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Détournements et conséquences graves pour l'économie algérienne

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  • Détournements et conséquences graves pour l'économie algérienne

    Ces détournements sont extrêmement graves.Il faut créer des agences spécialisées ds la recupération de ces sommes énormes volées aux algériens quitte à se brouiller avec les pays qui protègent ces voleurs et criminels.

    Nous autres algériens du monde entier, on se demande toujours pourquoi les noms de ces personnes ou pays ne sont jamais cités ou mis en accusation.Bizarre......!!!!!!!!!!!!!!

    Il faut être sans faiblesse avec ces voyoux et criminels.Quels qu'ils soient.
    Si ces pourris réusissent ds leur entreprise c'est une défaite pour nous tous et pour la vérité.S'il y a des pays qui les protègent, qu'on les nomme.Comme le blaireau english qui protège le criminel khalifa.... :22:

    Voici un article interessant de liberté qui en parle :

    Economie (Jeudi 23 Mars 2006)


    Suite aux scandales bancaires à la BNA et à la Badr
    300 millions de dollars filent vers les banques étrangères



    Par : N. Ryad



    Le retrait de confiance de gros clients a entraîné une fuite d’au moins 300 millions de dollars au profit de filiales Algérie de banques françaises. Seules de faibles sommes ont été récupérées après les détournements massifs enregistrés dans ces banques publiques.

    Des banques publiques paient, aujourd’hui, le prix fort des scandales qui se sont produits sur la place. Les trous d’environ 50 milliards de dinars à la BNA et à la Badr ont laissé de graves séquelles, a-t-on appris de source bancaire sûre. Ces établissements ont enregistré la fuite de gros clients : au moins 300 millions de dollars ont été retirés d’une banque, à la suite de ces scandales, au profit des filiales Algérie des banques françaises, révèle la même source.
    La Badr connaît actuellement de sérieuses difficultés. “La Badr a arrêté l’octroi de crédits. L’escompte de chèque et d’effet a été supprimé, y compris pour les clients solvables. Le bénéfice a été annulé. Des agences, notamment des banques assises, ont été fermées. La banque a été contrainte de fusionner des agences. Il y a des risques de suppression d’emplois, en un mot, de compression d’effectifs, d’où l’inquiétude du syndicat de la banque”, ajoute notre source.
    Sur plus de 2 000 milliards de centimes détournés, l’une des banques publiques concernée par le scandale n’a récupéré aujourd’hui que 20 à 30 milliards de centimes soit 1% de l’argent détourné, confie la même source.
    Même topo pour l’argent placé sur le marché monétaire au profit d’El Khalifa Bank. “La Badr a placé 9 milliards de dinars, la BDL 4 milliards, la BEA 11 milliards de dinars”, nous indique une autre source sûre. Ces trois banques n’ont quasiment pas récupéré ces 23 milliards de dinars, effet du scandale Khalifa dont les grosses traces n’ont pas, loin s’en faut, disparu. Ce sont des créances irrécouvrables, lance un expert bancaire. C’est une grande escroquerie. Ce sont des fonds, allusion à l’argent placé sur le marché monétaire, remboursables à court terme. Or, entre-temps, la Banque d’Algérie a prononcé le retrait d’agrément et la liquidation d’El Khalifa Bank. C’était devenu un problème de liquidation. Après des mois de travaux, le liquidateur avait fini par avertir : “Il ne faut pas s’attendre à ce que les actifs récupérés remboursent tous les déposants.” Autrement dit, les biens mobiliers et immobiliers de Khalifa ne rapportent pas grand-chose. Tout ou presque était loué. Le fonds de garantie des banques ne peut rembourser que les particuliers à raison seulement de 600 000 dinars. Autrement dit, le liquidateur ne peut rembourser les gros clients. Il s’ensuit que ces trois banques ont essuyé une grosse perte. Conséquence : elles ont été obligées de provisionner pour ces créances sans doute irrécouvrables, effet du scandale Khalifa. C’est autant d’argent qui, au lieu de servir à financer des investissements productifs créateurs d’emplois, se trouve gelé. À ces trous s’ajoutent les créances non performantes. En clair, de gros et petits clients n’arrivent pas à rembourser les prêts. Elles sont estimées entre 3 à 4 milliards de dollars. Ces fuites de fonds sont autant d’argent qui aurait pu servir à des prêts aux particuliers et aux investisseurs. L’état se trouve contraint d’assainir ces banques, de les recapitaliser pour qu’elles puissent redémarrer de façon saine leur fonction d’octroi de crédits.
    Il convient de rappeler que les scandales trouvent leur source dans les insuffisances du contrôle interne des banques. Il faut aussi y voir les injonctions. Des cadres et responsables reçoivent par coup de téléphone l’ordre de donner du crédit à untel et de n’en pas donner à tel autre, sur la base d’aucune analyse du dossier, de la solvabilité et crédibilité du promoteur du projet. Il faut y voir enfin dans ces scandales la corruption qui s’est étendue à certaines agences bancaires.

