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Révision de la constitution

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  • Révision de la constitution

    Ce qu'on attendait arrivera finalement ..........

    Belkhadem l'a déclaré durant sa conférence que la révision de la constitution aura lieu tôt ou tard , le mois prochain ou l'année prochaine , il a insisté sur la question de loi électorale....pour ne pas dire qu'ils ont déjà décidé quoi faire pour permettre à Boutef d'imiter son voisin le président eternel Zine Al Abidine , reste à préparer l'opinion à ce genre d'action stalinienne qui aura lieu .....
    On parlera encore de régions .......désolé....Ce n'est pas le annabi le djidjli qui dira non , pas l'oranais , surtout pas l'algérois.......
    On me dira qu'il mérite à cause de ceci et cela , je leur dirais quand on respecte pas ses engagements , à la base les gens ne respecteront pas les lois , la justice , les biens , les personnes .......
    Si cela arrivera vraiment c'est une trahison car il y'a le sentiment quand on lance une rumeur , puis un officiel l'a déclare ca sera le passage à l'acte ...........

  • #2
    Matoub I, j'ai compris le fait qu'ils veulent changer la constitution, mais j'ai pas compris ton analyse, tu peux reformuler ?

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    • #3
      je parle de la constitution qui ne permet que deux mandats présidentiels successifs.....
      Dans le cas ou ce texte serait révisé , Boutef pourra briguer un troisième mandat .... un quatrième .....
      J'espère que j'ai mieux expliqué ....
      Et celui quil'a déclaré est celui-ci :

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      • #4
        les regions et pourquoipas!!!!!

        moi je pense que les régions ont leur points forts comme ils ont les moins bons, mais pour cela il suffit de garder nos fameuses wilaya comme contre poids, comme ça ce passe en france(région-départements), mais c'est pas les vrais enjeux d'une révision d'une constitution, car l'éssentiel est la consécration des libertés civiques et politiques(liberté d'expression, .........), et consacrer une décentralisation, par l'octrois de plus de libertés au collectivités territoriales pour la consécration de la démocratie tant attendues.
        je pourrais vous en parler des heures et des heures mais la je doit céder ma place au autres.
        je sais quelle pense que nous sommes sauvées de l'Algerie,mais sauvées dequoi?J'était bien la ba, j'etait moi,j'était entre mes mains, dans mon visage, prés de mon corp,avec ma voix,j'était au coeur d'une vie...

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        • #5
          Merci Matoub I. J'avais compris tout ça.
          C'est vrai que la constitution mérite une réforme. Je suis plutôt pour le modèle américain...
          Et le fait de revoir le nombre de mandat relève, en effet, de l'opportunisme pure et simple. Faut pas laisser faire ça. Je trouve que deux mandats suffisent largement... au delà de Boutef', je parle d'un modèle...

          Mais Matoub si tu permets, ce que je n'ai pas compris c'est ça en fait :
          On parlera encore de régions .......désolé....Ce n'est pas le annabi le djidjli qui dira non , pas l'oranais , surtout pas l'algérois.......
          On me dira qu'il mérite à cause de ceci et cela , je leur dirais quand on respecte pas ses engagements , à la base les gens ne respecteront pas les lois , la justice , les biens , les personnes .......
          Peux tu m'expliquer le fond de ta pensée ?

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          • #6
            Revision Constitutionnelle

            Les propos de Mr Abdelaziz BELKHADEM, secrétaire général du FLN, au forum de l'ENTV, n'engage que sa personne et le parti qu'il dirige.En tant que tel , à l'instar de tous les partis agrées, il a tout à fait le droit d'exposer les propositions de sa formation politique.
            Quant au président de la république, qui est au regard de cette même constitution, seul garant des institutions républicaines, il est seul habilité à proposer une révision constitutionnelle, soit par voie référendaire, soit par voie parlementaire.

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            • #7
              !

              et si on rédigé notre constitution!!!!
              je sais quelle pense que nous sommes sauvées de l'Algerie,mais sauvées dequoi?J'était bien la ba, j'etait moi,j'était entre mes mains, dans mon visage, prés de mon corp,avec ma voix,j'était au coeur d'une vie...

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              • #8
                Préambule

                Le peuple algerien proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme .



                Article 1er :

                L algerie est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.


                Titre I - De la Souveraineté


                Article 2 :

                La langue de la République est l arabe,thamazight et le francais.

                L'hymne national est min dhibalina .

                La devise de la République est Liberté, solidarite, travail.

                Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.


                Article 3 :

                La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum.

                Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.

                Le suffrage peut être direct ou indirect dans les conditions prévues par la Constitution. Il est toujours universel, égal et secret.

                Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux algeriens majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques.

                La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives.


                Article 4 :

                Les partis et groupements politiques concourent à l'expression du suffrage,a l exeption des partis instrumentalisant les religions monotheistes ou attentant aux droits des femmes. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie.

