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Ce n'est pas le classement de Shangaï mais celui du Times Higher Education.
Classement 2008 pour l'Université des E.A.U, 401e place.
Classement 2009, 374e place
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La plus ancienne université du pays a été classée pour la première fois parmi les 400 premiers établissements d’enseignement supérieur du monde.
L’Université des E.A.U., à Al Ain, partage la 374e place aux classements publiés par le Times Higher Education, journal londonien, et par le cabinet d’experts en carrière et éducation, QS.
L’année dernière, l’Université des E.A.U., fondée en 1976 et la plus ancienne université fédérale du pays, se classait entre 401e et 500e dans cette même liste. Les établissements qui n’apparaissent pas dans les 400 premiers sont groupés ensemble et non pas classés individuellement.
Cheikh Nahyan bin Mubarak, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et président honoraire de l’Université des E.A.U., a attribué cette meilleure position dans le classement à un accroissement de la recherche dans l’établissement. Cela représente la chose la plus importante pour une université, a-t-il dit, nous avons l’intention de grimper des échelons chaque année. »
Les seules autres universités de pays arabes du Moyen-Orient à figurer dans les 400 premiers sont l’Université Roi Saoud (247e) et l’Université Roi Fahd pour le pétrole et les minéraux (266e), toutes les deux en Arabie saoudite, et l’Université américaine de Beyrouth (351e).
En 374e position conjointe avec l’Université des E.A.U., figurent l’Université écossaise Heriot-Watt, qui a une antenne à Dubaï, et l’Université sud-coréenne Kyung Hee.
Le barème de notation, selon lequel les E.A.U. ont obtenu 37,5 points sur un total possible de 100, est basé pour 40 pour cent sur les critiques d’universitaires.
Dix pour cent de la note est accordée selon les résultats d’un sondage auprès des employeurs, 20 pour cent selon le ratio étudiants-faculté, 20 pour cent selon le nombre de fois que les travaux de recherche sont cités et, enfin, selon les proportions de facultés internationales et d’étudiants étrangers, à raison de cinq pour cent chacune.
Phil Baty, éditeur délégué du Times Higher Education, a déclaré : « Tout établissement qui se dirige vers un classement [dans les 200 premiers] est dans la bonne voie ».
M. Rory Hume, doyen de l’Université des E.A.U., a dit que le meilleur classement de l’établissement indiquait que le monde commençait à s’intéresser à ce qui s’y passait. «
Il est confortant d’obtenir cette reconnaissance », a-t-il dit, ajoutant que cette position améliorée s’expliquait par « un investissement axé sur les individus et les programmes ».
M. Hume a ajouté que l’université était, selon lui, sur la bonne voie pour se classer parmi les 100 premiers établissements du monde d’ici cinq ans, ce qui figure parmi ses objectifs déclarés.
De plus, elle travaille actuellement à la mise en œuvre d’un grand programme de réforme. L’année prochaine, elle deviendra la première université fédérale du pays à offrir des programmes de doctorat. On a enregistré des « candidatures phénoménales » a dit M. Hume.
On prévoit également d’augmenter considérablement les travaux de recherche en acceptant un nombre accru de doctorants chaque année et en employant des personnels universitaires de renom international. L’année prochaine, l’université s’installera sur un nouveau campus, où toutes les fonctions seront consolidées. Actuellement, les départements de l’université sont dispersés sur plusieurs sites.
The National
Classement 2008 pour l'Université des E.A.U, 401e place.
Classement 2009, 374e place
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La plus ancienne université du pays a été classée pour la première fois parmi les 400 premiers établissements d’enseignement supérieur du monde.
L’Université des E.A.U., à Al Ain, partage la 374e place aux classements publiés par le Times Higher Education, journal londonien, et par le cabinet d’experts en carrière et éducation, QS.
L’année dernière, l’Université des E.A.U., fondée en 1976 et la plus ancienne université fédérale du pays, se classait entre 401e et 500e dans cette même liste. Les établissements qui n’apparaissent pas dans les 400 premiers sont groupés ensemble et non pas classés individuellement.
Cheikh Nahyan bin Mubarak, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et président honoraire de l’Université des E.A.U., a attribué cette meilleure position dans le classement à un accroissement de la recherche dans l’établissement. Cela représente la chose la plus importante pour une université, a-t-il dit, nous avons l’intention de grimper des échelons chaque année. »
Les seules autres universités de pays arabes du Moyen-Orient à figurer dans les 400 premiers sont l’Université Roi Saoud (247e) et l’Université Roi Fahd pour le pétrole et les minéraux (266e), toutes les deux en Arabie saoudite, et l’Université américaine de Beyrouth (351e).
En 374e position conjointe avec l’Université des E.A.U., figurent l’Université écossaise Heriot-Watt, qui a une antenne à Dubaï, et l’Université sud-coréenne Kyung Hee.
Le barème de notation, selon lequel les E.A.U. ont obtenu 37,5 points sur un total possible de 100, est basé pour 40 pour cent sur les critiques d’universitaires.
Dix pour cent de la note est accordée selon les résultats d’un sondage auprès des employeurs, 20 pour cent selon le ratio étudiants-faculté, 20 pour cent selon le nombre de fois que les travaux de recherche sont cités et, enfin, selon les proportions de facultés internationales et d’étudiants étrangers, à raison de cinq pour cent chacune.
Phil Baty, éditeur délégué du Times Higher Education, a déclaré : « Tout établissement qui se dirige vers un classement [dans les 200 premiers] est dans la bonne voie ».
M. Rory Hume, doyen de l’Université des E.A.U., a dit que le meilleur classement de l’établissement indiquait que le monde commençait à s’intéresser à ce qui s’y passait. «
Il est confortant d’obtenir cette reconnaissance », a-t-il dit, ajoutant que cette position améliorée s’expliquait par « un investissement axé sur les individus et les programmes ».
M. Hume a ajouté que l’université était, selon lui, sur la bonne voie pour se classer parmi les 100 premiers établissements du monde d’ici cinq ans, ce qui figure parmi ses objectifs déclarés.
De plus, elle travaille actuellement à la mise en œuvre d’un grand programme de réforme. L’année prochaine, elle deviendra la première université fédérale du pays à offrir des programmes de doctorat. On a enregistré des « candidatures phénoménales » a dit M. Hume.
On prévoit également d’augmenter considérablement les travaux de recherche en acceptant un nombre accru de doctorants chaque année et en employant des personnels universitaires de renom international. L’année prochaine, l’université s’installera sur un nouveau campus, où toutes les fonctions seront consolidées. Actuellement, les départements de l’université sont dispersés sur plusieurs sites.
The National