Tragédie de Tibéhirine. Rondot accuse le GIA
29 septembre 2010
Auditionné par des juges antiterroristes, le général français Philippe Rondot continue à accuser le GIA (Groupe islamique armé) de l'assassinat des moines de Tibéhirine au printemps 1996, une des thèses étudiées par les enquêteurs qui explorent également la piste d'une bavure de l'armée algérienne. Le général était chargé de mission à la DST (contre-espionnage) à l'époque de l'enlèvement des moines et en contact étroit avec le général Smaïn Lamari, patron de la DCE algérienne (Direction du contre-espionnage)
source : letelegramme
Le témoignage du général Rondot devrait tirer une grande crédibilité du fait qu'il était en poste au moment des faits.
(une erreur s'est glissée dans le titre, lire Rondot à la place de Rondt)
29 septembre 2010
Auditionné par des juges antiterroristes, le général français Philippe Rondot continue à accuser le GIA (Groupe islamique armé) de l'assassinat des moines de Tibéhirine au printemps 1996, une des thèses étudiées par les enquêteurs qui explorent également la piste d'une bavure de l'armée algérienne. Le général était chargé de mission à la DST (contre-espionnage) à l'époque de l'enlèvement des moines et en contact étroit avec le général Smaïn Lamari, patron de la DCE algérienne (Direction du contre-espionnage)
source : letelegramme
Le témoignage du général Rondot devrait tirer une grande crédibilité du fait qu'il était en poste au moment des faits.
(une erreur s'est glissée dans le titre, lire Rondot à la place de Rondt)
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