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Sahara occidental : Erik Jensen met en garde contre un "Sahelistan" aux portes du Maghreb

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  • Sahara occidental : Erik Jensen met en garde contre un "Sahelistan" aux portes du Maghreb

    L'ancien représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, Erik Jensen, a mis en garde, jeudi à New York, contre les risques d'un "Sahelistan" aux portes du Maghreb si la question du Sahara n'est pas résolue rapidement.

    "Il faut résoudre la question du Sahara pour faire face aux menaces à la sécurité et à la stabilité dans la région du Sahel", a affirmé Erik Jensen qui s'exprimait devant la 4ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU.
    Et de pointer du doigt "la prolifération d'activités terroristes et de trafic en tout genre dans la région où meurtres et enlèvements deviennent monnaie courante, ce qui illustre d'autant plus, a-t-il insisté, la vulnérabilité de cette région".

    Plus le processus de règlement de ce conflit "s'enlisera, plus les positions vont se raidir, les frustrations s'exacerber et la probabilité de troubles et d'instabilité régionale s'accroître", a averti M. Jensen.
    Cette "sombre perspective" ne peut l'emporter sur une solution politique négociée basée sur le réalisme et le compromis telles que soulignées par les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, a dit cet ancien haut responsable onusien, qui a exercé dans la région de 1993 à 1998.

    La proposition marocaine d'autonomie, qualifiée par ce même conseil de sérieuse et crédible, est à même, d'après lui, de constituer une base pour les négociations et mettre un terme à ce conflit. Il a rappelé, à cet égard, à l'assistance que, lors des négociations menées en 1996, sous sa supervision, le polisario avait, pourtant, accepté l'idée de discuter d'une solution politique fondée sur l'autonomie.

    Les ministres des Affaires étrangères français et espagnol ne s'y sont pas trompés quand ils ont souligné, il y a quelques jours, la "nécessité urgente d'arriver à une solution juste, durable et mutuellement acceptable", a tenu à souligner M. Jensen devant les représentants des Etats membres de l'ONU.

    Pour l'ancien représentant du Secrétaire général de l'ONU, auteur de l'ouvrage "Sahara : Anatomie d'une impasse" (2005), toute solution négociée est préférable au statu quo actuel qui a conduit à la dégradation de la situation dans la région à cause de ce conflit artificiel qui mobilise depuis 35 ans les ressources et énergies des pays de la région au détriment du développement économique et social.

    Il a attiré, à cet égard, l'attention sur le danger potentiel auquel sont exposées les populations dans les camps, privées de conditions de vie décentes, et entièrement dépendantes de l'assistance humanitaire.
    Erik Jensen a rappelé, dans ce contexte, qu'en dépit de la recommandation contenue dans le dernier rapport du Secrétaire Général de l'ONU sur le Sahara, l'Algérie continue d'empêcher le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) de mener le recensement des populations dans les camps de Tindouf et ce conformément à son mandat.


    L'ancien représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, Erik Jensen.

    MAP

  • #2
    Un article qui ressemble plus a une HRIRA marocaine melangee a de la creme glacee qu'a une information.

    Lisez ca et faites la difference : http://www.un.org/News/Press/docs//2...spd453.doc.htm

    Commentaire


    • #3
      Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York

      Quatrième Commission

      5e séance – après-midi

      QUATRIÈME COMMISSION: LES PÉTITIONNAIRES MULTIPLIENT LES ACCUSATIONS DE VIOLATION DES DROITS DE L’HOMME CONTRE LE PEUPLE SAHRAOUI

      La Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a poursuivi, cet après-midi, l’audition de pétitionnaires sur la question du Sahara occidental. Une quarantaine sont intervenus accusant, pour les uns, le Front POLISARIO, pour les autres, le Maroc, de commettre des violations des droits de l’homme contre le peuple sahraoui. Une poignée de pétitionnaires a lancé des allégations sur les liens qu’entretiendraient certains éléments du Front POLISARIO avec l’organisation terroriste, Al-Qaida Maghreb islamique (AQMI).

      De nombreux pétitionnaires ont en effet dénoncé les actes de répression et d’intimidation du Front POLISARIO, en particulier contre les réfugiés sahraouis favorables à la proposition d’une large autonomie présentée par le Maroc. Ils ont lancé des appels à la levée du « blocus » imposé aux réfugiés de Tindouf pour leur permettre de pleinement jouir de leurs droits d’expression, de libre circulation et d’association.

