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Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a réclamé dimanche la libération par les Etats-Unis de huit Iraniens détenus selon lui illégalement, et il a noté que son pays avait fait un geste humanitaire en relâchant le 14 septembre une Américaine qu'il détenait depuis juillet 2009.
Ahmadinejad, arrivé dimanche à New York pour assister à l'Assemblée générale des Nations unies, a aussi minimisé l'impact des sanctions imposées à l'Iran par la communauté internationale en raison de ses activités nucléaires.
Sarah Shourd, qui était détenue en Iran avec deux autres Américains pour espionnage présumé, est arrivée dimanche aux Etats-Unis et elle devait tenir dimanche une conférence de presse à New York.
Ahmadinejad, dont les propos étaient traduits par un interprète, a déclaré dans une interview à la chaîne de télévision ABC que la libération de la jeune femme constituait un "énorme geste humanitaire".
"De sorte que je crois qu'il ne serait pas déplacé de demander au gouvernement américain de faire un geste humanitaire en libérant les Iraniens arrêtés illégalement et détenus ici aux Etats-Unis", a dit Ahmadinejad en parlant de huit Iraniens dont il n'a pas donné les noms.
Ahmadinejad figure parmi les dirigeants étrangers qui ont eu un entretien séparé avec le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon.
Un communiqué de l'Onu indique que Ban a "souligné l'importance du respect des droits civils et politiques fondamentaux", sans citer de cas précis.
Le communiqué ajoute que Ban a dit espérer que l'Iran participerait "de manière constructive" à la sortie de l'impasse nucléaire dans laquelle elle se trouve avec les Occidentaux. Les grandes puissances doivent discuter de cette question à New York dans les jours qui viennent, mais aucune réunion avec l'Iran n'est prévue.
Le président iranien s'est par ailleurs interrogé sur les raisons pour lesquelles le sort de Sakineh Mohammadi Ashtiani, une Iranienne reconnue coupable d'adultère, "serait brusquement devenu si important pour les autorités américaines".
Les autorités iraniennes ont suspendu ce mois-ci son exécution par lapidation.
Ahmadinejad a contesté qu'elle ait de fait été condamnée à la lapidation et a affirmé que son cas avait été utilisé à des fins de "propagande" contre l'Iran.
source : Reuters
Ahmadinejad, arrivé dimanche à New York pour assister à l'Assemblée générale des Nations unies, a aussi minimisé l'impact des sanctions imposées à l'Iran par la communauté internationale en raison de ses activités nucléaires.
Sarah Shourd, qui était détenue en Iran avec deux autres Américains pour espionnage présumé, est arrivée dimanche aux Etats-Unis et elle devait tenir dimanche une conférence de presse à New York.
Ahmadinejad, dont les propos étaient traduits par un interprète, a déclaré dans une interview à la chaîne de télévision ABC que la libération de la jeune femme constituait un "énorme geste humanitaire".
"De sorte que je crois qu'il ne serait pas déplacé de demander au gouvernement américain de faire un geste humanitaire en libérant les Iraniens arrêtés illégalement et détenus ici aux Etats-Unis", a dit Ahmadinejad en parlant de huit Iraniens dont il n'a pas donné les noms.
Ahmadinejad figure parmi les dirigeants étrangers qui ont eu un entretien séparé avec le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon.
Un communiqué de l'Onu indique que Ban a "souligné l'importance du respect des droits civils et politiques fondamentaux", sans citer de cas précis.
Le communiqué ajoute que Ban a dit espérer que l'Iran participerait "de manière constructive" à la sortie de l'impasse nucléaire dans laquelle elle se trouve avec les Occidentaux. Les grandes puissances doivent discuter de cette question à New York dans les jours qui viennent, mais aucune réunion avec l'Iran n'est prévue.
Le président iranien s'est par ailleurs interrogé sur les raisons pour lesquelles le sort de Sakineh Mohammadi Ashtiani, une Iranienne reconnue coupable d'adultère, "serait brusquement devenu si important pour les autorités américaines".
Les autorités iraniennes ont suspendu ce mois-ci son exécution par lapidation.
Ahmadinejad a contesté qu'elle ait de fait été condamnée à la lapidation et a affirmé que son cas avait été utilisé à des fins de "propagande" contre l'Iran.
source : Reuters
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