Une des mises à jour publiée par Microsoft (KB977074) pour améliorer la stabilité de Windows 7 empêche certaines machines de fonctionner et il est préférable de ne pas l’installer pour le moment. C’est ce que rapportent certains membres du forum de TechNet qui ont des symptômes divers en passant par des problèmes d’arrêt du système, des PC qui perdent leur certificat de validation et qui ont besoin d’être authentifiés auprès de Microsoft et des problèmes avec Media Center.
Solutions ?
Un responsable de Microsoft conseille, soit de cacher la mise à jour en attendant une résolution, soit de mettre à jour son BIOS et ses drivers, de désactiver ses antivirus, redémarrer la machine en faisant un clean boot (msconfig.exe -> Général -> Démarrage sélectif -> Utiliser la configuration de démarrage d'origine et réinstaller la mise à jour. On ne connaît pas néanmoins la portée de cette solution. Certains affirment qu’il est aussi possible d’invoquer la commande netsh winsock reset en mode administrateur dans cmd.exe, puis redémarrer l’ordinateur. Microsoft est en train d’étudier la situation et il ne serait pas étonnant d’apprendre que la mise à jour n’est problématique que lorsque d’autres facteurs entrent en jeu. Néanmoins, en l’état, les configurations des personnes touchées sont si différentes qu’il est difficile de trouver un dénominateur commun, à part Windows.
Les faux antivirus font mal !
L'éditeur russe Kaspersky est spécialisé dans le développement de logiciels de protection contre les logiciels malveillants et les menaces liées à Internet. Ingénieur français au sein des équipes de recherche de Kaspersky, Nicolas Brulez tire la sonnette d'alarme : il existe de faux antivirus de plus en plus sophistiqués. «Généralement, ils s'installent à votre insu et, passé une période de gratuité, ils vous sollicitent pour souscrire un abonnement. Pour cela, ils misent sur la peur en signalant une infection fictive. Certains proposent même une assistance en ligne 24 h/24. Mais ils ne protègent en rien l'ordinateur. » Et pourraient même servir de cheval de Troie pour des logiciels véritablement dangereux. Ces antivirus trouvent majoritairement leur origine en Ukraine.
La guerre électronique a commencé !
Le virus Stuxnet continue ses attaques contre les systèmes informatiques industriels de l'Iran, selon Hamid Alipour, directeur- adjoint de la société d'Etat iranienne des technologies informatiques, cité lundi par l'agence IRNA. «Nous surveillons et contrôlons le développement du virus. Nous avions prévu de l'éliminer en deux mois, mais il n'est pas stable, et trois nouvelles versions sont apparues depuis que nous avons commencé les opérations de nettoyage», a déclaré M. Alipour. D'après les responsables iraniens, qui ont évoqué, dimanche, dans la presse une «guerre électronique», ce programme malicieux n'a toutefois pas fait de dégâts industriels majeurs et a notamment épargné la centrale nucléaire de Bouchehr, située dans le sud du pays. Trente mille ordinateurs infectés par Stuxnet ont été jusqu'à présent dénombrés en Iran, selon Mahmoud Liayi, responsable des technologies de l'information au ministère de l'industrie. Stuxnet, découvert en juin, recherche dans les ordinateurs qu'il infecte le système de supervision de l'allemand Siemens, WinCC, qui sert au contrôle des oléoducs, des plates-formes pétrolières, des centrales électriques et d'autres installations industrielles. Sa fonction serait d'entraîner la destruction physique des installations touchées, selon certains experts qui ont évoqué un «sabotage par informatique ». D'après un responsable de la société américaine Symantec, 60% des ordinateurs infectés par ce virus se trouvent en Iran. Mais l'Inde, l'Indonésie ou le Pakistan, seraient aussi frappés...
Solutions ?
Un responsable de Microsoft conseille, soit de cacher la mise à jour en attendant une résolution, soit de mettre à jour son BIOS et ses drivers, de désactiver ses antivirus, redémarrer la machine en faisant un clean boot (msconfig.exe -> Général -> Démarrage sélectif -> Utiliser la configuration de démarrage d'origine et réinstaller la mise à jour. On ne connaît pas néanmoins la portée de cette solution. Certains affirment qu’il est aussi possible d’invoquer la commande netsh winsock reset en mode administrateur dans cmd.exe, puis redémarrer l’ordinateur. Microsoft est en train d’étudier la situation et il ne serait pas étonnant d’apprendre que la mise à jour n’est problématique que lorsque d’autres facteurs entrent en jeu. Néanmoins, en l’état, les configurations des personnes touchées sont si différentes qu’il est difficile de trouver un dénominateur commun, à part Windows.
Les faux antivirus font mal !
L'éditeur russe Kaspersky est spécialisé dans le développement de logiciels de protection contre les logiciels malveillants et les menaces liées à Internet. Ingénieur français au sein des équipes de recherche de Kaspersky, Nicolas Brulez tire la sonnette d'alarme : il existe de faux antivirus de plus en plus sophistiqués. «Généralement, ils s'installent à votre insu et, passé une période de gratuité, ils vous sollicitent pour souscrire un abonnement. Pour cela, ils misent sur la peur en signalant une infection fictive. Certains proposent même une assistance en ligne 24 h/24. Mais ils ne protègent en rien l'ordinateur. » Et pourraient même servir de cheval de Troie pour des logiciels véritablement dangereux. Ces antivirus trouvent majoritairement leur origine en Ukraine.
La guerre électronique a commencé !
Le virus Stuxnet continue ses attaques contre les systèmes informatiques industriels de l'Iran, selon Hamid Alipour, directeur- adjoint de la société d'Etat iranienne des technologies informatiques, cité lundi par l'agence IRNA. «Nous surveillons et contrôlons le développement du virus. Nous avions prévu de l'éliminer en deux mois, mais il n'est pas stable, et trois nouvelles versions sont apparues depuis que nous avons commencé les opérations de nettoyage», a déclaré M. Alipour. D'après les responsables iraniens, qui ont évoqué, dimanche, dans la presse une «guerre électronique», ce programme malicieux n'a toutefois pas fait de dégâts industriels majeurs et a notamment épargné la centrale nucléaire de Bouchehr, située dans le sud du pays. Trente mille ordinateurs infectés par Stuxnet ont été jusqu'à présent dénombrés en Iran, selon Mahmoud Liayi, responsable des technologies de l'information au ministère de l'industrie. Stuxnet, découvert en juin, recherche dans les ordinateurs qu'il infecte le système de supervision de l'allemand Siemens, WinCC, qui sert au contrôle des oléoducs, des plates-formes pétrolières, des centrales électriques et d'autres installations industrielles. Sa fonction serait d'entraîner la destruction physique des installations touchées, selon certains experts qui ont évoqué un «sabotage par informatique ». D'après un responsable de la société américaine Symantec, 60% des ordinateurs infectés par ce virus se trouvent en Iran. Mais l'Inde, l'Indonésie ou le Pakistan, seraient aussi frappés...
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