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nos parents des écoles françaises pendant l'occupation

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  • nos parents des écoles françaises pendant l'occupation

    es qu'il y a ici que leur parents ou eux mm on étudié chez les français pendant l'époque coloniales ou leur grand parents

    mon pére ma raconté qu'il a eu deux professeurs
    et que dans leur livre y avait page par page une qui es pour le français et l'autre pour étudié l'arabe ou je ne sait pas pour les arabes je lui demanderai après ..

    son 1er prof été un vieux qui leur sauté les pages ils leur fait que le programme français et en plus dans les dernieres heures ils profité pour leur dire pleuré le roi charle marchal et insulté saladin (je ne sait pas se qui lui a fait celui la)
    vous n'êtes pas des arabes mais des gaulois ....
    puis deux ans après il a eu un autre prof qui leur a fait le programme normal
    puis c'est l'indépendance et il a étudié des maths car il été geek ta3 bakri

    j'avoue que jusqu'a mnt mon pére a l'aire un peut français pour moi , ils aiment bcp cette langue et il passe son temp devant la télé a regardé leur infos et parfois il regarde pas nos infos algériens ! (a moins que c un espion non )

    genre malgré mm si il n'a pas fait de longues années d'études sous l'occupation française mais ils l'ont pas raté comme on dit chez nous
    alors qui ont un programme plus intensif que sa , je pense pas qu'ils s'en sorte et ont une culture 100% algérienne et islamique
    Dernière modification par Nadyr, 08 octobre 2010, 00h40.

  • #2
    Mon arrière-grand-père, a été instituteur dans plusieurs villages. Je ne l'ai pas connu, mais j'ai connu les plus jeunes de ses élèves, des petits vieux kabyles qui me racontaient les bêtises qu'ils faisaient en classe.
    Apparemment, Baba était l'homme le plus doux et le plus calme qui soit, mais il ne plaisantait pas avec la discipline. Il arrivait dans sa classe avec des branches très fines et très souples, auxquelles il avait enlevé l'écorce, qu'ils avait taillées... et ça faisait sacrément mal

    Allah yarhamhoum.

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    • #3
      Mon arrière-grand-père, a été instituteur dans plusieurs villages. Je ne l'ai pas connu, mais j'ai connu les plus jeunes de ses élèves, des petits vieux kabyles qui me racontaient les bêtises qu'ils faisaient en classe.
      Apparemment, Baba était l'homme le plus doux et le plus calme qui soit, mais il ne plaisantait pas avec la discipline. Il arrivait dans sa classe avec des branches très fines et très souples, auxquelles il avait enlevé l'écorce, qu'ils avait taillées... et ça faisait sacrément mal
      Salut!
      Je suis de la vieille génération et mon expérience est la suivante:
      Les algériens de l'époque, les garçons en général, allaient pendant quelques années à l'école ou il y avait des instituteurs
      1. français souvent communistes qui ont fait un travail admirable.... et ils étaient sympathique.
      2. français qui venaient uniquement pour l'argent car ils avaient une prime coloniale. Ceux-ci étaient sans intérêts, ils pouvaient être strict au point de vu discipline, mais s'en foutaient si on avançait ou pas.
      3. Les instituteurs algériens étaient en général mal formés (?)(ils avaient un BES=brevet d'enseignment supérieur= niveau de SECONDE des lycées et collèges)
      La plupart étaient en général de vrai incultes, bourreaux de surcroit qui terrorisaient les écoliers.

      C'est pour cela que la plupart des élèves quittaient l"école avant l'âge de 10 ans.... et je parle d'avant 1954.
      Pour les programmes: Nous avions les mêmes manuels qu'en France ... et c'est vrai que l'on apprenait en Histoire que nos ancêtres étaient des gaulaois.
      Mais on ne faisaient pas trop attention car à l'époque, nous savions que nous n'étions pas descendants de gaulois... comme aujourd'hui la plupart des algériens savent qu'ils ne sont pas arabes...

      Évidemment, les garçon coontinuaient l'apprentissage du français pendant le service militiare obligatoire... et surtout s'ils ont un employeur français.

      Une chose est sure: Il existait des phénomènes qui, même s'ils ne sont pas allés à l'école, maîtrisaien le français d'une façon telle qu'ls feraient rougir aujourd'hui beaucoup de nos algériens qui se disent francophones!