                Ils contribuent à la mise en oeuvre du principe énoncé au dernier alinéa de l'article 3 dans les conditions déterminées par la loi.


                Titre II - Le Président de la République


                Article 5 :

                Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat.

                Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.


                Article 6 :

                Le Président de la République est élu pour un mandat unique de six ans au suffrage universel direct.

                Les modalités d'application du présent article sont fixées par une loi organique.

                Article 7 :

                Le Président de la République est élu à la majorité absolue des suffrages exprimés. Si celle-ci n'est pas obtenue au premier tour de scrutin, il est procédé, le quatorzième jour suivant, à un second tour. Seuls peuvent s'y présenter les deux candidats qui, le cas échéant après retrait de candidats plus favorisés, se trouvent avoir recueilli le plus grand nombre de suffrages au premier tour.

                Le scrutin est ouvert sur convocation du Gouvernement.

                L'élection du nouveau président a lieu vingt jours au moins et trente-cinq jours au plus avant l'expiration des pouvoirs du président en exercice.

                En cas de vacance de la Présidence de la République pour quelque cause que ce soit, ou d'empêchement constaté par le Conseil Constitutionnel saisi par le Gouvernement et statuant à la majorité absolue de ses membres, les fonctions du Président de la République, à l'exception de celles prévues aux articles 11 et 12 ci-dessous, sont provisoirement exercées par le Président du Sénat et, si celui-ci est à son tour empêché d'exercer ces fonctions, par le Gouvernement.

                En cas de vacance ou lorsque l'empêchement est déclaré définitif par le Conseil Constitutionnel, le scrutin pour l'élection du nouveau président a lieu, sauf cas de force majeure constaté par le Conseil Constitutionnel, vingt jours au moins et trente-cinq jours au plus après l'ouverture de la vacance ou la déclaration du caractère définitif de l'empêchement.

                Si, dans les sept jours précédant la date limite du dépôt des présentations de candidatures, une des personnes ayant, moins de trente jours avant cette date, annoncé publiquement sa décision d'être candidate décède ou se trouve empêchée, le Conseil Constitutionnel peut décider de reporter l'élection.

                Si, avant le premier tour, un des candidats décède ou se trouve empêché, le Conseil Constitutionnel prononce le report de l'élection.

                En cas de décès ou d'empêchement de l'un des deux candidats les plus favorisés au premier tour avant les retraits éventuels, le Conseil Constitutionnel déclare qu'il doit être procédé de nouveau à l'ensemble des opérations électorales .


                Article 8 :

                Le Président de la République nomme le Premier Ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.

                Sur la proposition du Premier Ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.


                Article 9 :

                Le Président de la République préside le Conseil des Ministres.


                Article 10 :

                Le Président de la République promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi définitivement adoptée.

                Il peut, avant l'expiration de ce délai, demander au Parlement une nouvelle délibération de la loi ou de certains de ses articles. Cette nouvelle délibération ne peut être refusée.

                Article 11 :

                Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal Officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d'un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions.

                Lorsque le référendum est organisé sur proposition du Gouvernement, celui-ci fait, devant chaque assemblée, une déclaration qui est suivie d'un débat.

                Lorsque le référendum a conclu à l'adoption du projet de loi, le Président de la République promulgue la loi dans les quinze jours qui suivent la proclamation des résultats de la consultation.

                Article 12 :

                Le Président de la République peut, après consultation du Premier Ministre et des Présidents des assemblées, prononcer la dissolution de l'Assemblée Nationale.

                Les élections générales ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution.

                L'Assemblée Nationale se réunit de plein droit le deuxième lundi qui suit son élection. Si cette réunion a lieu en dehors de la période prévue pour la session ordinaire, une session est ouverte de droit pour une durée de quinze jours.

                Il ne peut être procédé à une nouvelle dissolution dans l'année qui suit ces élections.

                Article 13 :

                Le Président de la République signe les ordonnances et les décrets délibérés en Conseil des Ministres.

                Il nomme aux emplois civils et militaires de l'Etat.

                Les conseillers d'Etat, les ambassadeurs et envoyés extraordinaires, les conseillers maîtres à la Cour des Comptes, les walis, les officiers généraux, les recteurs des académies, les directeurs des administrations centrales sont nommés en Conseil des Ministres.

                Une loi organique détermine les autres emplois auxquels il est pourvu en Conseil des Ministres ainsi que les conditions dans lesquelles le pouvoir de nomination du Président de la République peut être par lui délégué pour être exercé en son nom.

                Article 14 :

                Le Président de la République accrédite les ambassadeurs et les envoyés extraordinaires auprès des puissances étrangères ; les ambassadeurs et les envoyés extraordinaires étrangers sont accrédités auprès de lui.

