La recherche a pour rôle de donner aux décisionnels politiques les moyens d'éclairer leurs choix politiques, elle permet d'établir une politique à long terme, stable et cohérente.
Le danger de l'absence d'une recherche solide entraîne une navigation à vue en cachant la partie invisible de l'iceberg et augmente les risques de déstabilisation politique.
Pourquoi le politique algérien ne priorise-t-il pas la recherche en Algérie alors que nous savons tous qu'un renversement politique venant de la rue ne pourra jamais être contenu par l'armée, il n' y a qu'à voir le soulèvement algérien face aux colons français ?
Nous savons tous que les chercheurs scientifiques ne recherchent pas le pouvoir, ce n'est pas la recherche du pouvoir qui les anime, ils demandent juste les moyens de travailler dans des conditions correctes.
Pourquoi le politique en allouant 0,5 % du PIB à la recherche ne voit-il pas le danger de ce genre de politique, alors que la recherche est un puissant facteur de pérennisation d'un pouvoir en place, il lui donne des yeux pour voir plus loin, il lui permet d'assurer une paix sociale qui est le seul moyen efficace pour stabiliser un pouvoir en place....Pourquoi l'Etat algérien se mette-il en danger au niveau international dans une dépendance accrue vis à vis de la matière grise étrangère, mais surtout au niveau national en fragilisant la dynamique de la société avec toutes les conséquences que cela induit en terme d'instabilité et de renforcement de l'intégrisme religieux, qui lui par contre s'intéresse directement et uniquement au pouvoir en voulant tout détruire sur son passage.
Le danger de l'absence d'une recherche solide entraîne une navigation à vue en cachant la partie invisible de l'iceberg et augmente les risques de déstabilisation politique.
Pourquoi le politique algérien ne priorise-t-il pas la recherche en Algérie alors que nous savons tous qu'un renversement politique venant de la rue ne pourra jamais être contenu par l'armée, il n' y a qu'à voir le soulèvement algérien face aux colons français ?
Nous savons tous que les chercheurs scientifiques ne recherchent pas le pouvoir, ce n'est pas la recherche du pouvoir qui les anime, ils demandent juste les moyens de travailler dans des conditions correctes.
Pourquoi le politique en allouant 0,5 % du PIB à la recherche ne voit-il pas le danger de ce genre de politique, alors que la recherche est un puissant facteur de pérennisation d'un pouvoir en place, il lui donne des yeux pour voir plus loin, il lui permet d'assurer une paix sociale qui est le seul moyen efficace pour stabiliser un pouvoir en place....Pourquoi l'Etat algérien se mette-il en danger au niveau international dans une dépendance accrue vis à vis de la matière grise étrangère, mais surtout au niveau national en fragilisant la dynamique de la société avec toutes les conséquences que cela induit en terme d'instabilité et de renforcement de l'intégrisme religieux, qui lui par contre s'intéresse directement et uniquement au pouvoir en voulant tout détruire sur son passage.
Un extrait d'un article d'un chercheur algérien
Pour un Développement technologique au service de l’homme et de la nature en Algérie
La recherche scientifique et le développement technologique jouent un rôle de tout premier plan dans le développement de toute société, par la réponse à des problèmes économiques et sociaux, par la mise au point de nouveaux produits et services, par la définition de nouveaux procédés de production, par l’intégration et l’amélioration de procédés existants.
La recherche scientifique et le développement technologique sont directement liés à l’amélioration du quotidien du citoyen, à la croissance économique, à la lutte contre le chômage, à l’efficacité du système productif. Toutefois, le cheminement est long et parfois complexe et coûteux, qui de la recherche fondamentale à la recherche appliquée, à la concrétisation de ses résultats jusqu’à la phase de développement vérifie l’applicabilité industrielle. Le processus est à la fois coûteux surtout les phases de développement et d’innovation, lent15 à 25 ans et parfois plus, et risqué. Ainsi, l’Etat ou les pouvoirs publics sont-ils sensibles à ce processus, conscients que c’est le seul moyen de s’en sortir de toute crise ? Ont-ils la volonté politique d’orienter, de programmer et de financer la recherche scientifique, afin de favoriser le développement, stimuler les compétences et accélérer l’innovation ?
Aujourd’hui malheureusement, la recherche scientifique est perçue par les pouvoirs publics algériens comme une activité marginale, voire une perte d’argent. La question de la place de la recherche scientifique dépend de la volonté politique au plus haut sommet de l’Etat. Cette volonté politique est identifiable déjà dans l’organigramme gouvernementale où le secrétariat d’Etat à la Recherche n’a autorité que sur quelques centres de recherche et n’exerce aucun pouvoir hiérarchique sur les institutions de recherche et le budget alloué à la recherche ne représente même pas 0,50% du PIB, alors que nos voisins en Tunisie et au Maroc ont dépassé largement les 1%. Et enfin, la place sociale du chercheur, toujours sans statut, sans reconnaissance sociale, avec un salaire qui représente à peine 4 fois le Smic. Alors que chez nos voisins, le chercheur débutant touche toujours plus de 7 fois le SMIC, sans oublier l’instabilité institutionnelle et l’atomisation des tutelles et des crédits alloués à la recherche.
Pour un Développement technologique au service de l’homme et de la nature en Algérie
La recherche scientifique et le développement technologique jouent un rôle de tout premier plan dans le développement de toute société, par la réponse à des problèmes économiques et sociaux, par la mise au point de nouveaux produits et services, par la définition de nouveaux procédés de production, par l’intégration et l’amélioration de procédés existants.
La recherche scientifique et le développement technologique sont directement liés à l’amélioration du quotidien du citoyen, à la croissance économique, à la lutte contre le chômage, à l’efficacité du système productif. Toutefois, le cheminement est long et parfois complexe et coûteux, qui de la recherche fondamentale à la recherche appliquée, à la concrétisation de ses résultats jusqu’à la phase de développement vérifie l’applicabilité industrielle. Le processus est à la fois coûteux surtout les phases de développement et d’innovation, lent15 à 25 ans et parfois plus, et risqué. Ainsi, l’Etat ou les pouvoirs publics sont-ils sensibles à ce processus, conscients que c’est le seul moyen de s’en sortir de toute crise ? Ont-ils la volonté politique d’orienter, de programmer et de financer la recherche scientifique, afin de favoriser le développement, stimuler les compétences et accélérer l’innovation ?
Aujourd’hui malheureusement, la recherche scientifique est perçue par les pouvoirs publics algériens comme une activité marginale, voire une perte d’argent. La question de la place de la recherche scientifique dépend de la volonté politique au plus haut sommet de l’Etat. Cette volonté politique est identifiable déjà dans l’organigramme gouvernementale où le secrétariat d’Etat à la Recherche n’a autorité que sur quelques centres de recherche et n’exerce aucun pouvoir hiérarchique sur les institutions de recherche et le budget alloué à la recherche ne représente même pas 0,50% du PIB, alors que nos voisins en Tunisie et au Maroc ont dépassé largement les 1%. Et enfin, la place sociale du chercheur, toujours sans statut, sans reconnaissance sociale, avec un salaire qui représente à peine 4 fois le Smic. Alors que chez nos voisins, le chercheur débutant touche toujours plus de 7 fois le SMIC, sans oublier l’instabilité institutionnelle et l’atomisation des tutelles et des crédits alloués à la recherche.
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