Journalistes marocains à Tindouf : La FIJ interpelle les autorités algériennes
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) vient de saisir les autorités algériennes en vue de mettre fin à ce qu’elle considère comme une assignation à résidence de deux journalistes marocains à Tindouf, a indiqué l'organisation dans un communiqué rendu public mercredi 22 septembre. Mohamed El-Slimani et Lahcéne Tikbadar, journalistes à « Essahafa elousbouiya » sont arrivés dans le sud algérien le samedi 18 septembre pour couvrir le retour dans les camps de réfugiés sahraouis du chef de la police au Polisario qui a rallié la position marocaine favorable à l’autonomie du Sahara occidental.
La FIJ qui déclare joindre sa voix à celle du Syndicat national de la presse marocaine demande aux autorités algériennes de « mettre un terme à cette procédure et aux interrogatoires incessants dont font l’objet les deux journalistes marocains ». Par la voix de son 1er vice-président et par ailleurs, secrétaire général du syndicat marocain, Younés Medjahed, la FIJ exige des autorités algériennes qu’elles respectent le droit à la libre circulation des journalistes et ce, dans l’ensemble du territoire, en particulier dans la zone de conflit, afin de leur permettre de rapporter les faits dans leur véracité.
« Toute atteinte à l’intégrité des journalistes est une atteinte à la liberté de la presse », avertit la FIJ qui dénonce « les méthodes répressives » des autorités algériennes. Le communiqué de l’organisation internationale affirme que les intéressés ont subi, pendant plus de trois heures, un interrogatoire de la police à leur arrivée à l’aéroport de Tindouf et il leur a été exigé de ne jamais quitter leur hôtel. La FIJ dénonce « le refus des autorités algériennes de répondre aux exigences du syndicat marocain en libérant les dits journalistes et en coopérant pour solutionner le problème ».
TSA
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) vient de saisir les autorités algériennes en vue de mettre fin à ce qu’elle considère comme une assignation à résidence de deux journalistes marocains à Tindouf, a indiqué l'organisation dans un communiqué rendu public mercredi 22 septembre. Mohamed El-Slimani et Lahcéne Tikbadar, journalistes à « Essahafa elousbouiya » sont arrivés dans le sud algérien le samedi 18 septembre pour couvrir le retour dans les camps de réfugiés sahraouis du chef de la police au Polisario qui a rallié la position marocaine favorable à l’autonomie du Sahara occidental.
La FIJ qui déclare joindre sa voix à celle du Syndicat national de la presse marocaine demande aux autorités algériennes de « mettre un terme à cette procédure et aux interrogatoires incessants dont font l’objet les deux journalistes marocains ». Par la voix de son 1er vice-président et par ailleurs, secrétaire général du syndicat marocain, Younés Medjahed, la FIJ exige des autorités algériennes qu’elles respectent le droit à la libre circulation des journalistes et ce, dans l’ensemble du territoire, en particulier dans la zone de conflit, afin de leur permettre de rapporter les faits dans leur véracité.
« Toute atteinte à l’intégrité des journalistes est une atteinte à la liberté de la presse », avertit la FIJ qui dénonce « les méthodes répressives » des autorités algériennes. Le communiqué de l’organisation internationale affirme que les intéressés ont subi, pendant plus de trois heures, un interrogatoire de la police à leur arrivée à l’aéroport de Tindouf et il leur a été exigé de ne jamais quitter leur hôtel. La FIJ dénonce « le refus des autorités algériennes de répondre aux exigences du syndicat marocain en libérant les dits journalistes et en coopérant pour solutionner le problème ».
TSA
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