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La sécurité aux frontières de l'Irak sera complètement transférée d'ici juillet aux forces de sécurité irakiennes, a affirmé vendredi un général américain.
"Il y a 3.631 kilomètres de frontières. Et d'ici cet été - juillet - les forces de sécurité irakiennes seront responsables de la sécurité pour l'ensemble de ce front", a déclaré le général Martin Dempsey, responsable de la formation des forces de sécurité irakiennes, lors d'une téléconférence depuis l'Irak.
Le général a affirmé que la formation de ces forces (armée et police) faisait des "progrès" même s'il y avait "des hauts et des bas".
De plus en plus de zones à l'intérieur de l'Irak sont transférées à l'armée et à la police irakiennes, a-t-il affirmé.
La semaine dernière, le général Peter Chiarelli, qui commande les forces de la coalition, avait déclaré que l'armée américaine espérait être en mesure de placer 75% du territoire de l'Irak sous le contrôle des forces de sécurité irakiennes d'ici la fin de l'été.
Mais un expert du Centre pour les études stratégiques et internationales (CSIS) à Washington, Anthony Cordesman, a souligné que le transfert de zones n'était pas forcément la bonne façon de mesurer les progrès des forces de sécurité irakienne, celles-ci contrôlant des zones vides.
Le général Dempsey a admis que son argument était valable mais qu'il commençait à "perdre de sa validité". "75% de l'Irak incluera certainement des zones qui sont à la fois densément peuplées et disputées", a-t-il affirmé.
En transférant de plus en plus de responsabilités aux forces irakiennes à mesure qu'elles sont formées et équipées, l'armée américaine espère pouvoir procéder à une réduction significative de ses troupes d'ici la fin 2006.
Actuellement, il y a environ 133.000 soldats américains en Irak et le Pentagone aimerait pouvoir ramener ce chiffre à 100.000 d'ici la fin de l'année.
Concernant la diversité ethnique des forces de sécurité irakiennes, le général Dempsey a expliqué que la situation était contrastée. Au sein de la police, les commandos sont ethniquement divers, en revanche ce n'est pas le cas pour les unités de policiers chargés du maintien de l'ordre qui sont essentiellement composées de chiites.
"Ils ont été recrutés à un moment où les sunnites ne participaient pas au processus. Ceux-ci n'ont pas cherché à être recrutés", a expliqué le général Dempsey.
"Nous faisons très attention à ceux qui dirigent ces unités. La diversité ethnique est plus importante à ce niveau qu'au niveau des hommes du rang", a-t-il ajouté.
Par AFP
"Il y a 3.631 kilomètres de frontières. Et d'ici cet été - juillet - les forces de sécurité irakiennes seront responsables de la sécurité pour l'ensemble de ce front", a déclaré le général Martin Dempsey, responsable de la formation des forces de sécurité irakiennes, lors d'une téléconférence depuis l'Irak.
Le général a affirmé que la formation de ces forces (armée et police) faisait des "progrès" même s'il y avait "des hauts et des bas".
De plus en plus de zones à l'intérieur de l'Irak sont transférées à l'armée et à la police irakiennes, a-t-il affirmé.
La semaine dernière, le général Peter Chiarelli, qui commande les forces de la coalition, avait déclaré que l'armée américaine espérait être en mesure de placer 75% du territoire de l'Irak sous le contrôle des forces de sécurité irakiennes d'ici la fin de l'été.
Mais un expert du Centre pour les études stratégiques et internationales (CSIS) à Washington, Anthony Cordesman, a souligné que le transfert de zones n'était pas forcément la bonne façon de mesurer les progrès des forces de sécurité irakienne, celles-ci contrôlant des zones vides.
Le général Dempsey a admis que son argument était valable mais qu'il commençait à "perdre de sa validité". "75% de l'Irak incluera certainement des zones qui sont à la fois densément peuplées et disputées", a-t-il affirmé.
En transférant de plus en plus de responsabilités aux forces irakiennes à mesure qu'elles sont formées et équipées, l'armée américaine espère pouvoir procéder à une réduction significative de ses troupes d'ici la fin 2006.
Actuellement, il y a environ 133.000 soldats américains en Irak et le Pentagone aimerait pouvoir ramener ce chiffre à 100.000 d'ici la fin de l'année.
Concernant la diversité ethnique des forces de sécurité irakiennes, le général Dempsey a expliqué que la situation était contrastée. Au sein de la police, les commandos sont ethniquement divers, en revanche ce n'est pas le cas pour les unités de policiers chargés du maintien de l'ordre qui sont essentiellement composées de chiites.
"Ils ont été recrutés à un moment où les sunnites ne participaient pas au processus. Ceux-ci n'ont pas cherché à être recrutés", a expliqué le général Dempsey.
"Nous faisons très attention à ceux qui dirigent ces unités. La diversité ethnique est plus importante à ce niveau qu'au niveau des hommes du rang", a-t-il ajouté.
Par AFP
QU ELLE frontiere, ils ont on des milliers de kilometre, il faut une armada plus une tecnologies la plus recente pour pouvoir surveiller une telle frontiere, les americains veulent faire croire a leurs populations que la democratie avance, des tartes en plein figure des irakiens.
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