                Article 15 :

                Le Président de la République est le chef des armées. Il préside les conseils et les comités supérieurs de la Défense Nationale.

                Article 16 :

                Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la Nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacées d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier Ministre, des Présidents des assemblées ainsi que du Conseil Constitutionnel.

                Il en informe la Nation par un message.

                Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d'assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d'accomplir leur mission. Le Conseil Constitutionnel est consulté à leur sujet.

                Le Parlement se réunit de plein droit.

                L'Assemblée Nationale ne peut être dissoute pendant l'exercice des pouvoirs exceptionnels.

                Article 17 :

                Le Président de la République a le droit de faire grâce.

                Article 18 :

                Le Président de la République communique avec les deux assemblées du Parlement par des messages qu'il fait lire et qui ne donnent lieu à aucun débat.

                Hors session, le Parlement est réuni spécialement à cet effet

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                • #9
                  Algérois,

                  Vivre à l'étranger nous permet de connaitre des algériens de toutes parts d'Algérie , de connaitre leurs pensées leurs idées ....
                  Une chose est bien ils ne s'opposent pas à une éventuelle officialisation de tamazight pour son entrée à la constitution ,une chose que je n'aime pas chez ces "amis" c'est quand ils disent que Bouteflika est un radjel Mlih , il mérite d'autres mandats .....Ces gars sont pour la plus part d'Alger , Tipaza , Chlef .....que je trouve un peu naïfs avec leur soutient à ce personnage ....Les seuls qui protestent des agissement pareils sont kabyles ,sans exagérer mais c'est la triste réalité ......
                  A force de constater les opinions des uns et des autres , on retient toujours un résultat : Une partie pour , l'autre contre ..

                  Commentaire


                  • #10
                    @Mon cher Marin, Le préambule ainsi que les art. 1 et 2, il nous faut une autre révolution pour les faire admettre...aujourd'hui, les décideurs sont à l'ére de la compromission.
                    Quand le chat n'est pas là, les souris dansent

                    Commentaire


                    • #11
                      Le texte de la constitution est disponible ici: http://www.joradp.dz/HFR/Consti.htm

                      En tout cas si il y a une revision de l'article 74 de notre constitution et qui stipule clairement qu'un president n'est reeligible qu'une fois ca jettera un coup de froid je crois pour tous les mouvements qui oeuvrent pour plus de democratie en Algerie.

                      En tout cas si cet article est modifie il enverra un signale tres negatif a la population et a l echelle international qui commence a s'interesser de plus pret au marche et au potentiel Algerien. Je ne sais pas si 'un groupe' de decideur va mettre ses interets au-dessus des interets de la nation et prendre ce risque enorme.

                      Personnellement, et c'est un peu malheureux de le dire, mais j'espere que les problemes de sante du president vont tomperer les envies de changer la constitution.

                      Mais peut etre qu'on est paranoiaque aussi avec cet article car on a deja parle de cet article avec le vote concernant la reconciliation nationale.


                      Concernant ta proposition de constitution, et bien c'est le peuple qui decide de sa constitution. Et franchement, je ne vois pas le peuple Algerien rever d'un etat laique. C'est plutot les intellectuels qui se sont 'integres' au modele de la France. Pour le peuple l'Islam reste un pilier inseparable de l'etat. Je dirai malheureusement, car souvent les gens ne comprennent meme pas ce que veut dire 'laicite', ou '3ilanya' en Arabe qui a une conotation tres negative. Et c'est considere comme la negation de la religion. Chose que les Algeriens n'acceptent pas.



                      Et pour finir, un petit commentaire pour les ignards qui ne comprennent le monde par une grille de lecture ouvertement raciste: ils devraient s'inquieter de la simplicite de leur raisonnement, et si cela ne les inquiete pas, c'est qu'ils sont vraiment simple d'esprit.

                      Commentaire


                      • #12
                        je corrige

                        Article 1er :

                        L algerie est une République indivisible démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.

                        si le pouvoir veut il peut et le peuple suivra comme dab

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                        • #13
                          marin
                          au mois de juillet 2005 sur le forum émarrakech j'ai déjà dit à un forumiste algérien que boutef briguera un troisième mandat.