      P.S. Je garde un souvenir d'un instit algérien qui est indélibile: il m'a cassé le nez!
      L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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      • #4
        Nad.............ca me fait bizare de lire ce que tu ecris sur ton papa............on dirait que ca te gene,que tu n'aimes pas............c'est ce qu'on vit etant jeune qui nous forge,qui nous construit.

        je pense pas qu'ils s'en sorte
        pourquoi voudrais tu qu'il oublit?le francais fait partie de lui.......et ca n'empeche qu'il aime l'algerie et tous ce qui va avec.............il doit avoir telement de choses a te raconter .............profites en......

        bonjour papa Nad!
        on fait avec..........

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        • #5
          P.S. Je garde un souvenir d'un instit algérien qui est indélibile: il m'a cassé le nez!
          VOUS ETUDIEZ DANS UNE SALLE DE BOXE
          And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

          Commentaire


          • #6
            Nad.............ca me fait bizare de lire ce que tu ecris sur ton papa............on dirait que ca te gene,que tu n'aimes pas............c'est ce qu'on vit etant jeune qui nous forge,qui nous construit.
            j'aime pas l'époque coloniale c'est tout , mais bon sa fait parti d'eux ils sont pour rien

            bonjour papa Nad!
            il a connecté avant dans ce forum mais surement ils a pas aimé les faux infos ...
            il a pas créer un compte normalement (j'espère)
            tu imagine si un jour je m'engueule avec qqun aprés plein de coup de mots lazer il me sorte comme darkvador nadir jeeh SuiiS toN pèère
            Dernière modification par Nadyr, 08 octobre 2010, 12h39.

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            • #7
              mon pére a était a l'école chez les "sourettes" ( les soeurs ) , mais bon elles n'on jamais tenté de les convertir.......et elles lui on pas dit que ç ancêtre étaient gaulois .....par contre il ne comprend pas un mots d'arabe....alors la le lire ou l'ecrir ...laisse tombé...le pire ç qu'il a regardé toute ça vie les info ta3 la RTA et l'ENTV...sans jamais vraiment comprendre ce qu'ils disaient .....comme quoi ils ne devaient pas vraiment dire des chose importante
              tu tombe je tombe car mane e mane
              après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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              • #8
                Envoyé par Avucic
                C'est pour cela que la plupart des élèves quittaient l"école avant l'âge de 10 ans.... et je parle d'avant 1954.
                Pour les programmes: Nous avions les mêmes manuels qu'en France ... et c'est vrai que l'on apprenait en Histoire que nos ancêtres étaient des gaulaois.
                Mais on ne faisaient pas trop attention car à l'époque, nous savions que nous n'étions pas descendants de gaulois... comme aujourd'hui la plupart des algériens savent qu'ils ne sont pas arabes...
                J'ai connu des élèves de mon arrière grand-père nés dans les années 10 et 20, je retiens surtout la classe tous niveaux confondus surchargée, de 50 élèves pour un enseignant. Certains enfants quittaient l'école à 10 ans, d'autres y entraient à cet âge, certains passaient 4 ans, d'autres seulement quelques mois. Certains venaient de loin, sous la neige, avec "irkasen" pour les chanceux, pour passer quelques heures à l'école. Et de toute façon, pour le secondaire, très peu pouvaient se payer l'internat... il y avait vraiment de la bravoure.
                J'ai connu un de ses élèves très brillant et prometteur, que mon arrière-grand-père et une institutrice voulaient absolument voir décrocher une bourse pour le collège. Ils ont fait des pieds et des mains pour lui faire passer le certificat d'études primaire, l'ont emmené passer l'épreuve à Oued Amizour, il a sans doute était le meilleur, mais voilà c'est un autre élève moins brillant qui a eu la meilleure note : le fils du Bachagha !

                Vous savez qu'il y avait 2 écoles avec 2 programmes et 2 personnels enseignants, celle pour les enfants français et l'autre. Mon arrière-grand-père, étant né à Bougie, pauvre et orphelin, on l'a mis à l'école des petits français, où il a pu acquérir un niveau honorable, avant d'aller à Alger. Ensuite, on l'envoyait dans des villages isolés, en l'encourageant à s'y installer, pour que ses enfants n'aillent pas à la même école que lui... mais la différence sautait trop aux yeux.
                Ses élèves ne m'ont parlé que des bons souvenirs... politesse kabyle oblige... mais les nez avaient l'air de tenir debout !

