestidigitación de Zapatero no son infalibles en el exterior, Reino Unido, Chile y Argelia han decidido en los últimos días ejercer una política de coherencia y sentido común que supone una humillación total para la vergonzosa actuación exterior de Zapatero.
      Y ¿qué es lo que han hecho y dicho británicos, chilenos y argelinos? La mayoría de los medios de comunicación españoles han preferido seguir con la ceguera voluntaria para no tener que informar a la opinión pública española de que Londres (a través de de su embajador en Argelia) dijo el pasado 3 de septiembre que apoya “una solución que garantice la autodeterminación del pueblo saharaui a través de un referéndum justo y transparente y sin ninguna presión”. Toma ya (!). Una politica de coherencia con las resoluciones de la ONU que supone un bofetón mayúsculo para la política zapateríl enarbolada por Moratinos de abandono de las responsabilidades de España en el tema de la descolonización del Sahara Occidental. Se ve que el “buen rollito” es una cosa y lo de defender los derechos de los saharauis abandonados a su suerte por Madrid (aunque muchos aun conserven su antiguo DNI español) es otra.
      Para ayudar a que nuestro Presidente del Gobierno se cubra aun más de gloria, el Parlamento chileno pidió formalmente ese mismo día al Presidente de Chile, Sebastián Piñera, que “por razones vinculadas a la historia y las instituciones de la nación chilena, se reconozca urgentemente a la República Árabe Saharaui Democrática y que se establezcan relaciones diplomáticas entre ambos países”. Sobran los comentarios, ¿verdad? Convendrán conmigo en que toca quitarse el sombrero ante nuestros hermanos chilenos, al tiempo que deberíamos aplicarnos el cuento y exigir de nuestros diputados que asuman sus obligaciones internacionales e históricas de manera decente.
      Toca también descubrirse ante el sentido común de nuestros vecinos argelinos, que acaban de proponer formalmente a la Asamblea General de Naciones Unidas que apruebe esta semana una resolución contra la práctica de pagar rescate a grupos terroristas para liberar a rehenes, en clara alusión a las vergonzosas gestiones del Gobierno Zapatero para pagar millones de Euros a Al-Qaeda a cambio de la liberación de los dos españoles secuestrados en Mali. Resulta que los principales afectados cuando se paga rescate a los terroristas en el Magreb son los gobiernos de los países de dicha región, cuya lucha contra el terrorismo yihadista se ve seriamente dificultada de cara al futuro. “Pecata minuta” para el tándem Zapatero-Moratinos, descrédito para España internacionalmente, y exitazo de Al-Qaeda. Ya solo falta que Osama Bin Laden le conceda una medalla a Zapatero y declare que rompe relaciones con el PP español. Puede que en la sede del PSOE incluso hubiese quien se lo tomase como algo positivo. Ya me los veo venir: “fíjate, que buenos somos que nos hacen guiños hasta los ‘separatistas’ de ETA, los nacionalistas marroquíes y los terroristas de Al-Qaeda. Todos los que quieren la paz. Seguro que arrasamos en las elecciones de 2012”.
      La pena es que no solo lo estamos haciendo rematadamente mal con respecto a nuestros territorios amenazados por Marruecos, lo del Sahara Occidental y lo de hacer ricos a los terroristas de Al-Qaeda (a los que ya hemos ayudado a financiar con el rescate múltiples atentados, empezando por el del 25 de agosto en Mauritania contra un cuartel del ejército de este país en la ciudad de Nema, aunque luego decimos combatir junto a la OTAN a la misma Al-Qaeda en Afganistán), sino que también estamos hundiendo nuestra reputación internacional con respecto a nuestra otra ex-colonia en África. Sí, damas y caballeros, cuando la dictadura que dirige Teodoro Obiang en Guinea Ecuatorial ejecutó el pasado 21 de agosto a un civil y tres ex- militares condenados a la pena capital (media hora después de ser dictada su sentencia, sin esperar a una apelación, ni poder despedirse de sus familiares), el glorioso gobierno Zapatero decidió mirar para otro lado y no decir ni pío. ¿Para qué molestar al de los abrazos en las fotos con Moratinos? ¿Para qué protestar diplomáticamente ante semejante violación de los Derechos Humanos en nuestra ex-colonia? Silencio en Madrid durante toda una semana. Como recordaba Luis Ayllón el pasado 29 de agosto en su blog “Terminal cero” (del diario ABC), el silencio oficial en Madrid cuando se produjeron las ejecuciones fue “sorprendente, no sólo por los lazos con la antigua colonia, sino porque el jefe del Ejecutivo, José Luis Rodríguez Zapatero, se ha presentado como el gran abanderado para lograr hasta 2015 una moratoria en la aplicación de la pena de muerte por los países que la tienen recogida en su legislación”.
      Ya lo ven ustedes, todo pose y contradicciones. Menudo legado y liderazgo el de Zapatero. ¿Se acuerdan aun de la cita de Thomas J. Watson?
      Autor: Álvaro Ballesteros
      Fecha publicación: (07-09-2010)
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      • #4
        Les aznaristes affutent leurs couteaux ; les élections approchent.

        J'aime bien ce franquiste qui parle de l'intégrité territoriale de l'Espagne ( Sic) menacée par le Maroc.

