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Le président de l'APN refuse une commission Corruption à l’APN

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  • Le président de l'APN refuse une commission Corruption à l’APN

    Ministère de la Solidarité. Entre la gestion d’Ould Abbès et celle de son successeur, Saïd Barkat, quelle est la différence ?
    La marque des autobus !
    Il n’y aura pas de commission chargée de travailler sur la corruption à l’APN ! Relisez cette phrase à voix haute et surtout avec le ton qui sied, celui du couperet qui tombe ! Vlan ! Le président de l’Assemblée l’a confirmé aux élus du peuple dans une déclaration plombée et cachetée : «Pas de commission sur la corruption chez moi ! » Les âmes chagrines, les coupeurs de cheveux en quatre, ceux qui font des misères aux mouches (pour rester poli, bien sûr) et les adeptes de la secte «Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué» vont immédiatement en conclure que l’Assemblée ne veut surtout pas aller sur le terrain de la corruption, censure toute enquête dans ce domaine-là et épouse comme d’habitude les pratiques du régime dont elle est issue, pratiques qui peuvent se résumer ainsi : « akh'tini n’akh’tik ! » Eh bien, tout ce beau monde de râleurs professionnels, d’éternels insatisfaits se trompe lourdement. Si le président Ziari interdit la mise sur pied d’une commission Corruption à l’APN, c’est qu’il est le seul à penser à la santé de ses députés. Il sait, lui, l’énorme charge de travail que les élus doivent déjà assumer de session d’automne en session d’hiver, en passant par les harassantes sessions de printemps et d’été. La députation quatre saisons n’est pas de tout repos, beaucoup ont trop tendance à l’oublier ! Ziari, lui, ne l’oublie pas. C’est un patron d’Assemblée prévenant. N’est-il pas médecin ? Que dis-je ? Eminent professeur ? Qui mieux que lui pour savoir que l’excès de commissions est nocif pour les personnes qui en abusent ? Qui mieux qu’un toubib pour jauger des effets graves d’une telle commission sur l’équilibre nerveux des députés, sur leur taux de cholestérol, sur leur taux d’urée ou sur leur taux de créatinine ? Les élus du peuple travaillent assez comme ça pour leur ajouter du boulot avec cette satanée commission «Corruption». Déjà qu’on les paie des clopinettes pour l’énorme rendement qui est le leur… Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.

    Source : Le Soir d'Algérie
    Dernière modification par samirlechequier, 16 septembre 2010, 22h41.
    « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

  • #2
    «Pas de commission sur la corruption chez moi ! »
    pauvre algerie

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    • #3
      Une demande a été introduite par 25 députés Ziari refuse une commission d’enquête sur la corruption

      L’Assemblée populaire nationale ne veut pas de commission d’enquête sur la corruption. A une requête adressée, le mois de juillet, par plusieurs députés, le président de l’APN a dit niet.Dans une correspondance adressée, le 2 septembre dernier à Ali Brahimi, initiateur de la demande, Abdelaziz Ziari écrit : «(…) votre demande n’est pas en cohérence avec les textes constitutionnels et législatifs relatifs à la constitution de commissions d’enquête (…)» Pis, il ajoute plus loin que «le sujet de la demande doit concerner une affaire bien précise, alors que votre demande concerne un sujet général qui ne touche pas à un secteur bien précis ou une institution indiquée (…)».
      Cette décision est «un subterfuge prétendument juridique», selon un communiqué signé par le député Ali Brahimi. Selon lui, «la corruption est un délit pénal en soi et suffisamment précis et identifié». «Je note (…) que cette réponse négative a été différée jusqu’à la session d’automne pour permettre au pouvoir d’organiser sa première riposte à une initiative parlementaire qui lui avait créé une véritable gêne dans ses propres rangs».Ce refus ne pousse pas les initiateurs de la commission à baisser les bras puisque Ali Brahimi et ses camardes comptent déposer une nouvelle demande de commission. «Cette fois-ci, nous allons spécifier les affaires de corruption. Nous demanderons, par exemple, une commission d’enquête sur l’affaire Sonatrach», a-t-il indiqué dans les couloirs de l’Assemblée. Cela dit, le député de Bouira reste convaincu qu’il recevra une fin de non-recevoir. «Ils vont nous dire que l’affaire est du ressort de la justice», a-t-il prédit. Une demande signée par vingt-cinq députés a été introduite au bureau de l’Assemblée populaire nationale au mois de juillet dernier. Elle porte sur la constitution d’une commission d’enquête parlementaire sur les affaires de corruption.Selon le règlement intérieur de l’Assemblée, une proposition doit être entérinée au moins par vingt et un députés pour être acceptée par le bureau.

      Source : La Tribune online
      « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

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      • #4
        Quand la corde tourne autour de leur têtes : ils sont lucides et cohérents : la réponse de président de l'APN je la trouve raisonnable : ils vont pas mettre leur magouilles en cause.

        Mais le jour où le pays sera dirigé par un HOMME ou une FEMME l’éclipse qui emballe l'algerie depuis des année va disparaître et chacun, verra son ennemi.

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        • #5
          tout peuple a les souverains qu'ils meritent , et par voie de consequence les institutions qui l'honorent
          qu'ils en soient de nos dirigents , de nos administrations , de notre politique , de notre ideologie, de notre quotidien , nous en somme responsable
          car lorsqu'on est né citoyen d'un etat libre et membre souverain , quelque influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques , le droit d'y voter suffit pour m'imposer le devoir de m'en instruire
          Malheureusement la nature humaine cultive chez nous une attitude de survie.
          Seuls les jeunes peuvent raisonner ainsi.
          Il faut avoir vécu la révolution et avoir vu la marche pour s'accaparer tout de certains pseudo révolutionnaire pour le comprendre.

          Les authentiques révolutionnaires, ce qui ont combattus, ont tout été écartés, mis en résidence surveillée.... ou éliminés physiquement... et pour certains, c'est l'exil!

          Le peuple?
          C'était hélas une masse de moutons qui en 1962 craignaient d'être menés à l'abattoir... et pour survivre a choi de se terrer, laissant ainsi libre champs à tout ce monde qui soit en Tunisie soit dans ub château en France ont eu tout le loisir de planifier leur coup.... qu'ils ont réussi hélas!

          Pour arriver à la Commission de ou contre la Corruption!

          J''imagine la composition d'une hypthétique commission: les mêmes qui ont contribuer à asservir le peuple et se servir des coffres de l'État.
          Enfin, je ne vois pas comment on peut accuser la victime d'être son propre bourreau!
          Mon avis? Seul un mal nécessaire pour les générations future, pourrait rétablir la République de Droit: Une révolution.....
          Dernière modification par Avucic, 18 septembre 2010, 12h31.
          L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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