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Le premier ministre suédois de centre-droit Fredrik Reinfeldt a annoncé ce mardi un nouveau gouvernement en partie remanié, mais minoritaire faute d'appui pour contrer l'entrée de l'extrême-droite au Parlement.
Lors de sa déclaration de gouvernement devant le nouveau Parlement issu des élections du 19 septembre, M. Reinfeldt (Modérés) a nommé sept nouveaux ministres - soit environ un tiers de son équipe - mais à des postes secondaires.
Son équipe de coalition reste inchangée aux postes-clés: Anders Borg (Modérés) aux Finances, l'ex-premier ministre Carl Bildt (Modérés) aux Affaires étrangères, Maud Olofsson (Centre) aux Entreprises et à l'Energie et Jan Björklund (Libéraux) à l'Education.
Le poste de numéro 2 du gouvernement passe de Mme Olofsson à M. Björklund, dans un gouvernement qui compte au total 24 membres, contre 22 jusqu'à présent.
Mme Nyamko Sabuni (Libéraux), première femme noire ministre en Suède, quitte son poste de l'Intégration, mais conserve celui de la Parité. Le ministère de l'Agriculture devient le ministère de l'Aménagement du territoire, mais reste sous la direction d'Eskil Erlandsson (Centre).
Parmi les entrants, Mme Hillevi Engström (Modérés) devient ministre du Travail, M. Erik Ullenhag (Libéraux) devient ministre de l'Intégration, M. Peter Norman (Modérés) devient ministre des Marchés financiers.
Stefan Attefall (Chrétiens-démocrates) devient ministre du Logement, le ministère de la Protection sociale est attribué à Ulf Kristensson (Modérés), Mme Catharina Elmsäter-Svärd (Modérés) est nommée ministre des Infrastructures et Mme Anna-Karin Hatt (Centre) devient ministre des Régions et des Nouvelles technologies, un poste nouvellement créé.
Le gouvernement de M. Reinfeldt, qui disposait d'une majorité absolue lors de son premier mandat (2006-2010), doit désormais composer avec un soutien minoritaire et la présence de 20 députés des Démocrates de Suède (SD, extrême-droite).
(ats / 05 octobre 2010 17:32)
Lors de sa déclaration de gouvernement devant le nouveau Parlement issu des élections du 19 septembre, M. Reinfeldt (Modérés) a nommé sept nouveaux ministres - soit environ un tiers de son équipe - mais à des postes secondaires.
Son équipe de coalition reste inchangée aux postes-clés: Anders Borg (Modérés) aux Finances, l'ex-premier ministre Carl Bildt (Modérés) aux Affaires étrangères, Maud Olofsson (Centre) aux Entreprises et à l'Energie et Jan Björklund (Libéraux) à l'Education.
Le poste de numéro 2 du gouvernement passe de Mme Olofsson à M. Björklund, dans un gouvernement qui compte au total 24 membres, contre 22 jusqu'à présent.
Mme Nyamko Sabuni (Libéraux), première femme noire ministre en Suède, quitte son poste de l'Intégration, mais conserve celui de la Parité. Le ministère de l'Agriculture devient le ministère de l'Aménagement du territoire, mais reste sous la direction d'Eskil Erlandsson (Centre).
Parmi les entrants, Mme Hillevi Engström (Modérés) devient ministre du Travail, M. Erik Ullenhag (Libéraux) devient ministre de l'Intégration, M. Peter Norman (Modérés) devient ministre des Marchés financiers.
Stefan Attefall (Chrétiens-démocrates) devient ministre du Logement, le ministère de la Protection sociale est attribué à Ulf Kristensson (Modérés), Mme Catharina Elmsäter-Svärd (Modérés) est nommée ministre des Infrastructures et Mme Anna-Karin Hatt (Centre) devient ministre des Régions et des Nouvelles technologies, un poste nouvellement créé.
Le gouvernement de M. Reinfeldt, qui disposait d'une majorité absolue lors de son premier mandat (2006-2010), doit désormais composer avec un soutien minoritaire et la présence de 20 députés des Démocrates de Suède (SD, extrême-droite).
(ats / 05 octobre 2010 17:32)
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