        Venant d'un nostalgique du colonialisme , ça prête à sourir
        Dernière modification par FRIMIJA, 08 septembre 2010, 18h47.

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        • #5
          Peut être


          Il ne manque plus que l'arrivée d'Osama Bin Laden pour accorder une médaille à Zapatero et déclarer qu'il rompt les relations avec le PP espagnol. Il est possible que dans le siège du parti socialiste espagnol il y ait même quelqu'un qui le prendrait comme quelque chose de positif. Je le vois arriver : "Regarde, nous sommes tellement gentils que même les séparatistes de l'ETA, les nationalistes marocains et les terroristes d'Al-Qaida nous font un clin d'oeil". Tous ceux qui veulent la paix. C'est sûr que nous allons faire un ravage aux élections de 2012".
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #6
            Les aznaristes affutent leurs couteaux ; les élections approchent
            Les caporaux vont retrouver le sourire
            Coucher du soleil à Agadir

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            • #7
              mais ce qui s'est passé la semaine dernière a atteint des proportions surréalistes quand, depuis le Ministère des Affaires Etrangères on recommandait aux manifestants espagnols frappés par la police marocaine (qui, au Sahara se promène en civil) qu'ils acceptent la réalité de l'occupation de notre ancienne colonie et qu'ils respectent la "loi en vigueur" : celle que Rabat continue d'imposer illégalement sur notre ancien territoire, en violation du Droit International et des résolutions de l'ONU. Comment notre gouvernement, peut-il soutenir une "légalité" pareille?
              Enfin ceci c'est pour nos amis algeriens , une preuve que madrid reconnait officieusement la marocanité du sahara

              Puisque le territoire ou se trouvaient les espagnole est belle et bien le sahara

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              • #8
                BMW,

                prends un mercedes grand taxi et ramene nous une autre contribution. L'article dit autre chose.

                Pas de pollution stp
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #9
                  Je vois pas ou est le HS ! quand au torchon comme il est pas neutre il est pas digne de le commenter , Donc a ignorer

                  Commentaire


                  • #10
                    Je vois pas ou est le HS ! quand au torchon comme il est pas neutre il est pas digne de le commenter , Donc a ignorer
                    Merci. alors ignore. Laisse les gens sensés contibuer.
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #11
                      Enfin ceci c'est pour nos amis algeriens , une preuve que madrid reconnait officieusement la marocanité du sahara

                      Puisque le territoire ou se trouvaient les espagnole est belle et bien le sahara
                      déjà un: on est pas tes amis
                      deux: personne ne reconnait la marocanité du sahara sauf le maroc lui même (officiellement comme officieusement)
                      trois: si l'opposition se fait élire en Espagne, c'est mal parti pour M6 et ses sujets

                      Commentaire


                      • #12
                        la réalité est :

                        Le makhzen moribond s accroche à un zapatéro cadaverique qui sait que son élection il ne la doit qu au 11 mars.
                        Message droite ou gauche espagnole le makhzen s en fiche, pour exister et ne pas se faire humilier il faut combattre le terorisme on s en fout de ses sponsors
                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                        Commentaire


                        • #13
                          la réalité est :

                          Le makhzen moribond s accroche à un zapatéro cadaverique qui sait que son élection il ne la doit qu au 11 mars.
                          Message droite ou gauche espagnole le makhzen s en fiche, pour exister et ne pas se faire humilier il faut combattre le terorisme on s en fout de ses sponsors
                          Par contre le gvt de bouteflika péte le feu et le présidan lui-même a une santé d'enfer !!!

                          Commentaire


                          • #14
                            trois: si l'opposition se fait élire en Espagne, c'est mal parti pour M6 et ses sujets
                            tu vies sur lmarikh ou sur mars ou dans une grotte ???

                            l'espagne est depuis toujour contre les musulmans, depuis 500 ans deja, et ce que tu apeles oposition c'est elle qui controlait l'espagne et c'est elle qui a envoye les troupes espagnole pour tuer les musulmans en afganistan et en irak, et c'est justement pour sa qu'elle a perdu les dernieres election.

                            je voie pas que peut faire l'oposition au espagnole, a part des flus d'immigration et de drogue et l'arret des bateaux de peche sur les cotes marocaine et les attentats terroriste de l'ETA et d'alqaida s'elle decide biensur de ne pas travailler avec le Maroc.

                            Commentaire


                            • #15
                              Bof, Zapatero est interessant dans ce forum et pour l'Algerie pour les positions favorable au Maroc dans la question du Sahara. En d'autre terme la question du Sahara consitute pour l'Algerie et bcp d'algeriens de seul point de repere pour tout perception dans les relations internationales. Meme les marocains concernes en premiers lieux ne peuvent pas en dire autant.

                              Maladif? Certainnement. Zapatero lui est un homme qui travaille pour le compte de son pays. Sa cause, c'est la cause de l'Espagne. Non celle d'une organisation encore fantouche et non authentique comme le Polisario. Il ne pille pas son pays ,ne le trahis pas, ne vend pas ses interets vitaux pour une cause de guerre froide et perdue d'avance, ile ne fait pas perdre a son pays son temps, son argent, ses energies, ses efforts a tous les niveaux, et ne l'expose pas a des risques diplomatiques et militaire pour une cause fetiche.

                              Il faut alors apprndre de Mr Zapatero au lieu de se delecter par des articles de ce genre.

                              Commentaire

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