      La proposition marocaine a reçu, une nouvelle fois, cet après-midi, un réel soutien de la part de plusieurs pétitionnaires. Ils y ont vu un élément qui garantirait une gestion démocratique des affaires intérieures du Sahara occidental, grâce à des pouvoirs législatif et exécutif autonomes. La proposition, selon ses partisans, garantirait la prise en compte des spécificités régionales.

      Face aux enlèvements, disparitions, arrestations arbitraires, actes de torture et assassinats collectifs imputés au Front POLISARIO, un pétitionnaire a réclamé la création d’un tribunal international alors que d’autres, critiquant l’inaction des Nations Unies, ont demandé que le Conseil de sécurité élargisse le mandat de la Mission de l’ONU à la protection des droits de l’homme.

      Au niveau régional, la présence de groupes terroristes, le trafic d’armes dans les camps de Tindouf et les prises d’otages d’Européens ont été cités pour mettre en lumière les nouveaux dangers dans la région, obstacles à la relance de l’Union du Maghreb arabe et de l’Union pour la Méditerranée, pour certains. Des pétitionnaires sont allés jusqu’à accuser le Front POLISARIO d’entretenir des liens avec des groupes terroristes dont AQMI.

      Ces allégations ont été ignorées par le représentant du Front POLISARIO qui a une nouvelle fois défendu le droit de son peuple à décider démocratiquement et pacifiquement de son avenir, en appuyant l’option du référendum. Il a nié l’assertion selon laquelle le Conseil de sécurité a qualifié de « sérieuse et crédible » la proposition marocaine pour une autonomie.

      De nombreux pétitionnaires ont dénoncé avec lui l’« occupation illégale » du Sahara occidental par le Maroc et les violations systématiques des droits de l’homme. Faisant état de cas d’arrestations arbitraires et de persécutions contre la population sahraouie, un pétitionnaire a décrit une situation où les « troupes d’occupation marocaines » répondent à l’« intifada pacifique sahraouie » par la forte répression d’un peuple qui continue de réclamer la tenue d’un référendum lui permettant de décider de son propre destin.

      La Quatrième Commission poursuivra ses travaux demain, vendredi 8 octobre, à partir de 15 heures.

      Audition de pétionnaires

      M. MIGUEL CASTRO MORENO, Asociaciones Solidarias con el Sahara (CEAS-Sahara), a déclaré: « il y a ceux qui pensent que venir prendre la parole ici est une perte de temps et peut-être qu’ils ont raison! Mais il y a un peuple qui réclame justice, et pour cette seule raison, cela vaut bien la peine de perdre son temps! ». Après avoir témoigné des conditions difficiles dans lesquelles vivent toujours les 200 000 réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf, il a fait état de la situation des Sahraouis qui, sous le régime marocain, sont victimes d’atteintes à leur liberté d’expression et de mouvement, de détentions arbitraires et de discrimination. Les membres d’Asociaciones Solidarias s’interposent comme bouclier humain, alors que ce rôle de protection des droits de l’homme devrait être assumé par la Mission des Nations Unies. Dans ce contexte il a pointé la France du doigt pour son soutien inconditionnel au Maroc, comme en a témoigné sa position, en avril dernier au Conseil de sécurité, lorsqu’il s’est agi d’élargir le mandat de la Mission à la protection des droits de l’homme des Sahraouis.

      Mme FATMA SAIDA
      , Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, a fait part de sa frustration face à ce conflit « artificiel » qui n’a toujours pas trouvé de solution. Cela fait 35 ans que les refugiés de Tindouf vivent un véritable enfer, en particulier le blocus et les actes de répression et d’intimidation, s’est-elle plainte. Pour elle, il ne fait pas de doute que le peuple sahraoui n’acceptera jamais de vivre en prison et poursuivra sa lutte pour la liberté et l’indépendance. Pour ce qui est de la situation des femmes et des enfants dans les camps, elle a affirmé que les femmes étaient manipulées comme instruments politiques et « machines à peupler les camps ». Ayant ainsi dénoncé la polygamie qui y règne, l’oratrice a ajouté que les enfants y sont exploités et séparés de leurs familles dès leur plus jeune âge pour être envoyés dans des camps d’endoctrinement.

      Mme SARA MESA FLORES
      , Asociación Canaria de Amistad con el Pueblo Saharoui, a dit en avoir assez que l’on reste sourd aux souffrances des Sahraouis. J’en ai assez, a-t-elle dit, de voir le manque d’action des Nations Unies alors que les Sahraouis ne peuvent ni travailler, ni étudier, ni se faire soigner sur leurs propres terres. Elle a également dénoncé les actes de violence commis contre les femmes et les enfants par le régime marocain. Elle a lancé un appel à la France pour qu’elle change sa position au Conseil de sécurité et permette à la MINURSO d’assumer un rôle de protection des droits de l’homme au Sahara occidental.

