Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bernard Kouchner se plaint des «humiliations» de l'Elysée

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bernard Kouchner se plaint des «humiliations» de l'Elysée

    Selon le Nouvel Observateur, le ministre des Affaires étrangères a remis une lettre de démission le 25 août à Nicolas Sarkozy. Il y dénonce les «humiliations» infligées par les conseillers du chef de l'Etat.

    Bernard Kouchner est plus que jamais sur le départ. Après plus de trois années passées à la tête du Quai d'Orsay, au service de Nicolas Sarkozy, le «french doctor» a remis sa lettre de démission au chef de l'Etat le 25 août dernier, selon le Nouvel Observateur. Dans cette missive manuscrite qu'a pu consulter l'hebdomadaire, Bernard Kouchner vide son sac. Il parle «d'inflexion sécuritaire», prend acte de «la fin de l'ouverture» à gauche opérée par Nicolas Sarkozy depuis son arrivée au pouvoir en 2007, et, surtout, dénonce des «humiliations» infligées par «des conseillers» du président.

    En 2007, Bernard Kouchner était devenu le symbole de l'ouverture de Nicolas Sarkozy. Et chacun semblait y trouver son compte : le socialiste accédait à la fonction de ses rêves et le chef de l'Etat pouvait profiter de l'éternelle popularité de son ministre. Mais Kouchner a rapidement éprouvé des difficultés à gérer un domaine ministériel sur lequel l'influence des proches de Nicolas Sarkozy est immense. A commencer par celle de Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée, à qui le ministre devait rendre compte de son activité chaque semaine, selon le Nouvel Observateur.
    Petit à petit, l'éminence grise de Nicolas Sarkozy s'est immiscée dans la gestion des affaires diplomatiques : multipliant les déplacements dans les pays du Golfe et du Maghreb, il a par exemple joué un rôle important dans la gestion des prises d'otages de ressortissants français. C'est aussi lui qui signe l'accord de rétablissement des relations diplomatiques avec le Rwanda, en novembre dernier. Un véritable désaveu pour Bernard Kouchner, qui s'est personnellement investi sur ce dossier.

    Torpillé à gauche, décrédibilisé à droite

    Quant à Jean-Daniel Lévitte, le conseiller diplomatique de l'Elysée, «il monopolise les relations avec les grands», assure le Nouvel Observateur : Etats-Unis, Chine, Inde, Russie… Le sherpa de Nicolas Sarkozy serait devenu un interlocuteur de taille, capable de court-circuiter le ministre des Affaires étrangères. Lequel a assisté, impuissant, à la progressive érosion de son influence. Pris au piège entre la volonté d'exister et l'envie de rester le plus longtemps possible à son poste, entre une gauche qui crie à la trahison et une droite qui le juge peu crédible, Bernard Kouchner s'est lassé. Resté très discret dans les médias, il a multiplié en privé les colères. «Je ne vous dis pas que, de temps en temps, je n'enrage pas…», avait-il confié au Parisien en mai dernier.

    L'offensive sécuritaire de l'été et la polémique sur l'expulsion des Roms n'a donc été que la goutte d'eau qui a fait déborder un vase déjà bien plein. Le 3 août, selon l'hebdomadaire, le ministre des Affaires étrangères a exprimé lors d'un face-à-face avec le chef de l'Etat son trouble sur le sujet et évoqué sa volonté de quitter le gouvernement. Le président de la République lui aurait alors proposé le poste de «défenseur des droits », une fonction crée par la réforme constitutionnelle et dédiée à la lutte contre les discriminations. Son titulaire, qui doit être désigné dans les prochains mois, supervisera trois institutions : le Défenseur des enfants, la Commission nationale de déontologie de la Sécurité, et la Halde. Dans sa missive du 25 août, toujours selon l'hebdomadaire, le ministre sur le départ remercie Nicolas Sarkozy de sa proposition et affirme qu'il va y réfléchir.
    Reste à savoir quand Bernard Kouchner va quitter le gouvernement. Si son non-renouvellement lors du prochain remaniement ne fait plus guère de doute, son départ effectif pourrait intervenir plus tôt. Dans sa missive, le ministre précise qu'il sera libre dès qu'il aura mené à bien sa dernière réforme, la création de l'Agence culturelle extérieure, «dans quelques jours», note le Nouvel Observateur. Plusieurs noms ont déjà été évoqués pour le remplacer parmi lesquels Christine Lagarde ou Alain Juppé. À condition que Claude Guéant, n'interfère pas, a déjà fait savoir le maire de Bordeaux...
    Le Figaro

  • #2
    Mais il a commencé à l'être par l'Algérie.
    Ce n'est qu'une suite ,comme on dit dans les gradins d'un stade
    "he ho, hadi elbidaya ou mazel mazel "
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

    Commentaire


    • #3
      ce personnage est une imposture made en france!
      la demission c'est pour sauver la face il sait trés bien qu il va étre viré au prochain remaniement de toute façon les affaires étrangéres ont toujours été traités par claude guéant et david levitte ! cet imposteur n a servi a rien
      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

      Commentaire


      • #4
        bernard kouchener n'a fait que tourner sa veste de stalinien il est devenu socialiste ,puis atlantiste .
        je ne connait pas ses talons cpmme medecin, mais comme ministre il est nul

        Commentaire


        • #5
          atlantiste il l'est oui mais c'est normal c'est pour servir l'etat sioniste
          "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

          Commentaire


          • #6
            Bon débarras !!!!Plus hypocrite que lui difficile a trouver...

            Commentaire


            • #7
              sarkozy a besoin du vote arabe

              un bon coup pour lui pour 2012
              est de nommer un beur comme ministre des etranngers
              avec une pointe petite anti juivde

              c dans c calcul

              plus serieusement d une pierre deux coups
              villepin
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

              Commentaire

              Chargement...
              X