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Sabra et Chatila:Le massacre inoubliable

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  • Sabra et Chatila:Le massacre inoubliable

    Sabra et Chatila : Le massacre inoubliable, impardonnable des Israéliens contre des Palestiniens
    publié le lundi 18 septembre 2006

    Il y a un autre anniversaire significatif cette semaine, mais celui-ci n’attire pas la même attention que les commémorations du 11 septembre. 16-17 Septembre 1982, Sabra et Chatila...

    Au matin du samedi 18 septembre 1982, les journalistes qui sont entrés dans les camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila, près de Beyrouth au Liban ont eu une vision horrible.

    Des piles de corps jonchaient les rues poussiéreuses des camps, des fosses communes avaient été construites à la hâte et les bâtiments avaient été rasés au bulldozer sur les cadavres.

    Les personnes assassinées étaient des hommes âgés, des femmes et des enfants. Un massacre avait eu lieu. Le nombre de morts était estimé à des milliers.

    Que s’y était-il produit ? Qu’est ce qui avait pu provoquer ce type de massacre inhumain ? Qui avait fait cela ?

    C’étaient les questions qui ponctuaient le silence du matin après que le massacre se soit arrêté. On se pose encore aujourd’hui ces questions, plus de deux décennies après les événements.

    Pour essayer de répondre à ces questions, relisons une nouvelle fois l’histoire :

    Le 6 juin 1982, l’armée israélienne a envahi le Liban dans ce qu’elle a décrit comme étant des "représailles" pour la tentative d’assassinat sur l’Ambassadeur israélien à Londres, Argov, le 4 juin. L’invasion, appelée ensuite "Opération Paix en Galilée", a progressé rapidement.

    Le 18 juin 1982, Israel avait cerné les forces armées de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) dans la partie occidentale de la capitale libanaise. Un cessez-le-feu, négocié par l’envoyé des Etats-Unis, Philip Habib, a eu comme conséquence l’évacuation de l’OLP de Beyrouth le 1er septembre 1982.

    Le 11 septembre 1982, le ministre de la défense israélien, Ariel Sharon, l’architecte de l’invasion, a annoncé que "2.000 terroristes" étaient restés à l’intérieur des camps de réfugiés palestiniens autour de Beyrouth.

    Le mercredi 15 septembre, le lendemain de l’assassinat du chef de la milice phalangiste alliée des Israéliens et président élu libanais, Bashir Gemayel, l’armée israélienne a occupé Beyrouth-Ouest, "encerclant et bouclant" les camps de Sabra et Shatila, où vivaient des civils libanais et palestiniens. Israël a justifié son initiative dans Beyrouth-Ouest par un besoin de maintenir l’ordre et la stabilité après l’assassinat de Gemayel.

    Cependant, plusieurs jours plus tard, Ariel Sharon a déclaré à la Knesset, le parlement israélien : "Notre entrée dans Beyrouth-Ouest était destinée à faire la guerre contre l’infrastructure laissée par les terroristes."

    L’armée israélienne a alors désarmé, dans la mesure où elle le pouvait, les milices anti-israéliennes à Beyrouth-Ouest, alors qu’elle a laissé ses armes aux milices phalangistes chrétiennes de Beyrouth.

    A midi le 15 septembre 1982, les camps de réfugiés étaient complètement encerclés par des tanks et des soldats israéliens, qui ont installé des points de contrôle aux endroits stratégiques et aux carrefours autour des camps afin d’en surveiller toutes les entrées et les sorties.

    En fin d’après-midi et toute la soirée, les camps ont été bombardés.

    Le jeudi 16 septembre 1982 vers midi, une unité d’environ 150 Phalangistes armés (c’est ce que prétend Israël) est entrée dans le premier camp.

    Pendant les 40 heures suivantes, les membres de la milice phalangiste ont violé, tué et blessé un grand nombre de civils non-armés, dont la plupart étaient des enfants, des femmes et des personnes âgées à l’intérieur des camps encerclés et bouclés. L’estimation des victimes varie entre 700 (chiffre officiel des Israéliens) et 3.500.

    Les victimes et les survivants des massacres n’ont jamais eu droit à une enquête officielle sur la tragédie, puisque la Commission Kahan d’Israel n’avait pas de mandat juridique et n’avait pas de pouvoir judiciaire.

    Ce massacre est considéré comme le seul massacre sanglant de l’armée terroriste israélienne et il revendique la participation d’alliés, mais on peut penser qu’il ne sera pas le dernier. En particulier, après ce que nous avons vu dans la dernière guerre israélienne contre le Liban.

    Si les Américains ont préparé avec agitation l’anniversaire du 11 septembre, beaucoup d’habitants du camp de Chatila et de son voisin plus petit, Sabra, ont redouté la date importante de samedi qui marquera 24 ans de souffrance et d’enquête futile de la justice.

    Pour les Palestiniens, ce sera certainement un rappel bien loin des cérémonies de New York et de Washington où les responsables américains ont dit au monde que leur fameuse puissance militaire allait s’assurer que la justice pour les victimes triompherait du mal quel qu’en soit le prix.

    Les survivants palestiniens des massacres de 1982 se réuniront probablement pour entendre des discours à l’endroit où leurs proches ont été enterrés dans des fosses communes : une parcelle vide et poussiéreux signalée par un pathétique monument provisoire en parpaings.