      M. GLYNN TORRES-SPELLISCY
      , Association of the Bar of the City of New York, a indiqué que son association suivait, depuis plusieurs années, la situation des droits de l’homme au Sahara occidental. S’il n’a pas souhaité se prononcer sur les allégations de violations des droits de l’homme de la part du Maroc ou du Front POLISARIO dans le camp de Tindouf, il a néanmoins indiqué qu’il avait lu avec intérêt le dernier rapport du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Il a ainsi noté que la situation au Sahara occidental est préoccupante et a exprimé l’inquiétude de son association quant à la détention abusive des trois activistes des droits de l’homme. Il a aussi souhaité que le mandat de la MINURSO soit élargi à la question des droits de l’homme.

      Mme ROWAIDA FAROUK MROUE, International Network of Civic Activists for Supporting Autonomy in Western Sahara, a soutenu que la proposition d’autonomie du Maroc représente un pas en avant vers une solution juste, durable et mutuellement acceptable du différend au Sahara occidental. Dénonçant l’oppression exercée sur les réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf par le POLISARIO, elle a rappelé que le sort du responsable du POLISARIO, Mustapha Mouloud, qui, pour avoir soutenu cette proposition, a été arrêté et torturé par ses pairs. Pour la pétitionnaire, la proposition d’autonomie est la seule solution raisonnable, applicable, réaliste et innovante qui garantisse les droits des Sahraouis de gérer leurs affaires internes.

      Cette proposition, a-t-elle insisté, est conforme au droit international et respectueuse des spécificités régionales, tout en répondant aux attentes de la population locale. L’oratrice a également dénoncé le trafic d’armes dans les camps de Tindouf et l’insécurité croissante dans la sous-région du fait des liens terroristes entre des membres du POLISARIO et d’autres organisations comme Al-Qaida pour le Maghreb islamique (AQMI). Elle en a voulu pour preuve l’enlèvement des deux otages espagnols en Mauritanie par un responsable du POLISARIO qui les a ensuite remis à AQMI.

      M. AHMED BOUKHARI, Front POLISARIO, a rappelé que c’est le Maroc qui a envahi son pays en 1975. En dépit de cette « occupation illégale » et de la répression brutale exercée par le Maroc dans les territoires occupés, les Sahraouis n’ont « jamais insulté l’avenir », a-t-il déclaré. « Notre région mérite la paix et la stabilité pour pouvoir faire face aux défis économiques et sécuritaires qu’elle connaît », a-t-il poursuivi, avant d’insister sur l’urgence de trouver une solution viable. Soulignant que les Nations Unies avaient reconnu le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, M. Boukhari a mis en avant l’accord auquel étaient parvenus le Front POLISARIO et le Maroc après 16 ans de guerre, à savoir l’organisation d’un référendum devant départager les tenants de l’indépendance et ceux de l’intégration.

      Accusant le Maroc de ne pas avoir respecté ses engagements et ses obligations, ce qui a fait dérailler le processus, il a dit voir dans la « proposition d’autonomie », la preuve que le Maroc veut l’annexion du Sahara occidental. M. Boukhari a refusé cette option et a nié que le Conseil de sécurité ait qualifié « la proposition marocaine de sérieuse et de crédible ». Au contraire, a-t-il affirmé, à ce jour les Nations Unies restent en faveur d’un référendum d’autodétermination. Pour M. Boukhari, il est essentiel que le peuple du Sahara occidental ait l’occasion de décider de son avenir de manière démocratique et pacifique.

      Indiquant que son organisation travaillait auprès du peuple sahraoui, M. ANTIONO LÓPEZ ORTIZ, Federación Estatal de Instituciones Solidarias con el Pueblo Saharaoui (FEDISSAH), a d’abord rappelé les dispositions du Plan de règlement de l’ONU et a dénoncé, une fois encore, le rôle du Gouvernement espagnol, en 1975. L’« ancienne puissance coloniale » a « facilité l’occupation illégale du territoire » en violation des résolutions des Nations Unies et du droit du peuple sahraoui reconnu par la Cour internationale de Justice (CIJ), a-t-il ajouté. Il a ajouté que les résolutions 650 (1990) et 690 (1991), adoptées par le Conseil de sécurité, selon lesquelles le référendum d’autodétermination serait tenu en janvier 1992, ont été acceptées à l’époque par le Front POLISARIO et le Royaume du Maroc qui ne montre aujourd’hui aucune disposition à respecter les décisions de l’ONU et le droit international. Le Maroc, a-t-il aussi accusé, n’acceptera rien d’autre qu’un référendum qui lui garantisse un pouvoir sur le Sahara.

