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Un gala du combat libre à Genéve

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  • Un gala du combat libre à Genéve

    Le phénomène du combat libre prend de l'ampleur, reportage à Genève 18 septembre 2010, 19:30 L'espace d'un soir, les sous-sols d'un hôtel à Genève se transformeront en temple de la douleur. Les combattants professionnels d'une rare violence font polémique..
    http://www.tsr.ch/video/info/journal-19h30/#id=2475184


    La belle et la bête du combat libre
    Prenez deux athlètes, mettez-les dans une cage (sorte de ring entouré d’un filet) et laissez-les combattre en leur imposant le moins de règles possible. Voici, en bref, les bases du MMA (arts martiaux mixtes). Samedi soir à Genève, un gala, le Strength & Honor Championship, accueille treize combats, dont deux 100% féminins. Une première.

    La discipline, devenue populaire en Suisse grâce aux diffusions des combats de l’Ultimate Fighting Championship (du MMA) tous les samedis soir sur RTL9, fait de plus en plus d’émules. Si, jusqu’à il y a peu, ce sport était la chasse gardée des hommes, les femmes pointent le bout de leur nez. Avec succès. Aux Etats-Unis, deux combattantes sortent carrément du lot: Gina Carano et Cris «Cyborg» Santos. En août 2009, le combat entre les deux jeunes femmes a attiré près d’un million de téléspectateurs. Une audience incroyable! Même si elle a perdu, Gina Carano est devenue depuis le visage de ce sport violent. Sa plastique de rêve en fait une ambassadrice idéale, prouvant qu’il est possible de se démener dans une cage tout en restant féminine.

    Fort de ce constat, Raid Salah, organisateur du gala de Genève, a décidé de convier quatre combattantes. «J’ai reçu énormément de mails me demandant d’organiser des combats de femmes. Ces dernières sont des athlètes de top niveau qui s’entraînent souvent deux fois plus dur que leurs homologues masculins.» Une appréciation pas forcément partagée par tous. Igor Araujo, combattant professionnel de MMA, n’est pas un grand fan de ces joutes féminines. «Je trouve que ces combats sont trop violents, je n’aime pas tellement.»

    «Les gens s’étonnent car je n’ai pas de bleus»

    Emily Geer, Genevoise de 27 ans, pratique le MMA en amateur:

    Comment êtes-vous venue au combat libre?
    J’ai fait du kickboxing pendant presque quatre ans et je cherchais à progresser. Une amie m’a entraînée il y a une année dans un cours de MMA et j’ai adoré.

    Qu’en dit votre entourage?
    Cela suscite beaucoup de questions, car il s’agit d’un sport peu connu. Les gens s’étonnent surtout du fait que je n’ai pas de bleus. Ils me demandent aussi si je n’ai pas peur d’avoir des cicatrices. Mais à me voir dans la rue, on ne pourrait pas penser que je pratique le combat libre.

    Cela peut-il poser un problèmes dans vos rapports avec les hommes?
    Au niveau du club, je m’entraîne avec des hommes. Ils me respectent mais beaucoup avouent qu’ils n’apprécieraient pas que leur copine pratique ce sport. Au niveau privé, je peux comprendre que la proximité physique du MMA dérange, mais dans ce cas-là, cette personne n’est pas faite pour moi!

    source : 20 minutes


  • #2
    je regrette les grands combats de boxe ...
    Mohamed Ali, Marvine Hagler ...etc.....c'était la grande classe ...
    tchek tchek tchek

    Commentaire

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