    N. Ryad

    Source : liberté.
    Dernière modification par ouarsenis93, 23 mars 2006, 18h10.

  • #2
    20 000 000 000 dinar

    Deux ou trois algériens sont actuellement en détention au Maroc pour avoir détournés prés de 20 milliards de dinar soit 200 millions € depuis des banque de tipaza et de bouzaréha (Alger).

    Actuellement le cours supreme pench sur leur extradition en Algérie.

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    • #3
      J'espère que ce que tu dis n'est pas le fruit de ton imagination fertile menara..

      Des noms stp.

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      • #4
        @ouarsenis93 : Non c'est vrai... et leur extradition devrait normalement passer. Ce n'est pas dans l'intérêt du Maroc d'héberger des voleurs, terroristes ou autres parasites sinon ça pourrait donner des idées aux éventuels parasites marocains... pour se réfugier en Algérie.

        Même s'il y a des divergences de vue sur certains dossiers, il ne faut pas plaisanter avec les délinquants !
        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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        • #5
          Voici la preuve ouarsenis93 :

          Détournement de 20 milliards de DA à la BNA
          Trois accusés arrêtés à Casablanca


          Par : Mustapha Benfodil/Aps


          Trois des principaux accusés dans le détournement des agences BNA de Cherchell, Koléa et Bouzaréah ont été arrêtés, début janvier, à Casablanca (Maroc) et devraient être extradés dans les tout prochains jours vers l’Algérie.

          Trois des principaux présumés, auteurs du détournement de la Banque nationale d’Algérie (BNA) qui s’est produit il y a trois ans de cela, et dont les péripéties n’ont été éventées que récemment, ont été arrêtés et leurs domiciles perquisitionnés au début de ce mois de janvier par les services de la Police judiciaire de Casablanca, a indiqué à l’APS une source sûre à Rabat.
          Les trois personnes, A. A., R. A., et H. M., sont actuellement en détention dans une prison marocaine et devraient être extradées incessamment vers Alger, ajoute la même source, suite au mandat d’arrêt international émis à leur encontre.
          Ce détournement qui, rappelle-t-on, avait touché les agences de Bouzaréah, Cherchell et Koléa, a coûté au Trésor la bagatelle de 20 milliards de dinars (2 000 milliards de centimes). Une somme colossale.
          Le maintien en détention des trois personnes et leur non-extradition immédiate vers l’Algérie suite au mandat d’arrêt international s’expliquent, selon la même source, par le fait que les services judiciaires marocains attendaient l’envoi de ces mandats d’arrêt par la justice algérienne. Les services de la Police judiciaire et le parquet de Casablanca devraient, dans les prochains jours, exécuter la demande de mandat d’arrêt international des autorités judiciaires algériennes après avoir été rendus destinataires des documents afférents à cette affaire. Dans le même contexte, il convient de rappeler la récente sortie médiatique de Mourad Medelci, ministre des Finances qui, dans une interview à la Radio nationale diffusée mercredi dernier, avait déclaré à propos de l’affaire de la BNA que “l'opération de détournement a été l’œuvre d'un réseau de malfaiteurs au sein même de la banque mais aussi en dehors de celle-ci”.
          Le grand argentier du pays a souligné qu’il était possible de récupérer une partie de cette somme avant de faire observer : “Il est important de moderniser l'outil informatique des banques et d'améliorer le contrôle à travers la mise en place du nouveau système de paiement”, un système qui, estime le ministre, permet de “regrouper toutes les informations relatives à la clientèle et au banquier, qui sera ainsi contraint à son tour de passer par le contrôle”.
          M. Medelci avait, par ailleurs, annoncé dernièrement devant le Parlement qu'une commission d'enquête indépendante composée d'experts algériens et étrangers avait été mise en place pour faire toute la lumière sur cette même affaire.

          M. B./APS
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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          • #6
            Merci DZBOND pour l'info.Vraiment interessant.Thank's.
            Désolé pour menara.Amende honorable..
            Dernière modification par ouarsenis93, 23 mars 2006, 22h50.

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            • #7
              Pas de quoi ouarsenis93
              T'as vu menara, je suis venu à ton secours. Ne devrais-je pas mériter un ? Je sais que Tizinissa va être jaloux mais c'est juste virtuel...
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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