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      • #4
        M. ERIK JENSEN, Ancien Représentant spécial du Secrétaire général pour le Sahara occidental entre 1993 et 1998, a indiqué qu’il n’était pas venu plaider ni pour la cause du Maroc ni pour celle du Front POLISARIO. Je suis venu plaider pour la cause de la paix, a-t-il dit, en appelant à un règlement pacifique du conflit pour permettre aux peuples de la région, ceux du Maroc, du POLISARIO, de l’Algérie et de la Mauritanie, de vivre une vie meilleure et d’envisager l’avenir. Après avoir rappelé les pourparlers directs auxquels il a participé en tant que Représentant spécial du Secrétaire général, il a aussi rappelé que le Conseil de sécurité a reconnu le caractère « sérieux et crédible » des efforts du Maroc. Pour l’ancien fonctionnaire de l’ONU, la proposition d’autonomie présentée par le Maroc forme une bonne base de négociations.

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        • #5
          Continuing its general debate on decolonization issues today, the Fourth Committee (Special Political and Decolonization) focused its attention on the question of Western Sahara, as petitioners appealed for resolute action on the part of the United Nations and the wider international community to effectively tackle a raft of injustices they believed gripped the region, including terrorism, slavery, natural resource exploitation and human rights abuses.

          Erik Jensen, former Special Representative of the Secretary-General and head of the United Nations Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO), said there was a burgeoning of terrorist activity in the region, and recent killings and abductions in Mauritania highlighted its vulnerability to “undesirable elements”. Such dangers were likely to intensify so long as the Western Sahara issue remained unresolved.

          “A peaceful resolution to the conflict was needed in order to bring a normal life and the prospect of a better future for the people of Western Sahara,” he declared, noting that the Security Council had made clear that only realism and compromise would make a peaceful solution possible. Morocco would be obliged to make meaningful concessions, and the Frente Polisario would need to surrender certain aspirations, he added.

          Another petitioner echoed the former Special Representative’s concern that the Western Sahara dispute created a situation ripe for the spread of terrorism, and he warned that the problem had now become an international security issue. With the current situation, the Al-Qaida of the Islamic Maghreb could easily penetrate, similar to what was done in Afghanistan, which would lead to enormous violence in the region and could affect countries such as France and Spain. He said that various intelligence organizations had pointed to links between Al-Qaida and the Frente Polisario in the Maghreb, and said that Osama bin Laden had supposedly given his personal instruction for activities in the Maghreb.

          Several speakers cautioned that there was a “dangerous lack of interest” from the international community when it came to the plight of the Saharawis, especially regarding the exploitation of natural resources of the occupied Territories. They argued that Morocco sold the resources of the Sahara — from phosphates to fish and even sand — without approval and benefit of the Saharawi people.

          One petitioner argued that Morocco’s illegal exploitation of the natural resources in Western Sahara was being carried out despite its international obligations and countless General Assembly resolutions, while the international community had decided to avert its eyes. Pushed by Spanish fisheries and preferred treatment from the French Government vis-à-vis Morocco, the European Union had replaced a respect for legal principles with “ruthless realpolitik”, by signing a fisheries agreement with Morocco that included Western Saharan waters. In that regard, she urged the establishment of a mechanism to place the proceeds from the exploitations of the natural resources under international administration.

          Meanwhile, a petitioner said, those in the Tindouf camps lived a “life of hell”, as the camps were among the most arid places in the world, and those living within them faced torture, violence, oppression and the impact of a blockade set up by the Algerian intelligence service. Women in the camps had been forced to “accept the status quo”, especially regarding polygamy, and were forced to become “reproductive machines”.

          Echoing those sentiments, another petitioner called for international humanitarian non-governmental organizations to help lift the blockade imposed on the population in the Tindouf camps, and allow the people to return to “their motherland — Morocco”. He further said that the autonomy plan proposed by Morocco was a step forward to ending the Sahara dispute, and would stop human rights violations and miserable circumstances in the Tindouf camps. The plan was the only reliable, applicable, realistic and innovative solution considered as a matter of preserving sovereignty, national unity and territorial integrity of Morocco.

