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Les Danses traditionnelles en Algérie - Inventaire, terroirs, histoire, chorégraphie… est le titre d’un nouveau livre du Dr Hani Abdelkader à paraître prochainement aux nouvelles éditions Timgad de la ville de Sidi Bel Abbès.
Composé de 175 pages, cet ouvrage se propose, selon son auteur, de dresser un topo le plus exhaustif possible des danses traditionnelles algériennes.
Sidi Bel Abbès, qui est depuis quelques années la scène d’un Festival international des danses populaires, ne peut que se réjouir de la publication de cet ouvrage. Les initiateurs de ce festival ont en effet depuis longtemps nourri le projet et l’ambition de doubler ce festival de colloques d’étude sur les danses traditionnelles, de débats sur l’anthropologie des danses, leur histoire, l’étude de leur terroir.
«C’est chose faite», écrit la directrice de la culture de la wilaya dans la préface de ce livre, un des premiers ouvrages consacrés aux danses traditionnelles. L’ouvrage brosse un large tableau des danses traditionnelles en Algérie, dira le Dr Hani Abdelkader. Il s’ouvre sur une définition de la danse appréhendée sous toutes ses facettes, évoquant même la danse des abeilles comme moyen d’expression.
Le livre explore l’histoire de la danse depuis l’apparition de l’homme, passant de la gestuelle de la danse telle que rapportée par les gravures rupestres, la danse dans l’Antiquité et en rapport avec les trois religions monothéistes.
Toutefois, l’ouvrage fait un inventaire «non exhaustif», avertit l’auteur qui inscrit les danses traditionnelles en Algérie dans leur terroir et dans leur histoire et surtout en les dégageant de la mythologie coloniale. «On apprend par exemple que la danse Ouled Nail demeure une danse rituelle pratiquée par des hommes exclusivement.
On apprend également que certaines danses traditionnelles algériennes ont fait l’objet d’études dès le début du XXe siècle par le célèbre ethnomusicologue Bela Bartok qui leur a trouvé une curieuse similitude avec des danses d’Europe orientale…» écrit le Dr Hani qui aborde par la suite la protection juridique des danses traditionnelles en Algérie et dans le monde en tant que patrimoine immatériel. Le livre se termine sur un très intéressant lexique relatif aux danses traditionnelles.
Par La Tribune
Composé de 175 pages, cet ouvrage se propose, selon son auteur, de dresser un topo le plus exhaustif possible des danses traditionnelles algériennes.
Sidi Bel Abbès, qui est depuis quelques années la scène d’un Festival international des danses populaires, ne peut que se réjouir de la publication de cet ouvrage. Les initiateurs de ce festival ont en effet depuis longtemps nourri le projet et l’ambition de doubler ce festival de colloques d’étude sur les danses traditionnelles, de débats sur l’anthropologie des danses, leur histoire, l’étude de leur terroir.
«C’est chose faite», écrit la directrice de la culture de la wilaya dans la préface de ce livre, un des premiers ouvrages consacrés aux danses traditionnelles. L’ouvrage brosse un large tableau des danses traditionnelles en Algérie, dira le Dr Hani Abdelkader. Il s’ouvre sur une définition de la danse appréhendée sous toutes ses facettes, évoquant même la danse des abeilles comme moyen d’expression.
Le livre explore l’histoire de la danse depuis l’apparition de l’homme, passant de la gestuelle de la danse telle que rapportée par les gravures rupestres, la danse dans l’Antiquité et en rapport avec les trois religions monothéistes.
Toutefois, l’ouvrage fait un inventaire «non exhaustif», avertit l’auteur qui inscrit les danses traditionnelles en Algérie dans leur terroir et dans leur histoire et surtout en les dégageant de la mythologie coloniale. «On apprend par exemple que la danse Ouled Nail demeure une danse rituelle pratiquée par des hommes exclusivement.
On apprend également que certaines danses traditionnelles algériennes ont fait l’objet d’études dès le début du XXe siècle par le célèbre ethnomusicologue Bela Bartok qui leur a trouvé une curieuse similitude avec des danses d’Europe orientale…» écrit le Dr Hani qui aborde par la suite la protection juridique des danses traditionnelles en Algérie et dans le monde en tant que patrimoine immatériel. Le livre se termine sur un très intéressant lexique relatif aux danses traditionnelles.
Par La Tribune