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Nette hausse du pétrole à New York, le baril se rapproche de 83 dollars

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  • Nette hausse du pétrole à New York, le baril se rapproche de 83 dollars

    NEW YORK - Les prix du pétrole étaient en nette hausse mercredi à l'ouverture du marché à New York, soutenus par une actualité haussière entre repli de la monnaie américaine et perspectives améliorées pour la demande.

    Vers 13H15 GMT, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre s'échangeait à 82,54 dollars, en progression de 87 cents par rapport à la veille.

    "La journée est remplie d'actualité positive pour les prix", a constaté Phil Flynn, de PFG Best Research.

    Le dollar repartait à la baisse, à la suite de la publication mardi des minutes de la dernière réunion de la Réserve fédérale qui ont confirmé la résignation de la banque centrale à prendre de nouvelles mesures de relance si nécessaire.

    Le repli de la monnaie américaine profitait aux prix des matières premières, actifs tangibles pour un investisseur inquiet de la dépréciation du billet vert.

    Par ailleurs, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu en hausse de 300.000 barils par jour sa prévision de demande mondiale de pétrole pour 2010 et 2011, après avoir constaté une demande plus forte que prévu cet été dans les pays développés.

    Ce rapport mensuel a fait suite à celui de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, qui avait révisé mardi en légère hausse sa prévision de demande mondiale de brut pour 2010, tablant désormais sur une hausse de 1,3%, et laissé inchangés ses pronostics pour 2011.

    "Je ne parle pas du tout de l'offre, parce que l'état de l'offre n'a pas d'importance", a précisé Phil Flynn.

    Le relevé hebdomadaire du département de l'Energie sur les réserves aux Etats-Unis était en outre décalé d'une journée, en raison de la journée fériée de lundi, à jeudi matin au lieu de mercredi matin.

    De son côté l'Opep, qui se réunit jeudi, devrait laisser ses quotas de production inchangés, "un non-événement" pour Phil Flynn.

    L'analyste notait tout de même que cette actualité haussière s'adossait sur des éléments qui persistaient depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines, notamment les attentes d'intervention de la Fed, qui pourrait prendre des mesures de soutien supplémentaires à l'activité économique.

    Depuis le 21 septembre, date de la dernière réunion de la banque centrale, le baril a gagné près de 10 dollars.

    (©AFP / 13 octobre 2010 15h27)
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    PÉTROLE/Le brut accélère son ascension, toujours dopé par un repli du dollar

    Londres (awp/afp) - Les prix du pétrole accéléraient leur ascension mercredi en fin d'échanges européens, le baril de brent frôlant le seuil des 85 dollars, dans un marché toujours soutenu par un affaiblissement du dollar et stimulé par des indicateurs positifs sur les perspectives de demande mondiale.

    Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre s'échangeait à 84,88 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, en hausse de 1,38 dollar par rapport à la clôture de mardi, après avoir atteint 84,98 dollars.

    A la même heure sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 1,66 dollar à 83,33 dollars.

    Les cours du baril profitaient d'un net repli de la monnaie américaine, affaibli la publication des minutes de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui semble prête à prendre de nouvelles mesures de relance si nécessaire.

    La perspective de telles mesures, qui passeraient par des injections de liquidités, pèse sur le billet vert, ce qui rend plus attractifs les achats de matières premières libellées en dollars, comme l'or noir, pour les investisseurs munis d'autres devises.

    De plus, les actifs tangibles comme le pétrole séduisent des acteurs de marché inquiets de la dépréciation du billet vert.

    Le marché était par ailleurs porté par une amélioration des perspectives de demande pétrolière mondiale.

    Ainsi, les importations chinoises de brut ont fortement progressé en septembre, pour atteindre plus de 5 millions de barils par jour, un niveau record illustrant la vigueur du deuxième pays consommateur, locomotive de la reprise mondiale.

    "En dépit des craintes sur un ralentissement de son économie, la Chine continue de surprendre dans le bon sens, avec une consommation énergétique venant accompagner une reprise des taux d'industrialisation et d'urbanisation" du pays, commentait Amrita Sen, de Barclays Capital.

    Par ailleurs, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu en hausse de 300.000 barils par jour sa prévision de demande mondiale de brut pour 2010 et 2011, après une demande plus forte que prévu cet été dans les pays développés.

    "Ce rapport fait suite à une troisième trimestre plus fort qu'attendu, et accompagné d'espoirs sur une croissance mondiale solide, propres à envoyer un signal optimiste sur les marchés de l'énergie", a souligné Myrto Sokou, analyste de Sucden Financial.

    "L'AIE a cependant aussi mentionné que l'offre restait à des niveaux très confortables", suffisants pour répondre à l'accroissement de la demande, a-t-elle ajouté.

