20 000 Africains y séjournent chaque année
Alger, plaque tournante de la migration africaine
Chaque année, plus de 30 000 ressortissants africains gagnent clandestinement les frontières du Sud du pays, à la recherche d'un moyen pour regagner l’Europe.
Ils viennent de plusieurs pays africains, Mali, Cameroun, Togo, Côte d’Ivoire, Sénégal, Niger, Mauritanie, Maroc, etc. Aujourd’hui, l’Algérie est devenue une véritable passerelle pour ces africains égarés. Le risque est grand pour ces derniers. En effet, plusieurs d’entre eux ont eu la malchance d’être arrêtés par les éléments de la Gendarmerie nationale, et refoulés vers leurs pays d’origine.
D’autres ont eu la chance de tromper la vigilance des gendarmes, et sont parvenus à regagner Alger, pour s’y installer quelque temps puisque leur but est de regagner le vieux continent, devenu aujourd’hui le rêve de ces Africains. Un véritable casse-tête pour les gendarmes, qui n’arrivent pas à arrêter ces dizaines de milliers de clandestins africains. Selon les statistiques de la GN, seul 1 sur 3 des clandestins sont refoulés vers leurs pays. A partir de ce constat, chaque année près de
20 000 Africains s’installent en Algérie. Sans argent, ni même de quoi se nourrir, la plupart de ces Africains n’hésitent pas à vendre de la drogue, la résine de cannabis, pour pouvoir financer le voyage qui leur permettra de regagner l’autre rive de la Méditerranée. Selon des sources sécuritaires, plus de 200 Africains sont chaque année arrêtés pour trafic de drogue, de faux documents, notamment de faux passeports. Des réseaux sont constitués à Alger surtout, mais également à travers plusieurs villes du pays.
Le jour DZ
Alger, plaque tournante de la migration africaine
Chaque année, plus de 30 000 ressortissants africains gagnent clandestinement les frontières du Sud du pays, à la recherche d'un moyen pour regagner l’Europe.
Ils viennent de plusieurs pays africains, Mali, Cameroun, Togo, Côte d’Ivoire, Sénégal, Niger, Mauritanie, Maroc, etc. Aujourd’hui, l’Algérie est devenue une véritable passerelle pour ces africains égarés. Le risque est grand pour ces derniers. En effet, plusieurs d’entre eux ont eu la malchance d’être arrêtés par les éléments de la Gendarmerie nationale, et refoulés vers leurs pays d’origine.
D’autres ont eu la chance de tromper la vigilance des gendarmes, et sont parvenus à regagner Alger, pour s’y installer quelque temps puisque leur but est de regagner le vieux continent, devenu aujourd’hui le rêve de ces Africains. Un véritable casse-tête pour les gendarmes, qui n’arrivent pas à arrêter ces dizaines de milliers de clandestins africains. Selon les statistiques de la GN, seul 1 sur 3 des clandestins sont refoulés vers leurs pays. A partir de ce constat, chaque année près de
20 000 Africains s’installent en Algérie. Sans argent, ni même de quoi se nourrir, la plupart de ces Africains n’hésitent pas à vendre de la drogue, la résine de cannabis, pour pouvoir financer le voyage qui leur permettra de regagner l’autre rive de la Méditerranée. Selon des sources sécuritaires, plus de 200 Africains sont chaque année arrêtés pour trafic de drogue, de faux documents, notamment de faux passeports. Des réseaux sont constitués à Alger surtout, mais également à travers plusieurs villes du pays.
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