          One petitioner in particular, a filmmaker who worked in the camps, expressed dismay that Human Rights Watch had found that among Saharawis, “black people were still living in slavery”, both in the Tindouf camps and in areas around Laâyoune. However, the United Nations was not supporting or investigating these findings. Even more upsetting, he said, was the dismissal of those instances of slavery as “cultural practices”. Quoting a character from his film about life in one of the camps, he said: “What is it called when a white child is taken away from its parents? Kidnapping. And what is it called when a black child is taken away from its parents? They call it a cultural practice.”

          Petitioners on the question of Western Sahara included: Miguel Castro Moreno, General Secretary of CEAS-Sahara; Fatma Saida, from Ligue Marocaine Pour La Protection de L’Enfance, Sara Mesa Flores, Association Canaria de Amistand con el Pueblo Saharawi; Glynn Torres-Spelliscy, Association of the Bar of the City of New York; Rowaida Farouk Mroue, Founder and Director of the International Network of Civic Activists for Supporting Autonomy; Ahmed Boukhari, from the Polisario Front; Antonio Lopez Ortiz, Secretary of the National Federation of Institutions Working in Solidarity with the Saharawi People; Jose Maria Gil Garre, journalist; Moulay Salma Ismaili, the father of a man believed to be detained illegally by the Frente Polisario; Erik Jensen, man of the Identification Commission and Head of MINURSO and Special Representative of the Secretary-General in Western Sahara; and Nieves Cubas Armas, Jurists for Western Sahara;

          Other petitioners included: Lucien Manokou, Institute for Research in Humanities, Universite Omar Bongo; Monsignor Jean Abboud; Raul Ignancio Rodriguez Magdaleno, Observatorio Asturiano de Derechos Humanos para el Sahara Occidental; Roman Lopez Villacaña, from Mexico; Shoji Matsumoto, a specialist of international law; Gregorio González Vega, from Comisíon de Solidaridad y Cooperación con Los Pueblos de la Federacion Canaria de Municipios; Mary Beth Gallagher, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights; Salek Rahal; Jorge Vanossi, professor of constitutional law; Philippe Elghouayel, Together Foundation; Guindo Housseini, Party Convergence for Development of Mali; Fala Bossoula; Stephanie Hammond; Daniel Fallshaw, an Australian filmmaker; Franz Mekyna, Institut Austria Morocco; Maluza Wa Mavula Martin, CIRAC; and Mohamed Hamed Ali, Federacion Espanola de Entidades Religiosas Islamicas.

          Petitioners also included: Frank Tetzel, a German journalist; Sara Patricia Llorente, a lawyer and professor; Ignacio Marin Orio; Aguila Abba Hemeida; Nicola Quatrano, a judge and president of Observatorio Internazionale; Tim Kustusch, the Organization for Statehood and Freedom; Eric Cameron, World Action for Refugees; Alessandro Fucito; Gustavo Penades; Michelle Dover, Western Sahara Resource Watch; and Alfonso Nsue Mokuy, Portavoz de Grupo Parliamentario de la Coalición Democrática en la Cámara de los Representantes del Pueblo.

          The Fourth Committee will meet again at 3 p.m. tomorrow, 8 October, to conclude its consideration of decolonization issues.

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          • #6
            la MAP ?

            jeudi à New York, contre les risques d'un "Sahelistan" aux portes du Maghreb si la question du Sahara n'est pas résolue rapidement.
            Le deuxième message clair et net à l intention du Maroc après de celui de M AE espagnol ( la clé du Sahel , la résolution du conflit du SO occupé illégalement par le Maroc )

            . La proposition marocaine d'autonomie, qualifiée par ce même conseil de sérieuse et crédible,

            "" par ce même conseil "" : De la MAP ? la désinformation des propos d Erik Jensen pour la consommation locale marocaine .
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              De nombreux pétitionnaires ont en effet dénoncé les actes de répression et d’intimidation du Front POLISARIO, en particulier contre les réfugiés sahraouis favorables à la proposition d’une large autonomie présentée par le Maroc. Ils ont lancé des appels à la levée du « blocus » imposé aux réfugiés de Tindouf pour leur permettre de pleinement jouir de leurs droits d’expression, de libre circulation et d’association.

              La proposition marocaine a reçu, une nouvelle fois, cet après-midi, un réel soutien de la part de plusieurs pétitionnaires. Ils y ont vu un élément qui garantirait une gestion démocratique des affaires intérieures du Sahara occidental, grâce à des pouvoirs législatif et exécutif autonomes. La proposition, selon ses partisans, garantirait la prise en compte des spécificités régionales.