                          Commentaire


                          • #14
                            Je crois que chaque algérien est libre de penser ce qu'il veut.Heureusement d'ailleurs.L'essentiel est la tolérance et le respect entre nous.La main ds la main pour construire un état de droit surtout.
                            Cela dit qd matoub sous-entend que les kabyles ne votent pas boutef.Il se trompe lourdement.Même ds les moments les plus difficiles de notre pays et région.Souvenons-nous des élections présidentielles de 2004 où il est arrivé largement en tête, écrasant ses adversaires dont des kabyles, malgré tous les problèmes qui éxistaient en kabylie et à tizi en particulier.
                            La majorité des kabyles, à part les écervelés ou manipulés, sont pour boutef, y compris les régionalistes.Sans boutef point de tamazyght ni de hauts dirigeants kabyles ds les centres de décision.Parce qu'à mon avis, boutef pense que tous les algériens ont le droit et le devoir de représenter leur pays.A tous les échelons.Ce qui n'est pas le cas des anciens décideurs.
                            Même s'il s'entoure d'un pré-carré d'hommes de confiance, ce qui est normal et se fait partout y compris ds les pays références à certains, on est obligé de remarquer que toute l'algérie est présente ds son équipe.
                            N'importe quel algérien doté du mini d'intelligence et d'honnêteté intellectuelle reconnait que sans boutef, un grand politique, l'algérie actuellement serait pire que l'irak.Surtout qd on connait le degré de méprise et la capacité criminelle et assassine des acteurs sordides de la décennie noire.Que ce soit les islamistes terroristes ou la mafia politico-économiquo-militaire qui était en face.Heureusement que boutef est arrivé.D'ailleurs il a accompli un miracle de sauver l'algérie des griffes de ces loups garoux.OUF.
                            Pour la révision de la constitution, je pense comme beaucoup qu'elle est necessaire et obligatoire car les vides constatés surtout durant la maladie du président doivent trouver des solutions pour l'interêt de la stabilité et du fonctionnement des institutions.
                            Certains surveillent à la loupe une probable candidature de boutef.On se demande pourquoi ?????????????.
                            Ces mêmes personnes avancent le risque de dictature alors que justement les algériens sont beaucoup plus libres maintenant.Sous sa mandature.Quels hypocrites ces gens.
                            Les noms qu'ils avancent sont les pires et ont montré leurs capacités de nuisances.N'en parlons pas de leurs moyens intellectuels ou même de leur honnêteté personnelle tout court.
                            Pour le nombre de mandatures, on trouve normal qu'en europe cela se fait mais en algérie c'est louche.Curieux comme raisonnement.

                            Maintenant si boutef veut se présenter, je ne vois pas où est le problème.Les autres candidats n'ont qu'à mériter la confiance des algériens.
                            Franchement, je ne vois aucun remplaçant digne ds notre classe politique actuelle.La plupart sans envergure nationale ou internationale, sans capacités intellectuelle ou même humaine, sans personnalité inspirant confiance etc...............Donc ce sont des mauvais.
                            Sans boutef, les milliards engrangés actuellement seraient déja volatilisés, partagés entre le directeur x, le ministe y, le general z etc.J'en suis convaincu.
                            Il y a aussi les projets initiés, finis ou en constructions.Sans boutef, l'argent aurait été détourné et le peuple n'aurait eu que ses yeux pour pleurer.
                            D'ailleurs où sont les milliards de dollars détournés entre 1980 et 1999 ??????????????.Que ceux qui nous ont volé sachent qu'ils ne sont en réalité que des loups.Sûrement pas des "malins ou forts" comme ils croient.En tout cas, la justice les rattrappera sûrement.Celle de l'homme (j'espère de boutef ou son sucesseur) ou celle de dieu tout puissant.Bien mal acquis ne profite jamais..............

                            En tout cas, moi perso, je voterai pour lui s'il se représentera car je n'ai confiance qu'en lui.Et pourtant je ne suis pas du tout de sa région.
                            Mon seul souhait est qu'il ait un vice-président compétent comme lui et qu'il s'éloigne du parti fln car je n'ai aucune confiance en ce "parti politique" qui nous a grugé, volé nos richesses et anéanti l'avenir de notre jeunesse depuis des lustres.

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                            • #15
                              Concernant ta proposition de constitution, et bien c'est le peuple qui decide de sa constitution. Et franchement, je ne vois pas le peuple Algerien rever d'un etat laique. C'est plutot les intellectuels qui se sont 'integres' au modele de la France. Pour le peuple l'Islam reste un pilier inseparable de l'etat. Je dirai malheureusement, car souvent les gens ne comprennent meme pas ce que veut dire 'laicite', ou '3ilanya' en Arabe qui a une conotation tres negative. Et c'est considere comme la negation de la religion. Chose que les Algeriens n'acceptent pas.
                              Salut GAbdelkader, le peuple algérien n'a jamais décidé de quoi que ce soit, de tout temps il a été considéré comme mineur...Oui la constitution est révisable, mais dans son fond si l'on veut que le pays s'achemine vers la modernité et non le reculer au moyen âge.
                              "La laïcité est considéré comme la négation de la religion" çà c'est le langage qu'a utilisé le FIS à une époque. La laïcité c'est la séparation de la religion du pouvoir politique ou administratif . Sinon il faut revenir au Khalifa et là on n'aura plus besoin de constitution.
                              Quand le chat n'est pas là, les souris dansent

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