    Autre facteur haussier pour les prix du brut, le blocage des terminaux pétroliers de Fos-Lavera (Bouches-du-Rhône, sud de la France) est entré mercredi dans son 17e jour, alors que des mouvements de grève entraînent l'arrêt de près de la moitié des raffineries françaises du géant pétrolier Total.

    Le Département américain à l'énergie (DoE) publiera jeudi et non mercredi son rapport hebdomadaire sur les réserves pétrolières des Etats-Unis, décalé en raison d'un jour férié lundi.

    Les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires tablent sur une progression des stocks de brut mais un recul des réserves d'essence et de produits distillés.

    rp

    (AWP/13 octobre 2010 18h30)
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      1,10 dollar le litre, ce matin...
      Ca fait lgtps qu'on n'a pas connu ce prix...

      Rabbi youstourna ou pas ?

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      • #4
        On n'est pas sorti de l'auberge

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        • #5
          ça commence à devenir intéressant !

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          • #6
            Bizarrement les statistiques appuie un certain fait :
            Bouteflika arrive au pouvoir en Algérie un 27 avril 1999, or à partir de 2000 le prix du pétrole n'a cessé d'augmenter d'année en année.
            Est-il pour quelque chose ou il a juste la baraka ce monsieur.
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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            • #7
              ça commence à devenir intéressant !
              jawzia

              Mercredi, le ministre du Pétrole du Venezuela a indiqué qu'il recherchait un baril entre 90 et 100 dollars, "le genre de commentaires susceptibles de porter les prix encore plus haut"

              a mettre en relief avec l edito de omar belhouchet

              Le retour aux fondamentaux de Youcef Yousfi
              Youcef Yousfi et Nourdine Cherouati ont réussi, chacun à son niveau, à créer un tout autre état d’esprit dans le secteur de l’énergie. Par petites touches, ils arrivent à construire un climat de travail serein, et une toute autre ambiance, et ont réussi à impulser, en interne, une réflexion globale, participant d’une démarche collective de travail. Chakib Khelil avait réduit la vie du secteur qui conditionne la stabilité du pays à sa petite personne, s’appuyant sur l’amitié qui le lie au président de la République pour promouvoir une politique aux antipodes des intérêts bien compris du pays. Il a laminé, avec férocité et hargne, toute contestation interne en faisant de Sonatrach une «boîte» à ses ordres.

              Sa préoccupation majeure a été de favoriser les intérêts des grandes compagnies américaines, là où il a fait l’essentiel de sa «carrière», avec un goût prononcé pour les thèses de la Banque mondiale. La première mouture de la loi sur les hydrocarbures demeure encore aujourd’hui un mystère de la vie politique algérienne. Avec un extraordinaire aplomb, il a failli laminer le travail effectué dès 1963, depuis la création de Sonatrach, et l’effort de tant de cadres algériens dévoués et compétents... Il a fallu les pressions amicales de quelques pays membres de l’OPEP sur le président de la République pour préserver la souveraineté de l’Etat algérien sur les hydrocarbures. Ne s’est-il pas opposé publiquement à la création d’une OPEP du gaz, prenant ouvertement le contre-pied de Abdelaziz Bouteflika ? Durant les dix années qu’il a passées à la tête du secteur, il a plutôt donné l’impression, en matière de fixation du prix du pétrole, d’agir comme un frein à son évolution naturelle. Certaines de ses déclarations ont même été interprétées comme étant un début de révision stratégique de la position de l’Algérie en matière de détermination du prix du pétrole.

              La déclaration de Yousfi, affirmant qu’un prix de 100 dollars est «raisonnable», vient rétablir un des grands équilibres de la politique énergétique de l’Algérie depuis son indépendance. La quête d’un prix juste, équilibré, répondant essentiellement aux préoccupations et besoins des pays producteurs, a toujours été le ciment de cette politique. Chakib Khelil avait mis de côté cet élément fondamental. Beaucoup de pays, au sein de l’OPEP, ne comprenaient plus notre démarche. Il était bon que l’actuel ministre de l’Energie, saisissant de manière opportune la commémoration du 50e anniversaire de l’OPEP, réaffirme avec force ce principe pour la défense des intérêts des pays exportateurs. Un langage qui a disparu du lexique des responsables algériens de l’énergie. Le prix du pétrole est appelé à connaître, à nouveau, une évolution tout à fait naturelle pour une matière première non renouvelable, qui se fait rare et qui peut induire des recettes substantielles pour les pays producteurs. L’Algérie retrouve ainsi sa place au sein de l’OPEP, même si elle ne pèse pas lourd au plan de la production.


              Omar Belhouchet
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                un dollar de plus ça représente combien en fiscalité petroliere pour l etat algérien?
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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