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La plupart des gens connaissent le terme dyslexie. Il définit l'incapacité de certains à cerner les associations de lettres et de mots, donc à comprendre les phrases et à lire.
Il existe un terme équivalent pour expliquer le même phénomène, mais en ce qui a trait à l'incapacité de comprendre les chiffres: la dyscalculie. Les personnes qui présentent ce problème ont ainsi beaucoup de difficultés avec le calcul mathématique.
Des chercheurs américains de l'institut de technologie de Californie ont identifié la région cérébrale responsable de ce problème.
Les travaux de l'équipe du Dr Fulvia Castelli montrent que les sillons interpariétaux du cerveau, situés entre le haut et le bas de chaque lobe, sont cruciaux dans le traitement de l'information numérale.
La science connaissait depuis quelques années le rôle central de ces sillons dans la perception des nombres.
La chercheuse Castelli cerne maintenant mieux le rôle de ces sillons dans la capacité de compter des objets au lieu d'estimer globalement leur nombre.
Une subtilité importante dans la compréhension du processus menant à la dyscalculie.
Ainsi, la dyscalculie naît de l'incapacité d'une personne à se représenter adéquatement combien de choses sont présentes.
Éventuellement, cette découverte pourrait mener à la création d'outils pédagogiques adaptés à la réalité des personnes atteintes de dyscalculie.
Les travaux complets sont publiés dans le Proceedings of the National Academy of Sciences des États-Unis.
- http://www.pnas.org/cgi/content/abst...urcetype=HWCIT
- Radio-Canada
Il existe un terme équivalent pour expliquer le même phénomène, mais en ce qui a trait à l'incapacité de comprendre les chiffres: la dyscalculie. Les personnes qui présentent ce problème ont ainsi beaucoup de difficultés avec le calcul mathématique.
Des chercheurs américains de l'institut de technologie de Californie ont identifié la région cérébrale responsable de ce problème.
Les travaux de l'équipe du Dr Fulvia Castelli montrent que les sillons interpariétaux du cerveau, situés entre le haut et le bas de chaque lobe, sont cruciaux dans le traitement de l'information numérale.
La science connaissait depuis quelques années le rôle central de ces sillons dans la perception des nombres.
La chercheuse Castelli cerne maintenant mieux le rôle de ces sillons dans la capacité de compter des objets au lieu d'estimer globalement leur nombre.
Une subtilité importante dans la compréhension du processus menant à la dyscalculie.
Ainsi, la dyscalculie naît de l'incapacité d'une personne à se représenter adéquatement combien de choses sont présentes.
Éventuellement, cette découverte pourrait mener à la création d'outils pédagogiques adaptés à la réalité des personnes atteintes de dyscalculie.
Les travaux complets sont publiés dans le Proceedings of the National Academy of Sciences des États-Unis.
- http://www.pnas.org/cgi/content/abst...urcetype=HWCIT
- Radio-Canada
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