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Deux attentats à la voiture piégée ont fait au moins 12 morts et des dizaines de blessés dimanche à Bagdad.
Quelques heures plus tard, à Falloudja, à 50 km à l'ouest de la capitale, un autre attentat à la voiture piégée visant une patrouille de l'armée a fait six morts, dont trois civils, et 11 blessés, ont annoncé la police et les hôpitaux.
Le premier des attentats à Bagdad, contre un bâtiment du ministère de la Sécurité nationale, a fait au moins six morts et 15 blessés, selon le commandement central des services de sécurité de la capitale irakienne.
Des sources au ministère de l'Intérieur font état, elles, de 17 ou 19 morts et d'une cinquantaine de blessés.
Cinq minutes après le premier attentat, une autre voiture piégée explosait près d'une agence de l'opérateur de téléphonie mobile Asiacell, appartenant en partie à la société qatarie Qatar Telecommunications, faisant six morts et 51 blessés. La défense civile, elle, fait état de dix morts dans ce deuxième attentat.
Au ministère de la Santé, on avance un bilan de 14 morts et 71 blessés pour les deux explosions de Bagdad.
"Al Qaïda est derrière cette attaque", a dit le général Ahmed al Saïdi, commandant de l'armée irakienne dans l'ouest de la capitale, en se rendant sur les lieux de l'attentat devant les bureaux d'Asiacell.
Un responsable du ministère de la Sécurité nationale a précisé que ses bureaux avaient été visés par le premier attentat sur Aden Square, dans le nord-ouest de la capitale.
"La voiture piégée visait notre immeuble, qui a été endommagé. Nous avons perdu un membre du personnel", a-t-il dit.
Un photographe de Reuters sur place a rapporté que le bâtiment utilisé par le ministère avait été détruit par l'explosion. Quatre maisons du voisinage ont été gravement endommagées et les services de secours ont précisé avoir trouvé un cadavre dans les décombres.
L'armée américaine a officiellement mis fin le 31 août à sa mission de combat en Irak, sept ans et demi après l'invasion de mars 2003.
Le niveau des violences a fortement diminué dans le pays au cours des trois dernières années mais les insurgés sunnites, en lutte contre les nouvelles autorités, à dominante chiite, ont toujours la capacité de commettre des attentats dévastateurs.
source : Reuters
Quelques heures plus tard, à Falloudja, à 50 km à l'ouest de la capitale, un autre attentat à la voiture piégée visant une patrouille de l'armée a fait six morts, dont trois civils, et 11 blessés, ont annoncé la police et les hôpitaux.
Le premier des attentats à Bagdad, contre un bâtiment du ministère de la Sécurité nationale, a fait au moins six morts et 15 blessés, selon le commandement central des services de sécurité de la capitale irakienne.
Des sources au ministère de l'Intérieur font état, elles, de 17 ou 19 morts et d'une cinquantaine de blessés.
Cinq minutes après le premier attentat, une autre voiture piégée explosait près d'une agence de l'opérateur de téléphonie mobile Asiacell, appartenant en partie à la société qatarie Qatar Telecommunications, faisant six morts et 51 blessés. La défense civile, elle, fait état de dix morts dans ce deuxième attentat.
Au ministère de la Santé, on avance un bilan de 14 morts et 71 blessés pour les deux explosions de Bagdad.
"Al Qaïda est derrière cette attaque", a dit le général Ahmed al Saïdi, commandant de l'armée irakienne dans l'ouest de la capitale, en se rendant sur les lieux de l'attentat devant les bureaux d'Asiacell.
Un responsable du ministère de la Sécurité nationale a précisé que ses bureaux avaient été visés par le premier attentat sur Aden Square, dans le nord-ouest de la capitale.
"La voiture piégée visait notre immeuble, qui a été endommagé. Nous avons perdu un membre du personnel", a-t-il dit.
Un photographe de Reuters sur place a rapporté que le bâtiment utilisé par le ministère avait été détruit par l'explosion. Quatre maisons du voisinage ont été gravement endommagées et les services de secours ont précisé avoir trouvé un cadavre dans les décombres.
L'armée américaine a officiellement mis fin le 31 août à sa mission de combat en Irak, sept ans et demi après l'invasion de mars 2003.
Le niveau des violences a fortement diminué dans le pays au cours des trois dernières années mais les insurgés sunnites, en lutte contre les nouvelles autorités, à dominante chiite, ont toujours la capacité de commettre des attentats dévastateurs.
source : Reuters