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Alger:Ouverture de l’école algérienne des hautes études d’assurance

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  • Alger:Ouverture de l’école algérienne des hautes études d’assurance

    ELLE FORMERA 500 CADRES PAR AN.
    Une école pour les assureurs


    Le coût de la formation en assurance est estimé à un million de dinars par personne. Les étudiants qui souhaitent s’inscrire doivent avoir au moins le bac et faire quatre ans d’études supérieures. Une commission de présélection se chargera de valider les candidatures.


    C’est parti ! L’Ecole algérienne des hautes études d’assurance vient d’ouvrir ses portes à Alger. Son siège actuel, et provisoire, est à l’Institut supérieur de gestion et de planification (ISPG) de Bordj-El- Kiffan. «Nous avons acquis un terrain pour commencer les travaux de construction d’un campus à Alger. Dans deux ans, l’école pourra assurer la formation de 500 cadres par an. C’est énorme», a indiqué M. Benlaribi Abdelmalek, chef de division marketing à la SAA, hier lors de la cérémonie inaugurale de l’école qui s’est déroulée à l’hôtel El- Aurassi.



    Devant une salle pleine de cadres, M. Gérard Andreck, président- directeur général du groupe MACIF, a animé le premier cours. Cette école a signé un partenariat franco-algérien qui fait suite au contentieux entre assureurs français et algériens. D’ailleurs, sur les 17 assureurs nationaux, 14 sont actionnaires. «C’est un projet ambitieux», a encore ajouté Benlaribi. Le coût de la formation est estimé à un million de dinars par personne. Les étudiants qui souhaitent s’inscrire doivent avoir au moins le bac et faire quatre ans d’études supérieures.



    Une commission de présélection se chargera de valider les candidatures qui seront généralement soumises par des entreprises exerçant dans le secteur. Des diplômes reconnus mondialement sanctionneront ces formations assurées par des enseignants de renom. «Ce sont les mêmes enseignants qui animent des formations en France», apprend-on.



    Les compagnies d’assurances qui ont adhéré à cette démarche estiment que cette nouvelle institution mettra fin à de nombreux problèmes dont souffre le secteur, notamment la formation de cadres dirigeants spécialisés dans la gestion des ressources humaines. «Nous avons de grandes lacunes à combler dans ce domaine. Nous ne disposons pas de cadres spécialisés, ce qui se répercute également sur notre gestion et notre rendement», a encore expliqué Benlaribi, précisant que c’est un projet ambitieux.


    © Le Soir d'Algérie Le 23/09/2010
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    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG
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