              Face aux enlèvements, disparitions, arrestations arbitraires, actes de torture et assassinats collectifs imputés au Front POLISARIO, un pétitionnaire a réclamé la création d’un tribunal international alors que d’autres, critiquant l’inaction des Nations Unies, ont demandé que le Conseil de sécurité élargisse le mandat de la Mission de l’ONU à la protection des droits de l’homme.

              Au niveau régional, la présence de groupes terroristes, le trafic d’armes dans les camps de Tindouf et les prises d’otages d’Européens ont été cités pour mettre en lumière les nouveaux dangers dans la région, obstacles à la relance de l’Union du Maghreb arabe et de l’Union pour la Méditerranée, pour certains. Des pétitionnaires sont allés jusqu’à accuser le Front POLISARIO d’entretenir des liens avec des groupes terroristes dont AQMI.

              Merci Jawzia.............même à la quatrième commission , le polizario et l'algerie perdent la bataille, alors que c'était leur terrain.

              Commentaire


              • #8
                Sahara occidental : Erik Jensen met en garde contre un "Sahelistan" aux portes du Maghreb
                si ce risque st aujourd'hui minime , les efforts du maroc devront aller dans le sens d'accentuer ce risque , ca nes erait qu'un juste retour de flamme à l'encontre de ceux qui ont cru malin de vouloir encourager le séparatisme .
                " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                Commentaire


                • #9
                  posté par Cell

                  si ce risque st aujourd'hui minime , les efforts du maroc devront aller dans le sens d'accentuer ce risque ,
                  Y a pas de fumée sans feu ! déjà , le royaume , y est pour quelques choses avec l AQMI ; il est isolé dans la scene politique régionale dans la lutte anti-crime organisé dans le Sahel
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                  Commentaire


                  • #10
                    déjà , le royaume , y est pour quelques choses avec l AQMI ; il est isolé dans la scene politique régionale dans la lutte anti-crime organisé dans le Sahel

                    encore...



                    FIS => GIA => GSPC => AQMI..... causalité.....


                    isolé par qui?

                    Commentaire


                    • #11
                      @overclocker : ton blabla , ça sert à rien

                      Faut bien saisir la signification d Erik Jensen , auparavant le MAE avait donné le SOS dans la même idée ( messages très clairs et nets au Palais ) :

                      « jeudi à New York, contre les risques d'un "Sahelistan" aux portes du Maghreb si la question du Sahara n'est pas résolue rapidement. »
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #12
                        @overclocker : ton blabla , ça sert à rien

                        Faut bien saisir la signification d Erik Jensen , auparavant le MAE avait donné le SOS dans la même idée ( messages très clairs et nets au Palais ) :

                        « jeudi à New York, contre les risques d'un "Sahelistan" aux portes du Maghreb si la question du Sahara n'est pas résolue rapidement. »

                        au sahara marocain tout est calme, la sahelisation se passe ailleurs et c'est à vous de régler vos dégâts....

                        le message est clair et net pour elmouradia et les autres dinosaures....le Maroc sécurise son sahara et son territoire et joue avec la carte de l'aqmi comme il veut.....


                        wach m3a lmakhzen....

                        Commentaire


                        • #13
                          @ overclocker

                          Une question et répond sincèrement :

                          Pourquoi l AQMI n avait jamais attaqué les FAR , y a que les voisins ( Mauritanie et Algerie qui sont visées )
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            Y a pas de fumée sans feu ! déjà , le royaume , y est pour quelques choses avec l AQMI ;
                            si seulement , ca pouvait etre vrai .
                            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                            Commentaire


                            • #15
                              Pourquoi l AQMI n avait jamais attaqué les FAR , y a que les voisins ( Mauritanie et Algerie qui sont visées )

                              parce que les FAR et le makhzen financent aqmi et ont ont signé avec eux un contrat de non agression....


                              l'UE et les USA savent tout mais ne disent rien.....

                              l'UE a peur du Maroc qu'elle lui accordé un statut avancé, juste pour que le palais sioniste laisse l'europe in peace...

                              il y a aussi la tunisie et la lybie dans le même cas....


                              le contact entre le palais et aqmi est un sioniste venu tout droit du mossad pour déstabiliser la grande puissance algérienne qui tardent à lever la tête pour aller libérer les palestiniens et pour obligé la france à dire pardon....

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