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Administration Obama, des départs en série

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  • Administration Obama, des départs en série

    Le bras-droit de Barack Obama, Rahm Emmanuel, doit annoncer vendredi sa démission. A quelques semaines des élections de mi-mandat, le départ du secrétaire général de la Maison blanche marquerait un nouveau coup dur pour Barack Obama, après un été déjà marqué par quatre démissions.

    Le secrétaire au Trésor Timothy Geithner est le dernier membre de l'équipe initiale de conseillers économiques encore en place. Retour sur ces personnalités qui ont choisi de s'éloigner de Washington.

    1_Rahm Emmanuel
    L'un des plus puissants conseillers de Barack Obama a l'intention de démissionner vendredi. Nouvel objectif, briguer la mairie de Chicago, fief du président américain. Pete Rouse, l'un des plus anciens collaborateurs du chef de l'État, est cité comme potentiel successeur pour le poste de secrétaire général de la Maison blanche.


    2_Herbert Allison
    Il y a quelques jours, Herbert Allison, haut responsable au département du Trésor américain, avait aussi annoncé sa démission, qui marquait ainsi le quatrième départ au sein de l'équipe économique gouvernementale depuis le début de l'été. "J'ai jugé que l'heure était propice à ce que je démissionne de mon poste de sous-secrétaire adjoint à la stabilité financière", écrivait-il dans un message adressé aux fonctionnaires de son département.


    3_Larry Summers
    La veille, c'était Larry Summers, principal artisan du plan de relance, qui annonçait son intention de quitter ses fonctions d'ici la fin de l'année. Le directeur du Conseil économique national de la Maison blanche expliquait vouloir retrouver l'université de Harvard où il enseignait avant de se mettre au service de Barack Obama. Ancien secrétaire au Trésor, Larry Summers est connu pour son franc-parler.


    4_Christina Romer
    Le 3 septembre, Christina Romer, principale conseillère de Barack Obama pour les questions économiques, quittait la Maison blanche. La présidente du Conseil économique a expliqué vouloir reprendre son activité d'enseignante en Californie.


    5_Peter Orszag
    Le directeur du Budget de la Maison blanche annonçait le 22 juin 2010 qu'il s'apprêter à quitter son poste et se marier en septembre. Celui qui avait rejoint l'administration Obama en janvier 2009 s'était penché sur deux dossiers majeurs du mandat du président: le plan de relance économique et la réforme du système de santé.


    6_Van Jones
    Appelé "le gourou des emplois verts", le membre du Conseil présidentiel sur la qualité de l'environnement avait présenté sa démission à Barack Obama le 6 septembre 2009. Ses positions sur le 11-Septembre - il soutenait une organisation développant la théorie du complot sur les attaques terroristes - avait créé une polémique. Il était perçu comme extrémiste et révolutionnaire par les conservateurs et la droite radicale.


    Source : lejdd.fr
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

  • #2
    "1_Rahm Emmanuel"

    j allais dire bon débarrs puisque c est un pro sioniste convaincu, mais qui ne l est pas dans l adminitration de Obama, à commencer par le president lui meme qui continue à excercer les pressions sur le faible Abbas et laisse le sionsite Netanyahou jouer comme il le souhaite

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    • #3
      C'est vraiment la panique à bord du navire Obama! La déconfiture des Démocrates s'annonce sévère lors des prochaines élections début novembre.

      Barack Obama s'avère être un faux réformateur contrairement à ce qu'il prétendait pendant sa candicature. Il a perdu 2 ans à essayer de plaire aux hypocrites républicains et en ignorant ses promesses aux démocrates, du coup, beaucoup de ces derniers risquent de ne pas aller voter et laisseront ainsi les fascistes de l'extrême droite prendre le contrôle du Congrès et pourrir la vie d'Obama encore plus.

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      • #4
        Les presidents americain les moins sioniste étaient republicains

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        • #5
          Les presidents americain les moins sioniste étaient republicains
          Exactement.

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          • #6
            tout est calculé , ceux qu'ils ont posé , le laisse tombé..
            il ne sagit pas de faux reformateur, ils ont (les sionistes) pas laissé faire ce qu'il voulait.. il ne veut pas faire la guerre contre l'iran,c'est pour ca qu'ils vont destitué ou l'assasiner , et accusé le klux klux klan
            n'est ce pas annis.?

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            • #7
              Envoyé par arazi
              il ne sagit pas de faux reformateur
              Ce sont les militants démocrates eux mêmes qui le disent. Obama a passé plus de temps à essayer de plaire aux Républicains qu'à réaliser ses promesses aux Démocrates.

              Sinon, sur l'Iran, Obama s'est certes fait relativement "réservé", mais sur d'autres dossiers, il a été comme le terroriste Bush voire pire que lui. Par exemple, Obama a multiplié les attaques avec les drones en Afghanistan et au Pakistan, ce qui a multiplié le nombre de victimes civiles.

