Photo de ces jeunes à Souk Ahras avec le fils de Mohamed Gharbi et Ammi Amar son ami patriote:
En 2001, un drame a secoué la ville de Souk Ahras.
Ce drame a désagrégé toute une famille qui a sombré dans le désespoir.
De quoi s'agit-il? Une affaire que tout le monde connaît, car médiatisée quelques jours et puis plus rien! Il s'agit d'un Moudjahid de la première heure qui a tout abandonné pour rejoindre ses frères au maquis dès l'âge de 15 ans pour libérer l'Algérie. Il s'agit de Mohamed Gharbi, père d'une famille nombreuse, qui vécut humblement après l'indépendance. Jusqu'au jour où son pays, son Algérie encore une fois devint la proie de forces occultes massacrant, égorgeant, violentant femmes et jeunes filles, et tous les algériens, dans toute la panoplie de l'horreur et de la terreur.
Répondant à l'appel de la Patrie et des Autorités politiques, il décida de reprendre les armes pour châtier les hordes sanguinaires. Il fonda les GLD (Groupes de légitime défense) de sa région, pour sauver l'Algérie du chaos.
Mohamed Gharbi a à son actif la libération de personnes détenues dans des grottes et des jeunes ''Sabiettes'' (jeunes vierges de 13 à 16 ans livrées au plaisir des émirs). Tout le monde se souvient de ces gamines découvertes en haillons sales et hagardes dont certaines, comble du malheur, enceintes! Le chef terroriste (émir) autour de ces actions fut le dénommé Ali Merad.
La loi sur la repentance, initiée par notre président, allait permettre à ce terroriste de bénéficier de nombreux avantages matériels et financiers et une totale impunité.
Gharbi assistait avec dépit à l'exhibitionnisme public du terroriste, qui le provoquait dans la mosquée même où ils priaient, déclarant à celui qui l'a combattu : « Ya Mohamed, Nharek Rah Djay ! » (Ton jour viendra !) "Taghout!". Lui montrant le révolver qu'il avait à la ceinture.
Las de ces provocations Gharbi se plaignit plusieurs fois auprès des autorités locales mais en vain!
N'en pouvant plus, à 66 ans Gharbi décida d'en finir avec ce terroriste qui le menaçait, lui et sa famille, et accomplit son rôle de patriote chef de groupe de légitime défense collective; en l'exécutant.
Il se rendit lui-même à la justice, et fût condamné à vingt ans ans de prison, peine qu'il accepta. Hors il fut jugé une seconde fois, par la pression des repentis en nombre important dans la salle du procès, qui firent cassation, trouvant la peine pas assez lourde. Il fut alors condamné à perpétuité, puis lors d'une dernière cassation de la famille Gharbi cette fois-ci, il fût tout bonnement condamné à la peine capitale, la peine de mort!
Gharbi est depuis 9 ans en prison, âgé de 75ans, malade, il attend courageusement son exécution.
Non ! Nous n'allons pas nous taire ! Gharbi a largement payé, il doit bénéficier de la grâce présidentielle et de l'amnistie, et être libéré, pour ce 1er Novembre 2010, date symbolique de notre pays.
Nous les jeunes citoyens algériens, nous ne comprenons pas pourquoi tant de mépris envers ce Patriote, ce Moudjahid et pourquoi ses compagnons d'armes, l'ONM et tous les maquisards de l'Algérie ne se préoccupent pas du sort de leur frère qui n'a fait que protéger sa vie et celle de sa famille.
En 2001, un drame a secoué la ville de Souk Ahras.
Ce drame a désagrégé toute une famille qui a sombré dans le désespoir.
De quoi s'agit-il? Une affaire que tout le monde connaît, car médiatisée quelques jours et puis plus rien! Il s'agit d'un Moudjahid de la première heure qui a tout abandonné pour rejoindre ses frères au maquis dès l'âge de 15 ans pour libérer l'Algérie. Il s'agit de Mohamed Gharbi, père d'une famille nombreuse, qui vécut humblement après l'indépendance. Jusqu'au jour où son pays, son Algérie encore une fois devint la proie de forces occultes massacrant, égorgeant, violentant femmes et jeunes filles, et tous les algériens, dans toute la panoplie de l'horreur et de la terreur.
Répondant à l'appel de la Patrie et des Autorités politiques, il décida de reprendre les armes pour châtier les hordes sanguinaires. Il fonda les GLD (Groupes de légitime défense) de sa région, pour sauver l'Algérie du chaos.
Mohamed Gharbi a à son actif la libération de personnes détenues dans des grottes et des jeunes ''Sabiettes'' (jeunes vierges de 13 à 16 ans livrées au plaisir des émirs). Tout le monde se souvient de ces gamines découvertes en haillons sales et hagardes dont certaines, comble du malheur, enceintes! Le chef terroriste (émir) autour de ces actions fut le dénommé Ali Merad.
La loi sur la repentance, initiée par notre président, allait permettre à ce terroriste de bénéficier de nombreux avantages matériels et financiers et une totale impunité.
Gharbi assistait avec dépit à l'exhibitionnisme public du terroriste, qui le provoquait dans la mosquée même où ils priaient, déclarant à celui qui l'a combattu : « Ya Mohamed, Nharek Rah Djay ! » (Ton jour viendra !) "Taghout!". Lui montrant le révolver qu'il avait à la ceinture.
Las de ces provocations Gharbi se plaignit plusieurs fois auprès des autorités locales mais en vain!
N'en pouvant plus, à 66 ans Gharbi décida d'en finir avec ce terroriste qui le menaçait, lui et sa famille, et accomplit son rôle de patriote chef de groupe de légitime défense collective; en l'exécutant.
Il se rendit lui-même à la justice, et fût condamné à vingt ans ans de prison, peine qu'il accepta. Hors il fut jugé une seconde fois, par la pression des repentis en nombre important dans la salle du procès, qui firent cassation, trouvant la peine pas assez lourde. Il fut alors condamné à perpétuité, puis lors d'une dernière cassation de la famille Gharbi cette fois-ci, il fût tout bonnement condamné à la peine capitale, la peine de mort!
Gharbi est depuis 9 ans en prison, âgé de 75ans, malade, il attend courageusement son exécution.
Non ! Nous n'allons pas nous taire ! Gharbi a largement payé, il doit bénéficier de la grâce présidentielle et de l'amnistie, et être libéré, pour ce 1er Novembre 2010, date symbolique de notre pays.
Nous les jeunes citoyens algériens, nous ne comprenons pas pourquoi tant de mépris envers ce Patriote, ce Moudjahid et pourquoi ses compagnons d'armes, l'ONM et tous les maquisards de l'Algérie ne se préoccupent pas du sort de leur frère qui n'a fait que protéger sa vie et celle de sa famille.
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