Aimer sans compter le chemin
qu’il me reste à Parcourir
les chemins de traverse
Voir plus loin si la route est déserte
Et cherchez un ailleurs trop ailleurs
Philosophe a la vie dure
J’aime mieux chercher dans mon âme
Ce qui est caché
La vie m’apporte sur un plateau d’argent
Tout ce qui y est enfouis
Aimant trop explorer et rêver sans compter
J’aime oublié ce qui fait mal au-dedans
Je le laisse s’essouffler
et moi reprendre des forces
Et après on se retrouve
comme de vieux amants
La vie est vivante
dans nos cœurs dans nos chairs
Les foudres de guerres s’excitent a la faire
Semer du bon grain plutôt que de l’ivraie
Me plait.
Regarder un soupir d’enfant
une larme poindre au coin d’un regard
Avoir mal ne sert pas à grand-chose
Souffrir est si beau qu’il ne faut pas gâcher ça
pour qui mérite qu’oubli et mépris,
C’est un don merveilleux
que de voir l’invisible
être là même absente, et sourire.
Morjane
1er Mai 2003
qu’il me reste à Parcourir
les chemins de traverse
Voir plus loin si la route est déserte
Et cherchez un ailleurs trop ailleurs
Philosophe a la vie dure
J’aime mieux chercher dans mon âme
Ce qui est caché
La vie m’apporte sur un plateau d’argent
Tout ce qui y est enfouis
Aimant trop explorer et rêver sans compter
J’aime oublié ce qui fait mal au-dedans
Je le laisse s’essouffler
et moi reprendre des forces
Et après on se retrouve
comme de vieux amants
La vie est vivante
dans nos cœurs dans nos chairs
Les foudres de guerres s’excitent a la faire
Semer du bon grain plutôt que de l’ivraie
Me plait.
Regarder un soupir d’enfant
une larme poindre au coin d’un regard
Avoir mal ne sert pas à grand-chose
Souffrir est si beau qu’il ne faut pas gâcher ça
pour qui mérite qu’oubli et mépris,
C’est un don merveilleux
que de voir l’invisible
être là même absente, et sourire.
Morjane
1er Mai 2003