    Mais, le monde n’observera pas une minute de silence pour les victimes innocentes de Sabra et Chatila, ni de reportages au sujet des survivants et de leur existence malheureuse sur les lieux de ce crime horrible.
    Source: site france-palestine
    Anakin

  • #2
    Un jour viendera ou les israeliens payront tres chér ce qu'ils ont fait , les juifs passeront des moments vraiment difficile el ils le regretteront amérment

    Ca sera la fin !!!!
    "La mathématique est la reine des Sciences, mais la théorie des nombres est la reine des sciences mathématiques."

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    • #3

      صبرا – فتاة نائمة
      رحل الرجال إلى الرحيل
      و الحرب نامت ليلتين صغيرتين
      و قدمت بيروت طاعتها وصارت عاصمة
      ليل طويل
      يرصد الأحلام في صبرا
      وصبرا نائمة
      صبرا- بقايا الكف في جسد قتيل
      ودّعت فرسانها و زمانها
      و استسلمت للنوم من تعب، و من عرب رموها خلفهم

      صبرا- و ما ينسى الجنود الراحلون من الجليل
      لا تشتري و تبيع إلا صمتها
      من أجل ورد للضفيرة
      صبرا- تغني نصفها المفقود بين البحر و الحرب الأخيرة
      لمَ ترحلونَ
      و تتركون نساءكم في بطن ليلٍ من حديد؟
      لمَ ترحلونْ
      و تعلّقون مساءكم
      فوق المخيم والنشيد؟

      صبرا- تغطي صدرها العاري بأغنية الوداع
      و تعد كفيها وتخطئ
      حين لا تجد الذراع
      كم مرة ستسافرونْ
      و إلى متى ستسافرونْ
      و لأي حلم؟
      و إذا رجعتم ذات يومْ
      فلأي منفى ترجعون
      لأي منفى ترجعون؟
      صبرا – تمزق صدرها المكشوف
      كم مرةْ
      تتفتح الزهرةْ
      كم مرةْ
      ستسافر الثورة؟

      صبرا – تخاف الليل. تسنده لركبتها
      تغطيه بكحل عيونها. تبكي لتلهيه
      رحلوا وما قالوا
      شيئا عن العودة
      ذبلوا وما مالوا
      عن جمرة الوردة
      عادوا وما عادوا
      لبداية الرحلة
      و العمر أولاد
      هربوا من القبلة

      لا، ليس لي منفى
      لأقول: لي وطن
      الله، يا زمن
      صبرا تنام. وخنجر الفاشي يصحو
      صبرا تنادي... من تنادي
      كل هذا الليل لي، و الليل ملح
      يقطع الفاشي ثدييها – يقل الليل
      يرقص حول خنجره ويلعقه
      يغني لانتصار الأرز موالا
      و يمحو
      في هدوء... في هدوء لحمها عن عظمها
      و يمدد الأعضاء فوق الطاولة
      و يواصل الفاشي رقصته و يضحك للعيون المائلة
      و يجن من فرح و صبرا لم تعد جسدا
      يركبها كما شاءت غرائزه، و تصنعها مشيئته
      و يسرق خاتما من لحمها، و يعود من دمها إلى مرآته
      و يكون بحر
      و يكون بر
      و يكون غيم
      و يكون دم
      و يكون ليل
      و يكون قتل
      و يكون سبت
      و تكون صبرا

      صبرا – تقاطع شارعين على جسد
      صبرا نزول الروح في حجر
      و صبرا – لا أحد
      صبرا – هوية عصرنا إلى الأبد

      محمود درويش
      "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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      • #4
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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        • #5
          Je vous rappelle que les phalanges libanaises sont un parti politique legal au Liban et qui participe au gouvernement. Le phalangiste qui a commis ce massacre, Elie Hobeika fut ministre au Liban durant la tutelle syrienne. Si vous voulez punir les responsables de ce massacre, commencez par demander au gouvernement libanais de juger les milices chretiennes et ce sera un retour a la guerre civile. Et puis, je ne vois pas pourquoi on ne parle que de ce massacre, ce n'etait ni le premier, ni le dernier ni le pire de la guerre civile. OU plutot je sais pourquoi, parce que c'est le seul ou Israel peut etre implique. Ce qui me confirme dans mon idee que la majorite des "pro palestiniens" n'ont en fait, rien a foutre de la souffrance des palestiniens ou des arabes. Ce qui les motive, c'est uniquement la haine d'Israel. Parce que sinon, ils parleraient de l'autre massacre de Sabra et Shatila, celui commis par les milices chiites des annees apres le depart des israeliens. Ou bien du massacre des chretiens du Chouf par les milices druzes, ou du massacre des chretiens par les palestiniens a Damour, et la liste des massacres est longue.

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          • #6
            AAnis le blidéen,

            Si tu as envie de parler d'autres massacres, comme celui des papillons crépusculaires sur l'île de Pâques ou des grenouilles mauves sur les anneaux de Saturne, consacre leur des topics, mais ne vient pas noyer le poisson comme à ton accoutumée et tenter de souiller cette commémoration.

            _
            "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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            • #7
              Comme d'hab , AAnis jsutifie les crimes ! patati patata ...... tu ne fais que t'enfoncer

              Si tu t'en fou pour ce crime dis le haut et fort au lieu de nous sortire des histoires , des tas d'histoires ! on veut tout ce qui est direct <--------- pas de zig zag

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              • #8
                pour info éli hobeika c'est fais assassiné depuis longtemps,et c'est seulement le chef du parti des forces libanaise qui à fait de la taul(15ans)
                et tout les autre chef de guerre ont été gracier.

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