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                • #9
                  Bonjour

                  Avucic
                  comme aujourd'hui la plupart des algériens savent qu'ils ne sont pas arabes...
                  C'est la meilleure celle-là !

                  ---------------

                  Ma mère me disait que dans sa classe, les français s'assoyaient d'un côté et les algériens de l'autre. Les prof. étaient beaucoup plus sévères avec les algériens et les français étaient favorisés sur le reste, ...

                  Mes parents ont étudié en français mais je n'ai jamais senti qu'ils avaient qqch de français en eux. Jamais ! Bien au contraire, toutes ces tentatives ratées de les assimiler n'ont fait que réveiller leur fibre patriotique et les dégoûter de cette culture imposée, ...

                  Avec tout ça, je reste admirative devant eux. Aujourd'hui, ils ont réussi à séparer les français de l'époque des français d'aujourd'hui, à séparer la langue française de ces barbares de la colonisation, ...Pas facile avec ce qu'ils ont connu. Je trouve que j'ai eu plus de problèmes à faire ça, des années plus tard, ...

                  Allah yahfed'houm ainsi que tous vos parents ; ils ont connu des périodes très difficiles, ...
                  Dernière modification par absente, 08 octobre 2010, 14h58.

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                  • #10
                    il a connecté avant dans ce forum mais surement ils a pas aimé les faux infos ...
                    il a pas créer un compte normalement (j'espère)
                    tu imagine si un jour je m'engueule avec qqun aprés plein de coup de mots lazer il me sorte comme darkvador nadir jeeh SuiiS toN pèère
                    je confirme papa Nad est sur le forum...........tu vas voir tes fesses.........ca va faire mal!
                    on fait avec..........

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                    • #11
                      C'est la meilleure celle-là !
                      Pourquoi, tu as la certitude toi?:22:

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                      • #12
                        el bahar bonjour

                        Il y a une affirmation ici et elle n'est pas mienne, ... Tu ne la questionnes pas à son tour ?

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                        • #13
                          De 57 à 62, j'étais à l'école primaire française, à El oued puis à Biskra, tous les instituteurs étaient Français, je n'ai eu aucun aucun camarade non musulman.

                          D'excellents enseignants, tous et toutes, sans exception. Plusieurs sont restés en Algérie après l'indépendance...

                          On n'avait pas de cours d'arabe. Pour cela, on allait à l'école coranique de 5 à 8 heures du matin

                          Commentaire


                          • #14
                            bachi je te croyais plus jeune que ca
                            mon pere nous racontait a peu pres la meme chose que toi' a l`ecole française c'etait le seul arabe dans sa classe' pour l arabe il l`apprenait avec chikh el djamaa mais vu qu il les frappait tout le temps' mon pere passait son temps a copier des autres pour ne pas etre puni ( il collait la soura sur le dos de son camarade devant lui d`ailleurs il est encore nul en arabe littéraire
                            Dernière modification par absente, 08 octobre 2010, 17h38.

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                            • #15
                              Aucun membre de ma famille n'a fait l'école française, tout le monde n'avait pas le droit d'aller à l'école française.

                              Du coup, c'était l'école coranique.

                              Pour l'école algérienne, j'ai eu le droit à des psychopathes, je peux écrire des livres sur le sujet. On avait un instit, il prenait une règle en metal, bien carrée, il la mettait entre nos 2 doigts, il serrait bien les 2 doigts, et il commençait à tourner la règle. Une fois le sang commence à couler, il allait chercher de l'alcool pure histoire que ça fasse mal plus.

                              Un autre, il était mahboul chouia, quand il s'ennervait il jettait l'éleve par terre et il commençait à le tapper avec un compas en bois, et quand il s'ennervait bezafe, il donnait des coups de pieds.

                              Un autre avait carrément 2 éleves, ils avaient l'assurance d'avoir la moyenne, mais ils étaient ses bras droit. Quand qq s'absente par exemple, il les envoyait le chercher. Une fois meskine, il y'en avait un ils sont allés le choper loin, en dehors de la ville, vers les rivières, ... c'était le FBI. Mais quand ils le trouvent, Abou Ghraib c'était des enfants de coeur !

                              Et il y'en a plein d'histoires comme ça.

                              Est ce que l'Algérie a fait mieux que la France ? che pas.
                              «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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