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CAMP DE GUANTANAMO 50 détenus étrangers ont demandé la nationalité algérienne
Une cinquantaine de ressortissants étrangers, environ, détenus dans le camp de Guantanamo, à Cuba, s'étaient fait passer pour des ressortissants algériens, apprend-t-on de source diplomatique proche de la délégation algérienne qui a régulièrement fait le déplacement vers cette prison
décriée, de par le monde, notamment par des organisations non gouvernementales (ONG). Les membres de cette délégation, dont des représentants du ministère des Affaires étrangères, qui ont tenté de s'assurer qu'il s'agissait bel et bien d'Algériens, ont eu à poser des questions à ces détenus, dont celles relatives à leur adresse, leur emplois et leur origine, ce qui leur a permis de découvrir qu'il s'agissait de ressortissants étrangers se faisant
passer pour des Algériens, ajoute cette source. Les personnes concernées ont expliqué ce comportement par le fait que l'Algérie déploie beaucoup d'efforts pour défendre ses citoyens détenus dans ce camp, selon cette source. Certains de ces détenus auraient, à en croire cette source, exprimé leur vœu de demander la nationalité algérienne, afin d'être considérés comme Algériens et bénéficier du soutien de la diplomatie algérienne,
lance cette source. Le camp de Guantanamo, dont la fermeture a été évoquée par le président des Etats-Unis, Barack Obama, comptait, selon le Pentagone, 25 Algériens, dont une partie a été libérée depuis. A la fin de l'année écoulée, ils étaient 13, selon Me Farouk Ksentini, président de la Commission nationale de protection et de promotion des droits de l'homme (CNCPPDH) à croupir toujours dans cette prison. Ils étaient 16 en avril 2006, selon la même source.
Le Pentagone avait rendu publique une liste de 558 prisonniers, rappelle-t-on. L'Algérie qui, rappelle-t-on, avait refusé le principe de conditions que les Etats-Unis voulaient imposer au pays, en contrepartie de la libération de détenus algériens de Guantanamo, n'a pas pour autant abandonné ses ressortissants puisque des délégations continuaient à se rendre dans ce camp.
Nombre d'Algériens détenus sont rentrés au pays et retrouvé leur liberté, ce qui a encouragé d'autres à rejoindre le pays, même si certains médias faisaient état d'Algériens qui, selon eux, préféraient «croupir dans ce camp que de rentrer au pays».
Cette information n'a pas pour autant réduit la volonté d'autres Algériens de rentrer au pays, ajoute cette source. Des centaines de personnes, de différentes nationalités, avaient été emprisonnées dans ce camp, au lendemain des attentats ayant ciblé Manhattan, en 2001, rappelle-t-on. Des organisations non gouvernementales (ONG) avaient, en 2006, établi une liste de près de 400 détenus.
Le temps DZ
Une cinquantaine de ressortissants étrangers, environ, détenus dans le camp de Guantanamo, à Cuba, s'étaient fait passer pour des ressortissants algériens, apprend-t-on de source diplomatique proche de la délégation algérienne qui a régulièrement fait le déplacement vers cette prison
décriée, de par le monde, notamment par des organisations non gouvernementales (ONG). Les membres de cette délégation, dont des représentants du ministère des Affaires étrangères, qui ont tenté de s'assurer qu'il s'agissait bel et bien d'Algériens, ont eu à poser des questions à ces détenus, dont celles relatives à leur adresse, leur emplois et leur origine, ce qui leur a permis de découvrir qu'il s'agissait de ressortissants étrangers se faisant
passer pour des Algériens, ajoute cette source. Les personnes concernées ont expliqué ce comportement par le fait que l'Algérie déploie beaucoup d'efforts pour défendre ses citoyens détenus dans ce camp, selon cette source. Certains de ces détenus auraient, à en croire cette source, exprimé leur vœu de demander la nationalité algérienne, afin d'être considérés comme Algériens et bénéficier du soutien de la diplomatie algérienne,
lance cette source. Le camp de Guantanamo, dont la fermeture a été évoquée par le président des Etats-Unis, Barack Obama, comptait, selon le Pentagone, 25 Algériens, dont une partie a été libérée depuis. A la fin de l'année écoulée, ils étaient 13, selon Me Farouk Ksentini, président de la Commission nationale de protection et de promotion des droits de l'homme (CNCPPDH) à croupir toujours dans cette prison. Ils étaient 16 en avril 2006, selon la même source.
Le Pentagone avait rendu publique une liste de 558 prisonniers, rappelle-t-on. L'Algérie qui, rappelle-t-on, avait refusé le principe de conditions que les Etats-Unis voulaient imposer au pays, en contrepartie de la libération de détenus algériens de Guantanamo, n'a pas pour autant abandonné ses ressortissants puisque des délégations continuaient à se rendre dans ce camp.
Nombre d'Algériens détenus sont rentrés au pays et retrouvé leur liberté, ce qui a encouragé d'autres à rejoindre le pays, même si certains médias faisaient état d'Algériens qui, selon eux, préféraient «croupir dans ce camp que de rentrer au pays».
Cette information n'a pas pour autant réduit la volonté d'autres Algériens de rentrer au pays, ajoute cette source. Des centaines de personnes, de différentes nationalités, avaient été emprisonnées dans ce camp, au lendemain des attentats ayant ciblé Manhattan, en 2001, rappelle-t-on. Des organisations non gouvernementales (ONG) avaient, en 2006, établi une liste de près de 400 détenus.
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