Les potentialités de l'Algérie sont énormes et les réformes entreprises par le gouvernement algérien ne peuvent qu'être favorables aux investisseurs français. Ces derniers voient ce marché une porte sur l'Afrique. Les industriels français soulignent leur volonté de dépasser les simples relations commerciales en tissant des relations de partenariat et d'investissements, mais rien n'est fait jusque-là sur le terrain.
La France n'a pas réussi à établir des relations économiques privilégiées avec l'Algérie, en dépit des possibilités et des opportunités existantes. Les deux pays ont beaucoup de mal à trouver un terrain d'entente. Le différend entre les deux capitales est plus profond que les mesures de la LFC 2009. Alger reproche en effet aux groupes français d'investir dans les pays voisins, la Tunisie et le Maroc et de venir vendre en Algérie, notamment dans le domaine de l'automobile, de l'agroalimentaire et du médicament.
Les groupes français vendent davantage leurs produits en Algérie, mais préfèrent investir dans les pays voisins, comme l'a fait Renault et certains groupes pharmaceutiques. En plus, ces groupes se permettent de faire des critiques sur les mesures algériennes visant à protéger notre économie et à réduire la facture d'importation.
Pour inciter les groupes français à investir dans le pays, le gouvernement a pris depuis fin 2008 une série de mesures visant à réduire les importations et le transfert des devises vers l'étranger. Désormais, l'Algérie exige des contreparties, tels que le transfert de technologie à l'ouverture de son marché aux produits étrangers.
La France n'a pas réussi à établir des relations économiques privilégiées avec l'Algérie, en dépit des possibilités et des opportunités existantes. Les deux pays ont beaucoup de mal à trouver un terrain d'entente. Le différend entre les deux capitales est plus profond que les mesures de la LFC 2009. Alger reproche en effet aux groupes français d'investir dans les pays voisins, la Tunisie et le Maroc et de venir vendre en Algérie, notamment dans le domaine de l'automobile, de l'agroalimentaire et du médicament.
Les groupes français vendent davantage leurs produits en Algérie, mais préfèrent investir dans les pays voisins, comme l'a fait Renault et certains groupes pharmaceutiques. En plus, ces groupes se permettent de faire des critiques sur les mesures algériennes visant à protéger notre économie et à réduire la facture d'importation.
Pour inciter les groupes français à investir dans le pays, le gouvernement a pris depuis fin 2008 une série de mesures visant à réduire les importations et le transfert des devises vers l'étranger. Désormais, l'Algérie exige des contreparties, tels que le transfert de technologie à l'ouverture de son marché aux produits étrangers.
Nassima B. 19-09-2010
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