              Quant à Israel, Obama n'a fait que confirmer son statut de fidèle sioniste en soutenant systématiquement les terroristes israéliens. Le comble est que malgré ce soutien, Obama est vraiment détesté en Israel!

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              • #8
                Mais on a quand même le sentiment que le dossier du conflit est traité autrement par l’administration Obama. Une autre approche que celle de son prédécesseur. On est allé jusqu’à dire que la nouvelle administration américaine s’est débarrassée du poids du lobby pro-israélien…
                Pas du tout. Le dossier est traité par Obama dans le même objectif que ses prédécesseurs, mais dans un habillage différent. Pérenniser Israël, en contrepartie de concessions symboliques pour les Palestiniens, ce qui libérerait les Etats arabes pro-occidentaux, principalement les pétromonarchies, de leur solidarité de façade avec la question palestinienne.
                Judas est né dans la zone. Dans le passé, les Etats arabes luttaient pour la cause palestinienne. De nos jours, ils se servent de la question palestinienne pour obtenir des avantages personnels auprès des Etats-Unis et d’Israël. Les Etats-Unis ont désormais conscience que leurs intérêts à long terme dans le monde musulman pourraient ne pas être préservés avec la persistance du prurit palestinien. Ils cherchent à le régler à leur avantage avec le grand basculement des rapports de force internationaux qui est en train de s’opérer, avec l’affirmation de la Chine, de l’Inde, du Brésil, sur la scène internationale, et, sur le plan régional, de la Turquie et de l’Iran.
                Un extrait d'une interview de R.Naba

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                • #9
                  Démission de Jim Jones, conseiller de Barack Obama à la sécurité

                  L'ancien général du corps des "marines" James Jones, conseiller à la sécurité nationale de Barack Obama, a démissionné vendredi, selon un responsable de l'administration américaine souhaitant rester anonyme.


                  Sa démission devait être officialisée par le chef de la Maison blanche en début de soirée (17h00 GMT) de même que son remplacement par Tom Donilon, un membre du Conseil national de sécurité proche du vice-président Joe Biden, apprend-on de même source.

                  On s'attendait généralement à ce que James Jones quitte ses fonctions avant la fin de l'année dans le cadre du remaniement de la hiérarchie en préparation dans l'optique de la seconde moitié du mandat présidentiel, qui débutera après les élections de "mid-term" prévues le 2 novembre.
                  Le scrutin pourrait voir l'une ou l'autre des deux chambres basculer dans le camp républicain et contraindre le président démocrate à opter pour une politique plus centriste afin de préserver ses chances de réélection en 2012.

                  Dans le dernier ouvrage du journaliste vétéran du Washington Post Bob Woodward sur "Les Guerres d'Obama" - les conflits en Irak et en Afghanistan ainsi que le bras de fer avec l'Iran - Tom Donilon est présenté comme un de ceux qui avait plaidé contre un engagement plus massif sur le théâtre afghan.

                  De son côté, James Jones, qui a coordonné la mise au point de la diplomatie d'Obama, a souvent été présenté comme un homme de l'extérieur qui avait du mal à faire entendre sa voix au milieu des autres conseillers issus du cercle de fidèles ayant participé à la campagne présidentielle de 2008.

                  Cascade de départs

                  Deux autres personnages-clés du Pentagone, le secrétaire à la Défense, Robert Gates, et le chef d'état-major interarmes, l'amiral Mike Mullen, s'apprêtent également à partir. Le premier a annoncé son intention de démissionner en 2011 et le second devrait prochainement faire valoir ses droits à la retraite.

                  James Jones est le dernier en date des conseillers de Barack Obama à quitter l'administration après Rahm Emanuel, secrétaire général de la Maison blanche, qui vient de démissionner pour se présenter à la mairie de Chicago, et Larry Summers, directeur du Conseil économique national rattaché à la Maison blanche, qui a annoncé son départ avant la fin de l'année.
                  L'intérim de Rahm Emanuel est assuré par Pete Rouse, un des plus anciens collaborateurs du président qu'il côtoie depuis sa campagne aux élections sénatoriales de 2004.

                  Deux autres membres de l'équipe économique initiale du président sont partis cet été: Peter Orszag, directeur du Budget, en juillet, et Christina Romer, présidente du Conseil économique de la Maison blanche, début septembre.
                  Barack Obama a consacré la première moitié de son mandat à des réformes lourdes, la santé ou la régulation financière, auxquelles les républicains se sont radicalement opposés.

                  Dans la seconde moitié de sa présidence, il lui faudra sans doute dégager
                  des terrains d'entente avec les républicains, que ce soit pour maîtriser le déficit budgétaire ou créer des emplois.

                  Par Ross Colvin et Patricia Zengerle, Jean-Loup Fiévet, Guy Kerivel et Marc Delteil pour le service français.

                  Source : lexpress.fr
                  La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                  De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                  .
                  Merci.
                  " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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